Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Auteur Nicolas Lonjon |
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Exposition des chirurgiens et des patients aux rayonnements ionisants pendant les procédures d’ostéosynthèse rachidienne postérieure percutanée : étude prospective de 100 patients / Pascal Kouyoumdjian in interbloc, Vol. 40, n° 3 (Juillet-Septembre 2021)
[article]
Titre : Exposition des chirurgiens et des patients aux rayonnements ionisants pendant les procédures d’ostéosynthèse rachidienne postérieure percutanée : étude prospective de 100 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Kouyoumdjian ; Guillaume Gras Combe ; Mickael Grelat ; Stéphane Fuentes ; Benjamin Blondel ; Patrick Tropiano ; Fahed Zairi ; Jacques Beaurain ; Yann-Philippe Charles ; Alexandre Dhenin ; Hassan Elfertit ; Julien Le Roy ; Joel Greffier ; Nicolas Lonjon Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 110-117 Note générale : Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.003
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"Langues : Français (fre) Résumé : Hypothèse : Les fixations percutanées par vis pédiculaire (FPVP) sont de plus en plus pratiquées en chirurgie du rachis, minimisant la morbidité via un moindre délabrement musculaire mais au prix d’un guidage fluoroscopique peropératoire générant une forte exposition aux rayonnements. Peu d’études ont été conduites pour les mesurer précisément. L’objectif de notre étude est de quantifier, lors d’une FPVP réalisée dans différents centres expérimentés respectant les recommandations actuelles de radioprotection, cette irradiation reçue au niveau du chirurgien et du patient.
Matériel et méthodes : Nous avons inclus prospectivement 100 procédures de FPVP pour lesquelles nous avons relevé les doses d’irradiation de l’opérateur principal. Pour chaque intervention, les doses du rayonnement absorbées sur le corps entier, les cristallins et les extrémités ont été mesurées.
Résultats : Nos résultats montrent une dose d’exposition moyenne par procédure sur le corps entier, les extrémités et les cristallins qui atteint respectivement 1,7+2,8?Sv, 204,7+260,9 ?Sv et 30,5+25,9 ?Sv.
Discussion : Selon ces valeurs, l’exposition des extrémités et des cristallins du chirurgien dépassera la limite annuelle admise par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) après respectivement 2 440 et 4 840 procédures.
Conclusion : Les directives récentes européennes vont réduire la dose d’exposition oculaire annuelle maximale de 150 à 20 mSv. Le nombre d’interventions chirurgicales pour ne pas atteindre le seuil oculaire, selon nos résultats, ne devra pas dépasser 645 procédures par an. Dans l’attente de la démocratisation des systèmes de neuronavigations, l’utilisation de la fluoroscopie conventionnelle expose les yeux en premier lieu qui doivent donc être protégés par des verres plombés.
Niveau de preuve : IV, série de cas.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71875
in interbloc > Vol. 40, n° 3 (Juillet-Septembre 2021) . - p. 110-117[article] Exposition des chirurgiens et des patients aux rayonnements ionisants pendant les procédures d’ostéosynthèse rachidienne postérieure percutanée : étude prospective de 100 patients [texte imprimé] / Pascal Kouyoumdjian ; Guillaume Gras Combe ; Mickael Grelat ; Stéphane Fuentes ; Benjamin Blondel ; Patrick Tropiano ; Fahed Zairi ; Jacques Beaurain ; Yann-Philippe Charles ; Alexandre Dhenin ; Hassan Elfertit ; Julien Le Roy ; Joel Greffier ; Nicolas Lonjon . - 2021 . - p. 110-117.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.003
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues : Français (fre)
in interbloc > Vol. 40, n° 3 (Juillet-Septembre 2021) . - p. 110-117
Résumé : Hypothèse : Les fixations percutanées par vis pédiculaire (FPVP) sont de plus en plus pratiquées en chirurgie du rachis, minimisant la morbidité via un moindre délabrement musculaire mais au prix d’un guidage fluoroscopique peropératoire générant une forte exposition aux rayonnements. Peu d’études ont été conduites pour les mesurer précisément. L’objectif de notre étude est de quantifier, lors d’une FPVP réalisée dans différents centres expérimentés respectant les recommandations actuelles de radioprotection, cette irradiation reçue au niveau du chirurgien et du patient.
Matériel et méthodes : Nous avons inclus prospectivement 100 procédures de FPVP pour lesquelles nous avons relevé les doses d’irradiation de l’opérateur principal. Pour chaque intervention, les doses du rayonnement absorbées sur le corps entier, les cristallins et les extrémités ont été mesurées.
Résultats : Nos résultats montrent une dose d’exposition moyenne par procédure sur le corps entier, les extrémités et les cristallins qui atteint respectivement 1,7+2,8?Sv, 204,7+260,9 ?Sv et 30,5+25,9 ?Sv.
Discussion : Selon ces valeurs, l’exposition des extrémités et des cristallins du chirurgien dépassera la limite annuelle admise par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) après respectivement 2 440 et 4 840 procédures.
Conclusion : Les directives récentes européennes vont réduire la dose d’exposition oculaire annuelle maximale de 150 à 20 mSv. Le nombre d’interventions chirurgicales pour ne pas atteindre le seuil oculaire, selon nos résultats, ne devra pas dépasser 645 procédures par an. Dans l’attente de la démocratisation des systèmes de neuronavigations, l’utilisation de la fluoroscopie conventionnelle expose les yeux en premier lieu qui doivent donc être protégés par des verres plombés.
Niveau de preuve : IV, série de cas.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71875 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Neuroradiologie : Hypotension intracrânienne spontanée : stratégies diagnostiques et traitement ciblé de la fuite du liquide encéphalorachidien / Federico Cagnazzo in Docteur Imago, 39 (octobre - novembre 2024)
[article]
Titre : Neuroradiologie : Hypotension intracrânienne spontanée : stratégies diagnostiques et traitement ciblé de la fuite du liquide encéphalorachidien Type de document : texte imprimé Auteurs : Federico Cagnazzo ; Blandine Bobet ; Vincent Costalat ; Nicolas Lonjon ; Anne Ducros Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypotension intracrânienne spontanée Liquide céphalorachidien IRM Diagnostic Traitement Résumé : L’hypotension intracrânienne spontanée (HIS) est un syndrome déterminé par une perte de liquide céphalorachidien au niveau du rachis. Le symptôme le plus fréquent est la céphalée à caractère orthostatique, mais la clinique peut être très variable et complexe. La neuro-imagerie joue un rôle crucial dans le diagnostic d’HIS et dans l’identification de la cause (la brèche) de l’hypotension. L’IRM de l’encéphale est indispensable afin de pouvoir confirmer le diagnostic, et l’imagerie de la moelle aide à organiser un bilan avancé d’imagerie afin de localiser la fuite. Il y a trois types de fuite. Le type 1 est la brèche durale ventrale (1a) ou dorsale (1b), souvent au niveau thoracique. Le type 2 est la brèche par un diverticule d’une racine nerveuse. Le type 3 est la fistule duroveineuse. La recherche de la fuite représente un vrai défi car tout le rachis nécessite d’être exploré et l’imagerie conventionnelle n’est pas assez sensible. Un bilan de neuro-imagerie avancé s’impose et des nouvelles techniques comme la myélographie et le myéloscanner dynamiques sont des compléments nécessaires à l’IRM de la moelle. La localisation précise de la fuite est fondamentale afin de cibler un traitement efficace (percutané, endovasculaire, ou chirurgical). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86020
in Docteur Imago > 39 (octobre - novembre 2024) . - p. 40-45[article] Neuroradiologie : Hypotension intracrânienne spontanée : stratégies diagnostiques et traitement ciblé de la fuite du liquide encéphalorachidien [texte imprimé] / Federico Cagnazzo ; Blandine Bobet ; Vincent Costalat ; Nicolas Lonjon ; Anne Ducros . - 2024 . - p. 40-45.
Langues : Français (fre)
in Docteur Imago > 39 (octobre - novembre 2024) . - p. 40-45
Mots-clés : Hypotension intracrânienne spontanée Liquide céphalorachidien IRM Diagnostic Traitement Résumé : L’hypotension intracrânienne spontanée (HIS) est un syndrome déterminé par une perte de liquide céphalorachidien au niveau du rachis. Le symptôme le plus fréquent est la céphalée à caractère orthostatique, mais la clinique peut être très variable et complexe. La neuro-imagerie joue un rôle crucial dans le diagnostic d’HIS et dans l’identification de la cause (la brèche) de l’hypotension. L’IRM de l’encéphale est indispensable afin de pouvoir confirmer le diagnostic, et l’imagerie de la moelle aide à organiser un bilan avancé d’imagerie afin de localiser la fuite. Il y a trois types de fuite. Le type 1 est la brèche durale ventrale (1a) ou dorsale (1b), souvent au niveau thoracique. Le type 2 est la brèche par un diverticule d’une racine nerveuse. Le type 3 est la fistule duroveineuse. La recherche de la fuite représente un vrai défi car tout le rachis nécessite d’être exploré et l’imagerie conventionnelle n’est pas assez sensible. Un bilan de neuro-imagerie avancé s’impose et des nouvelles techniques comme la myélographie et le myéloscanner dynamiques sont des compléments nécessaires à l’IRM de la moelle. La localisation précise de la fuite est fondamentale afin de cibler un traitement efficace (percutané, endovasculaire, ou chirurgical). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86020 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt