Mêler activité physique adaptée et remédiation cognitive / Isabelle Amado in Santé mentale, 262 (Novembre 2021)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 262 (Novembre 2021) . - p. 42-47 Titre : Mêler activité physique adaptée et remédiation cognitive Auteurs : Isabelle Amado ; Laurence Kern Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 42-47 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Activités physiques en psychiatrie". Langues : Français (fre) Résumé : Des programmes combinant activité physique et remédiation cognitive ont fait la preuve de leur efficacité en termes de rétablissement des personnes souffrant de schizophrénie. Se rétablir en santé mentale, c’est possible ! Patricia Deegan (1988), une personne ayant eu des troubles psychiques définit le rétablissement en psychiatrie comme «?une attitude, une façon d’aborder la journée et les difficultés qu’on y rencontre. Cela signifie que je sais que j’ai certaines limitations et qu’il y a des choses que je ne peux pas faire. Mais plutôt que de laisser ces limitations être une occasion de désespoir, une raison de laisser tomber, j’ai appris qu’en sachant ce que je ne peux pas faire, je m’ouvre aussi aux possibilités liées à tout ce que je peux faire?». Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71869 [article] Mêler activité physique adaptée et remédiation cognitive [] / Isabelle Amado ; Laurence Kern . - 2021 . - p. 42-47. Cet article fait partie du dossier "Activités physiques en psychiatrie". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 262 (Novembre 2021) . - p. 42-47 Résumé : Des programmes combinant activité physique et remédiation cognitive ont fait la preuve de leur efficacité en termes de rétablissement des personnes souffrant de schizophrénie. Se rétablir en santé mentale, c’est possible ! Patricia Deegan (1988), une personne ayant eu des troubles psychiques définit le rétablissement en psychiatrie comme «?une attitude, une façon d’aborder la journée et les difficultés qu’on y rencontre. Cela signifie que je sais que j’ai certaines limitations et qu’il y a des choses que je ne peux pas faire. Mais plutôt que de laisser ces limitations être une occasion de désespoir, une raison de laisser tomber, j’ai appris qu’en sachant ce que je ne peux pas faire, je m’ouvre aussi aux possibilités liées à tout ce que je peux faire?». Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71869

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