Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Julia Salleron |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs / Damien Tomasso in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique, Vol. 21, n° 2 (Avril 2022)
[article]
Titre : Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Tomasso ; Julia Salleron ; Catherine Lamouille-Chevalier ; Laure Copel ; Ingrid Joffin ; Roger Thay ; Aline Henry Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 72-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : Service de soins à domicile sortie du patient accompagnement de la fin de vie soins palliatifs soins à domicile Résumé : Objectif de l’étude
La place du domicile dans la fin de vie, est un sujet de société. Il est pourtant l’objet d’un paradoxe : de nombreuses études montrent que les Français souhaitent mourir au domicile et pourtant la majorité des décès se fait à l’hôpital. En France, un des lieux de fin de vie, en milieu hospitalier, est l’unité de soins palliatifs. L’objectif principal de cette étude était de d’évaluer l’impact de la provenance des patients accueillis en unité de soins palliatifs sur le taux de retour à domicile. L’objectif secondaire était d’étudier si d’autres facteurs influençaient le retour à domicile des patients après une hospitalisation en unité de soins palliatifs.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique, sur les dossiers de patients ayant séjourné du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019 dans une unité de soins palliatifs parisienne. Les données recueillies étaient les modalités d’entrées et de sorties des patients, la présence d’un entourage et le suivi préalable à l’hospitalisation par l’équipe de soins palliatifs.
Résultats
Trente-neuf pour cent des patients étaient hospitalisés directement de leur domicile dans l’unité de soins palliatifs. Les patients provenant du domicile rentraient plus au domicile, 32,5 % d’entre eux contre 7,6 % de ceux hospitalisés à partir d’un autre service hospitalier. Le pourcentage de décès était supérieur pour les patients transférés d’un autre service (77,4 %) comparé à ceux venant du domicile (67,5 %).
Discussion
Les patients hospitalisés en unité de soins palliatifs directement du domicile passent plus de temps en fin de vie au domicile, d’autant plus s’ils sont suivis par l’équipe de soins palliatifs.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.04.001
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74163
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 2 (Avril 2022) . - p. 72-79[article] Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs [texte imprimé] / Damien Tomasso ; Julia Salleron ; Catherine Lamouille-Chevalier ; Laure Copel ; Ingrid Joffin ; Roger Thay ; Aline Henry . - 2022 . - p. 72-79.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 2 (Avril 2022) . - p. 72-79
Mots-clés : Service de soins à domicile sortie du patient accompagnement de la fin de vie soins palliatifs soins à domicile Résumé : Objectif de l’étude
La place du domicile dans la fin de vie, est un sujet de société. Il est pourtant l’objet d’un paradoxe : de nombreuses études montrent que les Français souhaitent mourir au domicile et pourtant la majorité des décès se fait à l’hôpital. En France, un des lieux de fin de vie, en milieu hospitalier, est l’unité de soins palliatifs. L’objectif principal de cette étude était de d’évaluer l’impact de la provenance des patients accueillis en unité de soins palliatifs sur le taux de retour à domicile. L’objectif secondaire était d’étudier si d’autres facteurs influençaient le retour à domicile des patients après une hospitalisation en unité de soins palliatifs.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique, sur les dossiers de patients ayant séjourné du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019 dans une unité de soins palliatifs parisienne. Les données recueillies étaient les modalités d’entrées et de sorties des patients, la présence d’un entourage et le suivi préalable à l’hospitalisation par l’équipe de soins palliatifs.
Résultats
Trente-neuf pour cent des patients étaient hospitalisés directement de leur domicile dans l’unité de soins palliatifs. Les patients provenant du domicile rentraient plus au domicile, 32,5 % d’entre eux contre 7,6 % de ceux hospitalisés à partir d’un autre service hospitalier. Le pourcentage de décès était supérieur pour les patients transférés d’un autre service (77,4 %) comparé à ceux venant du domicile (67,5 %).
Discussion
Les patients hospitalisés en unité de soins palliatifs directement du domicile passent plus de temps en fin de vie au domicile, d’autant plus s’ils sont suivis par l’équipe de soins palliatifs.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.04.001
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74163 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intérêt d’un message hypnotique pour réduire la douleur et l’anxiété des patients. Un essai contrôlé randomisé sur les patients atteints de cancer et traités par patch de capsaïcine pour des douleurs neuropathiques / Rémi Étienne in Bulletin infirmier du CANCER, Vol. 21, n° 3 (Juillet Août Septembre 2021)
[article]
Titre : Intérêt d’un message hypnotique pour réduire la douleur et l’anxiété des patients. Un essai contrôlé randomisé sur les patients atteints de cancer et traités par patch de capsaïcine pour des douleurs neuropathiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Rémi Étienne ; Myriam Laurent ; Aline Henry ; Antoine Bioy ; Julia Salleron ; Cécile Huin Schohn ; Nathalie Crétineau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 87-95 Note générale : DOI : 10.1684/bic.2021.158 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anxiété Cancer Douleur Hypnose Musicothérapie Résumé : Contexte
La douleur neuropathique est caractérisée par des symptômes douloureux spontanés. Les thérapies médicamenteuses comprennent notamment l’utilisation d’un patch de capsaïcine à 8 % (Qutenza®, Grünenthal Gmbh, Allemagne). Les patients peuvent ressentir une sensation de brûlure vive à l’application et au retrait du patch. Cette étude visait à évaluer l’impact de l’utilisation d’un enregistrement d’hypnose standardisé, pendant l’application du patch, sur la douleur et l’anxiété induites par le traitement à la capsaïcine.
Méthodes
Dans un essai randomisé et contrôlé, nous avons évalué les bénéfices d’un enregistrement d’hypnose standardisé, d’abord sur la douleur et ensuite sur l’anxiété, mesurés à l’aide d’échelles d’évaluation numérique. Pour limiter la sensation de brûlure, la procédure standard consistait en l’application d’une poche de froid sur la zone traitée. Les participants ont été randomisés selon les trois groupes suivants : « groupe standard » (sans intervention complémentaire), « groupe hypnose » dans lequel un message hypnotique standardisé était diffusé pendant l’application, et « groupe musique » dans lequel une musique relaxante était diffusée pendant l’application du patch.
Résultats
Soixante-neuf patients ont été inclus. Il n’y avait pas de différence significative dans les scores de douleur entre les groupes (p = 0,355). Concernant l’anxiété, elle était significativement plus faible dans le groupe hypnose après l’application comparée au groupe standard (p = 0,007), sans différence significative entre les groupes standard et musique (p = 0,271) ou entre les groupe hypnose et musique (p = 0,423).
Conclusion
L’écoute d’un message hypnotique standardisé pendant l’application d’un patch à la capsaïcine a permis de réduire significativement l’anxiété. Ces résultats indiquent que l’utilisation d’un message hypnotique peut réduire l’inconfort lié à l’application du patch de capsaïcine et justifient son évaluation dans d’autres indications de douleur ou d’anxiété pendant les procédures de traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71625
in Bulletin infirmier du CANCER > Vol. 21, n° 3 (Juillet Août Septembre 2021) . - p. 87-95[article] Intérêt d’un message hypnotique pour réduire la douleur et l’anxiété des patients. Un essai contrôlé randomisé sur les patients atteints de cancer et traités par patch de capsaïcine pour des douleurs neuropathiques [texte imprimé] / Rémi Étienne ; Myriam Laurent ; Aline Henry ; Antoine Bioy ; Julia Salleron ; Cécile Huin Schohn ; Nathalie Crétineau . - 2021 . - p. 87-95.
DOI : 10.1684/bic.2021.158
Langues : Français (fre)
in Bulletin infirmier du CANCER > Vol. 21, n° 3 (Juillet Août Septembre 2021) . - p. 87-95
Mots-clés : Anxiété Cancer Douleur Hypnose Musicothérapie Résumé : Contexte
La douleur neuropathique est caractérisée par des symptômes douloureux spontanés. Les thérapies médicamenteuses comprennent notamment l’utilisation d’un patch de capsaïcine à 8 % (Qutenza®, Grünenthal Gmbh, Allemagne). Les patients peuvent ressentir une sensation de brûlure vive à l’application et au retrait du patch. Cette étude visait à évaluer l’impact de l’utilisation d’un enregistrement d’hypnose standardisé, pendant l’application du patch, sur la douleur et l’anxiété induites par le traitement à la capsaïcine.
Méthodes
Dans un essai randomisé et contrôlé, nous avons évalué les bénéfices d’un enregistrement d’hypnose standardisé, d’abord sur la douleur et ensuite sur l’anxiété, mesurés à l’aide d’échelles d’évaluation numérique. Pour limiter la sensation de brûlure, la procédure standard consistait en l’application d’une poche de froid sur la zone traitée. Les participants ont été randomisés selon les trois groupes suivants : « groupe standard » (sans intervention complémentaire), « groupe hypnose » dans lequel un message hypnotique standardisé était diffusé pendant l’application, et « groupe musique » dans lequel une musique relaxante était diffusée pendant l’application du patch.
Résultats
Soixante-neuf patients ont été inclus. Il n’y avait pas de différence significative dans les scores de douleur entre les groupes (p = 0,355). Concernant l’anxiété, elle était significativement plus faible dans le groupe hypnose après l’application comparée au groupe standard (p = 0,007), sans différence significative entre les groupes standard et musique (p = 0,271) ou entre les groupe hypnose et musique (p = 0,423).
Conclusion
L’écoute d’un message hypnotique standardisé pendant l’application d’un patch à la capsaïcine a permis de réduire significativement l’anxiété. Ces résultats indiquent que l’utilisation d’un message hypnotique peut réduire l’inconfort lié à l’application du patch de capsaïcine et justifient son évaluation dans d’autres indications de douleur ou d’anxiété pendant les procédures de traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71625 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le premier constat de décès par les internes en médecine générale : étude quantitative et qualitative / Laurence Tournier in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique, Vol. 22, n° 2 (Mars 2023)
[article]
Titre : Le premier constat de décès par les internes en médecine générale : étude quantitative et qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Tournier ; Julia Salleron ; Frédérique Claudot ; Catherine Lamouille-Chevalier Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 59-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : Certificats de décès Étudiant médecine Résumé : Introduction
Le constat de décès est le préalable à la rédaction du certificat de décès. Nombre d’étudiants en médecine n’ont jamais été confrontés à la mort lorsqu’ils constatent un décès pour la première fois. Identifier les difficultés rencontrées permettrait d’adapter la formation des étudiants.
Objectif
Notre objectif principal était de décrire les modalités de réalisation du premier constat de décès avant de recueillir les difficultés rencontrées par les étudiants.
Méthode
Une étude prospective de cohorte par questionnaire anonyme couplé à une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée chez des étudiants du DES de Médecine Générale de Nancy.
Résultats
Sur 570 questionnaires envoyés, 82 questionnaires exploitables ont été reçus. Huit entretiens semi-dirigés ont été réalisés. Les étudiants interrogés ont exprimé une difficulté tant pratique qu’émotionnelle au moment du constat de décès avec une corrélation significative entre ces deux types de difficultés. La difficulté sur le plan pratique a pu être mise en relation avec plusieurs paramètres : être étudiant, seul, ne pas connaître le patient décédé et ressentir une forte difficulté émotionnelle. Cette difficulté était liée significativement à la réalisation de plus d’examens complémentaires. La difficulté émotionnelle moyenne était indépendante des circonstances du constat de décès. Les participants se sont dit particulièrement démunis sur le plan communicationnel avec la famille.
Conclusion
Ces résultats incitent à proposer la mise en place d’une formation spécifique autour de la confrontation à la mort, à l’attention des étudiants en médecine. L’utilisation de la simulation comme outil pédagogique paraît adaptée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77623
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 22, n° 2 (Mars 2023) . - p. 59-67[article] Le premier constat de décès par les internes en médecine générale : étude quantitative et qualitative [texte imprimé] / Laurence Tournier ; Julia Salleron ; Frédérique Claudot ; Catherine Lamouille-Chevalier . - 2023 . - p. 59-67.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 22, n° 2 (Mars 2023) . - p. 59-67
Mots-clés : Certificats de décès Étudiant médecine Résumé : Introduction
Le constat de décès est le préalable à la rédaction du certificat de décès. Nombre d’étudiants en médecine n’ont jamais été confrontés à la mort lorsqu’ils constatent un décès pour la première fois. Identifier les difficultés rencontrées permettrait d’adapter la formation des étudiants.
Objectif
Notre objectif principal était de décrire les modalités de réalisation du premier constat de décès avant de recueillir les difficultés rencontrées par les étudiants.
Méthode
Une étude prospective de cohorte par questionnaire anonyme couplé à une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée chez des étudiants du DES de Médecine Générale de Nancy.
Résultats
Sur 570 questionnaires envoyés, 82 questionnaires exploitables ont été reçus. Huit entretiens semi-dirigés ont été réalisés. Les étudiants interrogés ont exprimé une difficulté tant pratique qu’émotionnelle au moment du constat de décès avec une corrélation significative entre ces deux types de difficultés. La difficulté sur le plan pratique a pu être mise en relation avec plusieurs paramètres : être étudiant, seul, ne pas connaître le patient décédé et ressentir une forte difficulté émotionnelle. Cette difficulté était liée significativement à la réalisation de plus d’examens complémentaires. La difficulté émotionnelle moyenne était indépendante des circonstances du constat de décès. Les participants se sont dit particulièrement démunis sur le plan communicationnel avec la famille.
Conclusion
Ces résultats incitent à proposer la mise en place d’une formation spécifique autour de la confrontation à la mort, à l’attention des étudiants en médecine. L’utilisation de la simulation comme outil pédagogique paraît adaptée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77623 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt