La méningite de Mollaret / Anne Perisse in La revue du praticien, Vol. 71, n° 7 (Septembre 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 71, n° 7 (Septembre 2021) . - p. 765-767 Titre : La méningite de Mollaret Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Anne Perisse ; Anthony Faivre ; David Delarbre Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 765-767 Langues : Français (fre) Mots-clés : Méningite  Maladies rares Résumé : La méningite récurrente lymphocytaire bénigne, ou méningite de Mollaret (MM), est une maladie rare le plus souvent attribuée au virus HSV2. Elle concerne 20 à 30 % des patients ayant fait une première méningite à HSV2. Cette pathologie se caractérise par la récurrence de syndromes méningés francs et d'apparition brutale, d'évolution spontanément favorable, espacés d'intervalles libres de tout symptôme. La majorité des patients ne rapporte pas d'antécédent d'herpès génital. Le diagnostic repose sur la clinique et l'analyse du LCR, qui montre une méningite lymphocytaire aseptique. Une PCR positive pour HSV2 pose le diagnostic de certitude. Face à une PCR négative, le diagnostic de MM est établi après exclusion des autres causes de méningite récurrente lymphocytaire. La physiopathologie est peu connue mais serait liée à la réaction du virus HSV2, localisé dans les ganglions sacrés des neurones sensitifs à l?état latent après la primo-infection génitale. Le traitement d?un premier épisode de MM à HSV2 repose sur les antiviraux, mais aucun traitement n'a démontré son efficacité pour réduire la durée ou la fréquence des récurrences. Le pronostic est excellent, avec une tendance à la diminution spontanée de la fréquence des récurrences au cours du temps. Il est important de connaître cette pathologie afin d'éviter une errance diagnostique et la multiplication d'examens invasifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70809 [article] La méningite de Mollaret [document graphique à deux dimensions] / Anne Perisse ; Anthony Faivre ; David Delarbre . - 2021 . - p. 765-767. Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 71, n° 7 (Septembre 2021) . - p. 765-767 Mots-clés : Méningite  Maladies rares Résumé : La méningite récurrente lymphocytaire bénigne, ou méningite de Mollaret (MM), est une maladie rare le plus souvent attribuée au virus HSV2. Elle concerne 20 à 30 % des patients ayant fait une première méningite à HSV2. Cette pathologie se caractérise par la récurrence de syndromes méningés francs et d'apparition brutale, d'évolution spontanément favorable, espacés d'intervalles libres de tout symptôme. La majorité des patients ne rapporte pas d'antécédent d'herpès génital. Le diagnostic repose sur la clinique et l'analyse du LCR, qui montre une méningite lymphocytaire aseptique. Une PCR positive pour HSV2 pose le diagnostic de certitude. Face à une PCR négative, le diagnostic de MM est établi après exclusion des autres causes de méningite récurrente lymphocytaire. La physiopathologie est peu connue mais serait liée à la réaction du virus HSV2, localisé dans les ganglions sacrés des neurones sensitifs à l?état latent après la primo-infection génitale. Le traitement d?un premier épisode de MM à HSV2 repose sur les antiviraux, mais aucun traitement n'a démontré son efficacité pour réduire la durée ou la fréquence des récurrences. Le pronostic est excellent, avec une tendance à la diminution spontanée de la fréquence des récurrences au cours du temps. Il est important de connaître cette pathologie afin d'éviter une errance diagnostique et la multiplication d'examens invasifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70809

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Le patient avec une intoxication médicamenteuse ou alcoolique aux urgences / Mathieu Oberlin in Soins psychiatrie, Vol. 42, n° 336 (Septembre 2021)  

Public ISBD [article]  inSoins psychiatrie > Vol. 42, n° 336 (Septembre 2021) . - p. 29-31 Titre : Le patient avec une intoxication médicamenteuse ou alcoolique aux urgences Auteurs : Mathieu Oberlin ; Aline Chenou ; Anthony Faivre ; Cédric Gil-jardiné ; Anthony Chauvin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 29-31 Note générale : Cet article fait partie du dossier "L'urgence psychiatrique, une prise en charge pluridisciplinaire". Doi : 10.1016/j.spsy.2021.06.011 Langues : Français (fre) Mots-clés : Structure des urgences Résumé : Le patient intoxiqué est une situation fréquente en structure des urgences (SU). L’évaluation et la surveillance du risque somatique doivent être une priorité, surtout en cas de doute sur les traitements ingérés. Le risque suicidaire, évalué dès l’arrivée du patient, peut amener à renforcer les surveillances z Par l’intrication forte des pathologies psychiatriques graves et des intoxications médicamenteuses, une évaluation psychiatrique devra être systématiquement réalisée. Elle se fait à distance de l’intoxication, quand l’état du patient le permet z En cas d’intoxication alcoolique associée à des symptômes ou des plaintes psychiatriques, l’évaluation devra être réalisée après une période de dégrisement, définie entre les équipes de la SU et de psychiatrie. En ligne : https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/1481 [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71190 [article] Le patient avec une intoxication médicamenteuse ou alcoolique aux urgences [] / Mathieu Oberlin ; Aline Chenou ; Anthony Faivre ; Cédric Gil-jardiné ; Anthony Chauvin . - 2021 . - p. 29-31. Cet article fait partie du dossier "L'urgence psychiatrique, une prise en charge pluridisciplinaire". Doi : 10.1016/j.spsy.2021.06.011 Langues : Français (fre) in Soins psychiatrie > Vol. 42, n° 336 (Septembre 2021) . - p. 29-31 Mots-clés : Structure des urgences Résumé : Le patient intoxiqué est une situation fréquente en structure des urgences (SU). L’évaluation et la surveillance du risque somatique doivent être une priorité, surtout en cas de doute sur les traitements ingérés. Le risque suicidaire, évalué dès l’arrivée du patient, peut amener à renforcer les surveillances z Par l’intrication forte des pathologies psychiatriques graves et des intoxications médicamenteuses, une évaluation psychiatrique devra être systématiquement réalisée. Elle se fait à distance de l’intoxication, quand l’état du patient le permet z En cas d’intoxication alcoolique associée à des symptômes ou des plaintes psychiatriques, l’évaluation devra être réalisée après une période de dégrisement, définie entre les équipes de la SU et de psychiatrie. En ligne : https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/1481 [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71190

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