Médicaments radiopharmaceutiques : du diagnostic au théranostique des tumeurs neuroendocrines / L. Nicolas in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021)

Public ISBD [article]  inMÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021) . - p. 127-134 Titre : Médicaments radiopharmaceutiques : du diagnostic au théranostique des tumeurs neuroendocrines Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Nicolas ; P. Leclerc ; D. Guilloteau ; R. Lebtahi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 127-134 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2021.03.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic  Théranostique,  Tumeurs neuroendocrines,  Radiopharmaceutiques  Imagerie moléculaire Résumé : Les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont un groupe hétérogène de tumeurs qui proviennent de cellules neuroendocrines pouvant se développer sur divers organes. La plupart sont bien différenciées et ont la capacité de produire des amines biogènes et diverses hormones. Les TNE apparaissent généralement de façon sporadique, mais peuvent être également associées à différents syndromes familiaux (néoplasie endocrinienne multiple). Pour la grande majorité des TNE, la résection chirurgicale est le traitement de choix nécessitant la localisation de la tumeur avant l’intervention chirurgicale ainsi que la détermination du stade, ensuite interviendra le suivi de l’évolution de la maladie. Dans cette démarche diagnostique, la médecine nucléaire avec l’imagerie moléculaire joue un rôle fondamental. Les caractéristiques sécrétoires de ces tumeurs se prêtent à l’imagerie moléculaire permettant de cibler des voies métaboliques ou des récepteurs à l’aide radiopharmaceutiques spécifiques. Par ailleurs, la médecine nucléaire joue un rôle important dans le domaine de la thérapie en remplaçant dans certains médicaments radiopharmaceutiques le radionucléide, permettant l’imagerie e par un radionucléide émettant des rayonnements adéquats à la thérapie, aussi appelée la radiothérapie interne vectorisée. L’activité de la médecine nucléaire permettant de réaliser le diagnostic et le traitement en utilisant les mêmes structures spécifiques des cibles moléculaires des tumeurs neuroendocrines est totalement intégrée dans la nouvelle démarche théranostique et en constitue un des principaux piliers. L’objectif de ce travail est de faire le point sur les cibles moléculaires exprimées par les TNE et des radiopharmaceutiques correspondants, validés chez l’homme pour le diagnostic et la thérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69981 [article] Médicaments radiopharmaceutiques : du diagnostic au théranostique des tumeurs neuroendocrines [texte imprimé] / L. Nicolas ; P. Leclerc ; D. Guilloteau ; R. Lebtahi . - 2021 . - p. 127-134. Doi : 10.1016/j.mednuc.2021.03.005 Langues : Français (fre) in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021) . - p. 127-134 Mots-clés : Diagnostic  Théranostique,  Tumeurs neuroendocrines,  Radiopharmaceutiques  Imagerie moléculaire Résumé : Les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont un groupe hétérogène de tumeurs qui proviennent de cellules neuroendocrines pouvant se développer sur divers organes. La plupart sont bien différenciées et ont la capacité de produire des amines biogènes et diverses hormones. Les TNE apparaissent généralement de façon sporadique, mais peuvent être également associées à différents syndromes familiaux (néoplasie endocrinienne multiple). Pour la grande majorité des TNE, la résection chirurgicale est le traitement de choix nécessitant la localisation de la tumeur avant l’intervention chirurgicale ainsi que la détermination du stade, ensuite interviendra le suivi de l’évolution de la maladie. Dans cette démarche diagnostique, la médecine nucléaire avec l’imagerie moléculaire joue un rôle fondamental. Les caractéristiques sécrétoires de ces tumeurs se prêtent à l’imagerie moléculaire permettant de cibler des voies métaboliques ou des récepteurs à l’aide radiopharmaceutiques spécifiques. Par ailleurs, la médecine nucléaire joue un rôle important dans le domaine de la thérapie en remplaçant dans certains médicaments radiopharmaceutiques le radionucléide, permettant l’imagerie e par un radionucléide émettant des rayonnements adéquats à la thérapie, aussi appelée la radiothérapie interne vectorisée. L’activité de la médecine nucléaire permettant de réaliser le diagnostic et le traitement en utilisant les mêmes structures spécifiques des cibles moléculaires des tumeurs neuroendocrines est totalement intégrée dans la nouvelle démarche théranostique et en constitue un des principaux piliers. L’objectif de ce travail est de faire le point sur les cibles moléculaires exprimées par les TNE et des radiopharmaceutiques correspondants, validés chez l’homme pour le diagnostic et la thérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69981

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Résultats et perspectives des traitements par Lutathera des tumeurs neuroendocrines à l'hôpital de Beaujon, centre RENATEN / A. Bando-Delaunay in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021)

Public ISBD [article]  inMÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021) . - p. 119-226 Titre : Résultats et perspectives des traitements par Lutathera des tumeurs neuroendocrines à l'hôpital de Beaujon, centre RENATEN Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bando-Delaunay ; C. De Labriole-Vaylet ; I. Keller-Petrot ; R. Lebtahi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 119-226 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2021.01.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lutathera  Tumeur neuroendocrine  Radiothérapie interne vectorisée Résumé : La radiothérapie interne vectorisée par Lutathera est devenue un traitement majeur des tumeurs neuroendocrines. Nous présentons le bilan des thérapies effectuées entre 2013 et 2018 dans le service de médecine nucléaire de l’hôpital Beaujon. Cinquante-cinq patients traités par Lutathera ont été inclus rétrospectivement. Le traitement complet comprend 4 cures espacées de 8 semaines avec une activité de 7,4 GBq. Une activité réduite (3,5 GBq) est donnée aux patients à risque de décompensation hépatique ou d’insuffisance médullaire. L’évaluation de la réponse est basée sur les critères radiologiques RECIST 1.1. En fin de traitement, 35 patients étaient stables, 12 en réponse partielle et 8 en progression. La médiane de survie sans progression (SSP) est de 37 mois pour les patients ayant reçu 7,4 GBq et de 18 mois pour les patients ayant reçu 3,5 GBq. Des SSP de plus de 18 mois ont été observées chez des patients ayant des facteurs pronostiques péjoratifs (lésions de grade 3 OMS ou hypermétaboliques en TEP-FDG). Une patiente oligométastatique a été traitée à visée néoadjuvante, elle est toujours en réponse complète après chirurgie. Cinq patients ont reçu deux traitements espacés d’en moyenne 2 ans et demi, avec des réponses comparables pour les deux traitements. Notre étude confirme l’intérêt du Lutathera dans les tumeurs neuroendocrines et suggère des perspectives thérapeutiques larges. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69980 [article] Résultats et perspectives des traitements par Lutathera des tumeurs neuroendocrines à l'hôpital de Beaujon, centre RENATEN [texte imprimé] / A. Bando-Delaunay ; C. De Labriole-Vaylet ; I. Keller-Petrot ; R. Lebtahi . - 2021 . - p. 119-226. Doi : 10.1016/j.mednuc.2021.01.005 Langues : Français (fre) in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 45, n° 3 (Mai - Juin 2021) . - p. 119-226 Mots-clés : Lutathera  Tumeur neuroendocrine  Radiothérapie interne vectorisée Résumé : La radiothérapie interne vectorisée par Lutathera est devenue un traitement majeur des tumeurs neuroendocrines. Nous présentons le bilan des thérapies effectuées entre 2013 et 2018 dans le service de médecine nucléaire de l’hôpital Beaujon. Cinquante-cinq patients traités par Lutathera ont été inclus rétrospectivement. Le traitement complet comprend 4 cures espacées de 8 semaines avec une activité de 7,4 GBq. Une activité réduite (3,5 GBq) est donnée aux patients à risque de décompensation hépatique ou d’insuffisance médullaire. L’évaluation de la réponse est basée sur les critères radiologiques RECIST 1.1. En fin de traitement, 35 patients étaient stables, 12 en réponse partielle et 8 en progression. La médiane de survie sans progression (SSP) est de 37 mois pour les patients ayant reçu 7,4 GBq et de 18 mois pour les patients ayant reçu 3,5 GBq. Des SSP de plus de 18 mois ont été observées chez des patients ayant des facteurs pronostiques péjoratifs (lésions de grade 3 OMS ou hypermétaboliques en TEP-FDG). Une patiente oligométastatique a été traitée à visée néoadjuvante, elle est toujours en réponse complète après chirurgie. Cinq patients ont reçu deux traitements espacés d’en moyenne 2 ans et demi, avec des réponses comparables pour les deux traitements. Notre étude confirme l’intérêt du Lutathera dans les tumeurs neuroendocrines et suggère des perspectives thérapeutiques larges. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69980

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