Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Sante mentale |
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" Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " / Sante mentale in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " Type de document : texte imprimé Auteurs : Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Note générale : Issu du dossier "Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Témoignage Trouble bipolaire Résumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69877
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53[article] " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " [texte imprimé] / Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée . - 2021 . - p. 50-53.
Issu du dossier "Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53
Mots-clés : Témoignage Trouble bipolaire Résumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69877 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Je veux contribuer à écrire notre histoire / Sante mentale in Santé mentale, Hors-Série (Août 2022)
[article]
Titre : Je veux contribuer à écrire notre histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sante mentale ; Benjamin Villeneuve, Personne interviewée Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 39-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : Recherche en soins infirmiers Doctorant Témoignage Sciences infirmières Résumé : Comment devient-on chercheur en soins infirmiers ? Engagé dans un travail de doctorat sur le thème de l’histoire de la profession, Benjamin Villeneuve, infirmier en psychiatrie, revient sur un parcours souvent semé d’embûches mais stimulant.
• Vous êtes un des rares infirmiers français engagé dans un travail de recherche de doctorat. Quel a été votre parcours et qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans la recherche ?
En 2022, le nombre de doctorants infirmiers reste effectivement relativement modeste en France. Malgré tout, il est de moins en moins rare de trouver des soignants engagés dans des parcours académiques de ce niveau. En revanche, ce qui pose question, c’est de constater que ces études sont menées majoritairement dans le champ des sciences de l’éducation et non celui des sciences infirmières. Dans ce contexte, mon parcours est plus singulier avec un travail de thèse réalisé en sciences infirmières à l’université d’Ottawa (Canada).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75520
in Santé mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 39-41[article] Je veux contribuer à écrire notre histoire [texte imprimé] / Sante mentale ; Benjamin Villeneuve, Personne interviewée . - 2022 . - p. 39-41.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 39-41
Mots-clés : Recherche en soins infirmiers Doctorant Témoignage Sciences infirmières Résumé : Comment devient-on chercheur en soins infirmiers ? Engagé dans un travail de doctorat sur le thème de l’histoire de la profession, Benjamin Villeneuve, infirmier en psychiatrie, revient sur un parcours souvent semé d’embûches mais stimulant.
• Vous êtes un des rares infirmiers français engagé dans un travail de recherche de doctorat. Quel a été votre parcours et qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans la recherche ?
En 2022, le nombre de doctorants infirmiers reste effectivement relativement modeste en France. Malgré tout, il est de moins en moins rare de trouver des soignants engagés dans des parcours académiques de ce niveau. En revanche, ce qui pose question, c’est de constater que ces études sont menées majoritairement dans le champ des sciences de l’éducation et non celui des sciences infirmières. Dans ce contexte, mon parcours est plus singulier avec un travail de thèse réalisé en sciences infirmières à l’université d’Ottawa (Canada).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75520 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt