Complications survenant dans la période périopératoire chez l'enfant en chirurgie ORL / Jean-Vincent Aubineau in Oxymag, 192 (septembre-octobre 2023)

Public ISBD [article]  inOxymag > 192 (septembre-octobre 2023) . - p. 20-25 Titre : Complications survenant dans la période périopératoire chez l'enfant en chirurgie ORL Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Vincent Aubineau ; Chelsy Arayo ; Sarah Henry Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 20-25 Note générale : Article du dossier "Prise en charge pédiatrique" Doi : 10.1016/j.oxy.2023.08.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfant  bronchospasme  chirurgie ORL  hémorragie  laryngospasme  pédiatrie  risque anesthésique  vomissement postopératoire  Corps étranger intrabronchique Résumé : Les complications rencontrées en période périopératoire chez l’enfant en chirurgie otorhinolaryngologique sont fréquentes et variées. Elles peuvent survenir rapidement, être graves (comme les complications respiratoires) ou peuvent être sources d’un grand inconfort (douleurs postopératoires, nausées, vomissements). Il faut connaître les facteurs de risque de survenue de ces complications, savoir les reconnaître et les traiter. Il faut donc être entraîné pour ce type d’anesthésie et être vigilant de l’induction à la sortie de la salle de réveil. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79571 [article] Complications survenant dans la période périopératoire chez l'enfant en chirurgie ORL [texte imprimé] / Jean-Vincent Aubineau ; Chelsy Arayo ; Sarah Henry . - 2023 . - p. 20-25. Article du dossier "Prise en charge pédiatrique" Doi : 10.1016/j.oxy.2023.08.005 Langues : Français (fre) in Oxymag > 192 (septembre-octobre 2023) . - p. 20-25 Mots-clés : Enfant  bronchospasme  chirurgie ORL  hémorragie  laryngospasme  pédiatrie  risque anesthésique  vomissement postopératoire  Corps étranger intrabronchique Résumé : Les complications rencontrées en période périopératoire chez l’enfant en chirurgie otorhinolaryngologique sont fréquentes et variées. Elles peuvent survenir rapidement, être graves (comme les complications respiratoires) ou peuvent être sources d’un grand inconfort (douleurs postopératoires, nausées, vomissements). Il faut connaître les facteurs de risque de survenue de ces complications, savoir les reconnaître et les traiter. Il faut donc être entraîné pour ce type d’anesthésie et être vigilant de l’induction à la sortie de la salle de réveil. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79571

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Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire / Corinne Lejus-Bourdeau in Anesthésie & Réanimation, Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021)

Public ISBD [article]  inAnesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021) . - p. 51-60 Titre : Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Corinne Lejus-Bourdeau ; Jean-Vincent Aubineau ; Olivier Jacqmarcq Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-60 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2020.11.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL  ANESTHÉSIE  PÉDIATRIE  PÉRIOPÉRATOIRE  AMYGDALECTOMIE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est devenu la principale cause d’amygdalectomie chez l’enfant. L’étiologie la plus fréquente du SAOS entre 3 et 6 ans est l’hypertrophie amygdalienne. L’obésité est un élément contributif important en période scolaire. Sa physiopathologie étant multifactorielle, un SAOS est présent dans un grand nombre de syndromes ou de pathologies comportant des anomalies craniofaciales et génétiques et du tonus musculaire. L’examen de référence pour établir le diagnostic et la sévérité du SAOS de l’enfant est la polysomnographie du sommeil, mais l’examen est peu accessible et réservé à des situations particulières. Les enfants ayant un SAOS ont une augmentation du risque périopératoire de désaturations, d’obstruction des VAS et de laryngospasme. L’incidence des complications respiratoires postopératoires immédiates est corrélée à la gravité du SAOS. La spécificité du McGill oxymetry score (MOS) pour détecter les SAOS sévères est élevée, mais le nombre de faux négatifs est important. Parmi les questionnaires proposés pour graduer la sévérité du SAOS, le Severity Hierarchy Score est certainement le plus performant. Les besoins en morphiniques sont réduits en cas de SAOS sévère. L’amygdalectomie n’inverse pas immédiatement les changements physiopathologiques associés au SAOS et l’anesthésie est même susceptible de les aggraver. Un SAOS sévère est une contre-indication à l’amygdalectomie ambulatoire. La présence de comorbidités et/ou un âge<3 ans imposent également une surveillance postopératoire continue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69197 [article] Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire [texte imprimé] / Corinne Lejus-Bourdeau ; Jean-Vincent Aubineau ; Olivier Jacqmarcq . - 2021 . - p. 51-60. Doi : 10.1016/j.anrea.2020.11.003 Langues : Français (fre) in Anesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021) . - p. 51-60 Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL  ANESTHÉSIE  PÉDIATRIE  PÉRIOPÉRATOIRE  AMYGDALECTOMIE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est devenu la principale cause d’amygdalectomie chez l’enfant. L’étiologie la plus fréquente du SAOS entre 3 et 6 ans est l’hypertrophie amygdalienne. L’obésité est un élément contributif important en période scolaire. Sa physiopathologie étant multifactorielle, un SAOS est présent dans un grand nombre de syndromes ou de pathologies comportant des anomalies craniofaciales et génétiques et du tonus musculaire. L’examen de référence pour établir le diagnostic et la sévérité du SAOS de l’enfant est la polysomnographie du sommeil, mais l’examen est peu accessible et réservé à des situations particulières. Les enfants ayant un SAOS ont une augmentation du risque périopératoire de désaturations, d’obstruction des VAS et de laryngospasme. L’incidence des complications respiratoires postopératoires immédiates est corrélée à la gravité du SAOS. La spécificité du McGill oxymetry score (MOS) pour détecter les SAOS sévères est élevée, mais le nombre de faux négatifs est important. Parmi les questionnaires proposés pour graduer la sévérité du SAOS, le Severity Hierarchy Score est certainement le plus performant. Les besoins en morphiniques sont réduits en cas de SAOS sévère. L’amygdalectomie n’inverse pas immédiatement les changements physiopathologiques associés au SAOS et l’anesthésie est même susceptible de les aggraver. Un SAOS sévère est une contre-indication à l’amygdalectomie ambulatoire. La présence de comorbidités et/ou un âge<3 ans imposent également une surveillance postopératoire continue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69197

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