Avec la baisse prévisible des coûts à charge des assurances maladie en 2020 pour cause de Covid, les primes 2021 doivent diminuer d'au moins 4 % ! / Philippe Eggimann in Revue médicale suisse, 705 (9 septembre 2020)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 705 (9 septembre 2020) . - p. 1664-1665 Titre : Avec la baisse prévisible des coûts à charge des assurances maladie en 2020 pour cause de Covid, les primes 2021 doivent diminuer d'au moins 4 % ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Eggimann ; Michel Matter ; Walter Gusmini ; Jean-Michel Marie ; Claude Schwarz ; Monique Lehky Hagen Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1664-1665 Note générale : La Société médicale de la Suisse romande (SMSR) considère que les primes 2021 pour l’assurance obligatoire des soins (AOS) doivent baisser d’au moins 4 % pour compenser la réduction prévisible des remboursements de presta tions due au coronavirus. Avec l’arrêt pendant 41 jours des consultations non urgentes et interventions électives, les caisses paieront probablement environ 2 milliards de francs de moins en 2020 que ce qu’elles auront perçu. Cette crise offre la démonstration que fixer les primes a posteriori sur la base des coûts réels devient impératif pour éviter une accumulation inutile de réserves. Langues : Français (fre) Mots-clés : ASSURANCE  COVID-19 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68546 [article] Avec la baisse prévisible des coûts à charge des assurances maladie en 2020 pour cause de Covid, les primes 2021 doivent diminuer d'au moins 4 % ! [texte imprimé] / Philippe Eggimann ; Michel Matter ; Walter Gusmini ; Jean-Michel Marie ; Claude Schwarz ; Monique Lehky Hagen . - 2020 . - p. 1664-1665. La Société médicale de la Suisse romande (SMSR) considère que les primes 2021 pour l’assurance obligatoire des soins (AOS) doivent baisser d’au moins 4 % pour compenser la réduction prévisible des remboursements de presta tions due au coronavirus. Avec l’arrêt pendant 41 jours des consultations non urgentes et interventions électives, les caisses paieront probablement environ 2 milliards de francs de moins en 2020 que ce qu’elles auront perçu. Cette crise offre la démonstration que fixer les primes a posteriori sur la base des coûts réels devient impératif pour éviter une accumulation inutile de réserves. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 705 (9 septembre 2020) . - p. 1664-1665 Mots-clés : ASSURANCE  COVID-19 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68546

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