Analyse : péremption courte des médicaments et DM / Pauline Puyo in Gestions hospitalières, 593 (Février 2020)

Public ISBD [article]  inGestions hospitalières > 593 (Février 2020) . - p. 117-120 Titre : Analyse : péremption courte des médicaments et DM Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Puyo ; Pierre Laffitte ; Xavier Seree de Roch ; Stéphane Antignac ; Loïc Rolland Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 117-120 Note générale : Dans un contexte difficile d’exécution des marchés en raison de tensions ou de ruptures d’approvisionnement de médicaments, les pharmaciens des centres hospitaliers de Cahors et Montauban ont mis en place en 2019 une étude rétrospective de six mois, afin d’objectiver une sensation partagée d’augmentation des livraisons de médicaments dont la péremption est inférieure à un an. Les résultats montrent effectivement que 4,3 % des médicaments sont livrés avec une péremption courte, ce qui déroge aux exigences demandées. Ils correspondent pour partie aux produits de santé en tension d’approvisionnement ou en rupture : même voie d’administration et mêmes classes pharmacologiques. Un premier constat qui servira de référence pour une étude menée à distance, impliquant un plus grand nombre de centres hospitaliers afin de contrôler, valider ou infirmer ces premiers résultats inquiétants. Langues : Français (fre) Mots-clés : MÉDICAMENT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67125 [article] Analyse : péremption courte des médicaments et DM [texte imprimé] / Pauline Puyo ; Pierre Laffitte ; Xavier Seree de Roch ; Stéphane Antignac ; Loïc Rolland . - 2020 . - p. 117-120. Dans un contexte difficile d’exécution des marchés en raison de tensions ou de ruptures d’approvisionnement de médicaments, les pharmaciens des centres hospitaliers de Cahors et Montauban ont mis en place en 2019 une étude rétrospective de six mois, afin d’objectiver une sensation partagée d’augmentation des livraisons de médicaments dont la péremption est inférieure à un an. Les résultats montrent effectivement que 4,3 % des médicaments sont livrés avec une péremption courte, ce qui déroge aux exigences demandées. Ils correspondent pour partie aux produits de santé en tension d’approvisionnement ou en rupture : même voie d’administration et mêmes classes pharmacologiques. Un premier constat qui servira de référence pour une étude menée à distance, impliquant un plus grand nombre de centres hospitaliers afin de contrôler, valider ou infirmer ces premiers résultats inquiétants. Langues : Français (fre) in Gestions hospitalières > 593 (Février 2020) . - p. 117-120 Mots-clés : MÉDICAMENT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67125

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