Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse / Angéline Chatelan in Revue médicale suisse, 675 (11 Décembre 2019)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 675 (11 Décembre 2019) . - p. 2304-2305 Titre : Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse Type de document : texte imprimé Auteurs : Angéline Chatelan ; Pascal Bovet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 2304-2305 Note générale : En Suisse, 42 % des adultes et 17 % des enfants sont en surpoids ou obèses, avec des coûts estimés à huit milliards en 2012.1 Parmi les nombreuses causes d’obésité, la consommation élevée en sucre, en particulier en boissons sucrées, est pointée du doigt.2,3 Selon l’OMS,2 le sucre inclut tous les mono- et disaccharides ajoutés lors de la fabrication/préparation des aliments (par exemple, saccharose = sucre blanc ou brun) et ceux naturellement présents dans le miel, les jus et purées de fruits. Le sucre des fruits non transformés (ou juste cuits) n’est donc pas concerné par cette définition, notamment du fait de la présence concomitante de fibres. L’OMS2 recommande un apport en sucre inférieur à 10 % de l’apport énergétique total, soit environ 50 g par jour pour un adulte: c’est-à-dire 500 ml de boissons sucrées, 400 ml de jus de fruits purs ou deux yaourts aux fruits. Langues : Français (fre) Mots-clés : SUISSE  OBÉSITÉ  SUCRE  DIABÈTE DE TYPE 2  ÉDULCORANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66949 [article] Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse [texte imprimé] / Angéline Chatelan ; Pascal Bovet . - 2019 . - p. 2304-2305. En Suisse, 42 % des adultes et 17 % des enfants sont en surpoids ou obèses, avec des coûts estimés à huit milliards en 2012.1 Parmi les nombreuses causes d’obésité, la consommation élevée en sucre, en particulier en boissons sucrées, est pointée du doigt.2,3 Selon l’OMS,2 le sucre inclut tous les mono- et disaccharides ajoutés lors de la fabrication/préparation des aliments (par exemple, saccharose = sucre blanc ou brun) et ceux naturellement présents dans le miel, les jus et purées de fruits. Le sucre des fruits non transformés (ou juste cuits) n’est donc pas concerné par cette définition, notamment du fait de la présence concomitante de fibres. L’OMS2 recommande un apport en sucre inférieur à 10 % de l’apport énergétique total, soit environ 50 g par jour pour un adulte: c’est-à-dire 500 ml de boissons sucrées, 400 ml de jus de fruits purs ou deux yaourts aux fruits. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 675 (11 Décembre 2019) . - p. 2304-2305 Mots-clés : SUISSE  OBÉSITÉ  SUCRE  DIABÈTE DE TYPE 2  ÉDULCORANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66949

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