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Auteur Paola Gasche-Soccal |
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Dépistage de l'infection tuberculeuse latente chez les patients immuno-supprimés non infectés par le VIH / Réchana Vongthilath in Revue médicale suisse, 671 (13 Novembre 2019)
[article]
Titre : Dépistage de l'infection tuberculeuse latente chez les patients immuno-supprimés non infectés par le VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : Réchana Vongthilath ; Paola Gasche-Soccal ; Pascale Roux-Lombard ; Jean-Paul Janssens Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 2105-2108 Langues : Français (fre) Mots-clés : DÉPISTAGE TUBERCULOSE IMMUNOSUPPRESSION Résumé : Le dépistage d’une infection tuberculeuse latente (ITL) est recommandé chez les patients immunosupprimés en raison du risque accru de la progression de l’ITL vers la tuberculose active. Son dépistage se fait notamment à l’aide de tests immunologiques indirects que sont le test de sensibilité à la tuberculine (TST) et les tests de détection de production de l’interféron-gamma (IGRA). Les IGRA semblent montrer une performance supérieure par rapport au TST dans le dépistage d’une ITL. Mais leur utilisation et leur interprétation chez les immunosupprimés sont sujettes à caution notamment à cause d’un nombre accru de résultats faussement négatifs ou indéterminés et d’une mauvaise concordance entre tests. À l’heure actuelle, il n’existe pas de recommandations nationales suisses sur leur utilisation chez les immunosupprimés mis à part pour les candidats au traitement anti-TNF (tumor necrosis factor). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66746
in Revue médicale suisse > 671 (13 Novembre 2019) . - p. 2105-2108[article] Dépistage de l'infection tuberculeuse latente chez les patients immuno-supprimés non infectés par le VIH [texte imprimé] / Réchana Vongthilath ; Paola Gasche-Soccal ; Pascale Roux-Lombard ; Jean-Paul Janssens . - 2019 . - p. 2105-2108.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 671 (13 Novembre 2019) . - p. 2105-2108
Mots-clés : DÉPISTAGE TUBERCULOSE IMMUNOSUPPRESSION Résumé : Le dépistage d’une infection tuberculeuse latente (ITL) est recommandé chez les patients immunosupprimés en raison du risque accru de la progression de l’ITL vers la tuberculose active. Son dépistage se fait notamment à l’aide de tests immunologiques indirects que sont le test de sensibilité à la tuberculine (TST) et les tests de détection de production de l’interféron-gamma (IGRA). Les IGRA semblent montrer une performance supérieure par rapport au TST dans le dépistage d’une ITL. Mais leur utilisation et leur interprétation chez les immunosupprimés sont sujettes à caution notamment à cause d’un nombre accru de résultats faussement négatifs ou indéterminés et d’une mauvaise concordance entre tests. À l’heure actuelle, il n’existe pas de recommandations nationales suisses sur leur utilisation chez les immunosupprimés mis à part pour les candidats au traitement anti-TNF (tumor necrosis factor). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66746 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Et si la BPCO disparaissait... / Paola Gasche-Soccal in Revue médicale suisse, 671 (13 Novembre 2019)
[article]
Titre : Et si la BPCO disparaissait... Type de document : texte imprimé Auteurs : Paola Gasche-Soccal ; Laurent Nicod Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 2071-2072 Note générale : Le terme de BPCO (ou COPD en anglais) utilisé pour la première fois par William Briscoe en 1965, à l’occasion de la 9e édition de la conférence pour l’emphysème à Aspen, désigne une maladie bien plus ancienne, dont les premières descriptions remontent aussi loin que le 17e siècle, lorsqu’un certain Bonet décrivit des « poumons volumineux ». Ce premier descriptif de ce qui sera rapidement nommé emphysème (par analogie à l’emphysème cutané), sera associé quelques siècles plus tard à la notion de bronchite chronique par Laënnec dans son Traité du diagnostic des maladies du poumon avec une description fidèle des symptômes et signes cardinaux ; la dyspnée (« elle est du nombre de celles que l’on confond sous le nom d’asthme »… « elle s’accroît par l’effet… du travail de la digestion,… de la contention d’esprit, l’habitation des lieux élevés, les exercices pénibles et particulièrement l’action de courir ou de monter… »), la toux (« … tantôt rare, peu forte et sèche, … tantôt plus forte… amenant des crachats muqueux ») et « le bruit respiratoire est très faible » et « … un son très clair à la percussion… ». Elle répondra par la suite à différentes définitions, critères diagnostiques et classifications rendant les analyses épidémiologiques délicates. Néanmoins, sa prévalence, contenue jusqu’au début du siècle passé, explose à la faveur de l’industrialisation et production en masse des cigarettes dont la consommation augmente exponentiellement aux cours des grandes guerres. Aux dernières estimations de l’OMS, la prévalence de la BPCO, qui reste sous-diagnostiquée, s’établissait à 251 millions de cas au niveau mondial en 2016 avec 5 % de la mortalité globale due à cette affection, plaçant ainsi la BPCO à la 3e position des principales causes de mortalité, avec 11 ans d’avance sur les projections antérieures. Langues : Français (fre) Mots-clés : BRONCHOPNEUMONIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE TABAGISME Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66740
in Revue médicale suisse > 671 (13 Novembre 2019) . - p. 2071-2072[article] Et si la BPCO disparaissait... [texte imprimé] / Paola Gasche-Soccal ; Laurent Nicod . - 2019 . - p. 2071-2072.
Le terme de BPCO (ou COPD en anglais) utilisé pour la première fois par William Briscoe en 1965, à l’occasion de la 9e édition de la conférence pour l’emphysème à Aspen, désigne une maladie bien plus ancienne, dont les premières descriptions remontent aussi loin que le 17e siècle, lorsqu’un certain Bonet décrivit des « poumons volumineux ». Ce premier descriptif de ce qui sera rapidement nommé emphysème (par analogie à l’emphysème cutané), sera associé quelques siècles plus tard à la notion de bronchite chronique par Laënnec dans son Traité du diagnostic des maladies du poumon avec une description fidèle des symptômes et signes cardinaux ; la dyspnée (« elle est du nombre de celles que l’on confond sous le nom d’asthme »… « elle s’accroît par l’effet… du travail de la digestion,… de la contention d’esprit, l’habitation des lieux élevés, les exercices pénibles et particulièrement l’action de courir ou de monter… »), la toux (« … tantôt rare, peu forte et sèche, … tantôt plus forte… amenant des crachats muqueux ») et « le bruit respiratoire est très faible » et « … un son très clair à la percussion… ». Elle répondra par la suite à différentes définitions, critères diagnostiques et classifications rendant les analyses épidémiologiques délicates. Néanmoins, sa prévalence, contenue jusqu’au début du siècle passé, explose à la faveur de l’industrialisation et production en masse des cigarettes dont la consommation augmente exponentiellement aux cours des grandes guerres. Aux dernières estimations de l’OMS, la prévalence de la BPCO, qui reste sous-diagnostiquée, s’établissait à 251 millions de cas au niveau mondial en 2016 avec 5 % de la mortalité globale due à cette affection, plaçant ainsi la BPCO à la 3e position des principales causes de mortalité, avec 11 ans d’avance sur les projections antérieures.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 671 (13 Novembre 2019) . - p. 2071-2072
Mots-clés : BRONCHOPNEUMONIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE TABAGISME Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66740 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt