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Auteur A. Arsène-Henry |
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Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG / L.M. Abbassi in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG Titre original : Protonthérapie ou photonthérapie pour les lymphomes de Hodgkin médiastinaux : comparaison dosimétrique et traitement à l’aide des recommandations de l’ILROG Type de document : texte imprimé Auteurs : L.M. Abbassi ; F. Goudjil ; A. Arsène-Henry ; R. Dendale ; Y.M. Kirova Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 922-925 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.005 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : HODGKIN MALADIE PROTONTHÉRAPIE tomothérapie Résumé : L’objectif de ce travail était de diminuer la toxicité tardive liée aux traitements des lymphomes de Hodgkin médiastinaux grâce à la protonthérapie et présenter le cas de la première patiente irradiée par protons en France en s’appuyant sur les recommandations de l’International Lymphoma Radiation Oncology Group (ILROG). Notre patiente de 24 ans devait recevoir une radiothérapie de type involved-site après une polychimiothérapie ayant permis une rémission complète métabolique. Des doses importantes au cœur, aux poumons et aux seins ne permettaient pas de retenir une radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par photons. Nous avons réalisé un scanographie quadridimensionnelle pour évaluer les mouvements du volume cible et une seconde scanographie utilisant la technique d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. La délinéation a été réalisée sur les deux scanographies après fusion des images de la tomographie par émission de positrons-tomodensotométrie réalisée avant le traitement. Une dosimétrie d’irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle hélicoïdale par Tomotherapy© sur la première scanographie a été comparée à une dosimétrie de radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par protons sur la seconde. Quatre-vingt-quinze pour cent du volume cible prévisionnel étaient couverts par 98 et 99 % de la dose prescrite respectivement avec la protonthérapie et la tomothérapie. La protonthérapie permettait la meilleure épargne des organes à risque, notamment des poumons avec une dose moyenne de 3,7Gy contre 8,4Gy et médiane de 0,002Gy contre 6,9Gy, et du cœur avec une dose moyenne de 2,6Gy contre 3,7Gy. La protection des seins était également meilleure avec la protonthérapie, la dose moyenne à droite étant de 2,4Gy contre 4,4Gy, et 1,9 contre 4,6Gy à gauche. La différence la plus importante était notée sur la distribution des faibles doses avec un volume pulmonaire recevant 5Gy de 17,5 % avec la protonthérapie contre 54,2 % avec la tomothérapie. À la lumière de ces résultats, nous avons décidé de traiter notre patiente par protons. Nous avons délivré 30Gy en 15 fractions en utilisant une dosimétrie des protons avec un champ direct antérieur, avec les techniques de pencil beam scanning et d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. Nous n’avons observé qu’une toxicité cutanée de grade 1 durant le traitement et aucune toxicité lors de la surveillance précoce. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66735
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 922-925[article] Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG = Protonthérapie ou photonthérapie pour les lymphomes de Hodgkin médiastinaux : comparaison dosimétrique et traitement à l’aide des recommandations de l’ILROG [texte imprimé] / L.M. Abbassi ; F. Goudjil ; A. Arsène-Henry ; R. Dendale ; Y.M. Kirova . - 2019 . - p. 922-925.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.005
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 922-925
Mots-clés : HODGKIN MALADIE PROTONTHÉRAPIE tomothérapie Résumé : L’objectif de ce travail était de diminuer la toxicité tardive liée aux traitements des lymphomes de Hodgkin médiastinaux grâce à la protonthérapie et présenter le cas de la première patiente irradiée par protons en France en s’appuyant sur les recommandations de l’International Lymphoma Radiation Oncology Group (ILROG). Notre patiente de 24 ans devait recevoir une radiothérapie de type involved-site après une polychimiothérapie ayant permis une rémission complète métabolique. Des doses importantes au cœur, aux poumons et aux seins ne permettaient pas de retenir une radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par photons. Nous avons réalisé un scanographie quadridimensionnelle pour évaluer les mouvements du volume cible et une seconde scanographie utilisant la technique d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. La délinéation a été réalisée sur les deux scanographies après fusion des images de la tomographie par émission de positrons-tomodensotométrie réalisée avant le traitement. Une dosimétrie d’irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle hélicoïdale par Tomotherapy© sur la première scanographie a été comparée à une dosimétrie de radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par protons sur la seconde. Quatre-vingt-quinze pour cent du volume cible prévisionnel étaient couverts par 98 et 99 % de la dose prescrite respectivement avec la protonthérapie et la tomothérapie. La protonthérapie permettait la meilleure épargne des organes à risque, notamment des poumons avec une dose moyenne de 3,7Gy contre 8,4Gy et médiane de 0,002Gy contre 6,9Gy, et du cœur avec une dose moyenne de 2,6Gy contre 3,7Gy. La protection des seins était également meilleure avec la protonthérapie, la dose moyenne à droite étant de 2,4Gy contre 4,4Gy, et 1,9 contre 4,6Gy à gauche. La différence la plus importante était notée sur la distribution des faibles doses avec un volume pulmonaire recevant 5Gy de 17,5 % avec la protonthérapie contre 54,2 % avec la tomothérapie. À la lumière de ces résultats, nous avons décidé de traiter notre patiente par protons. Nous avons délivré 30Gy en 15 fractions en utilisant une dosimétrie des protons avec un champ direct antérieur, avec les techniques de pencil beam scanning et d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. Nous n’avons observé qu’une toxicité cutanée de grade 1 durant le traitement et aucune toxicité lors de la surveillance précoce. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66735 Exemplaires (1)
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