Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Jeanne Couturier |
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Clostridioides difficile : des recommandations actualisées / Frédéric Barbut in La revue du praticien, Vol. 72, n° 7 (Septembre 2022)
[article]
Titre : Clostridioides difficile : des recommandations actualisées Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Barbut ; Catherine Eckert ; Valérie Lalande ; Killian Le Neindre ; Jeanne Couturier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 703-709 Langues : Français (fre) Mots-clés : Clostridium difficile Résumé : Clostridioides difficile est un bacille à Gram positif anaérobie sporulé responsable d’un large spectre d’infections digestives : de la diarrhée simple spontanément résolutive à la colite pseudomembraneuse qui peut se compliquer de mégacôlon toxique, de perforation et entraîner le décès du patient. Les principaux facteurs de risque d’infections à C. difficile (ICD) sont l’âge supérieur à 65 ans, l’administration d’antibiotiques et les antécédents d’hospitalisation. La virulence des souches est liée à la production de deux toxines, TcdA et TcdB. L’émergence et la dissémination rapide d’un clone dit « hypervirulent » (027/NAP/BI) en 2005 a stimulé la recherche clinique et fondamentale. Des avancées majeures ont été réalisées tant
sur le plan épidémiologique (meilleure reconnaissance des formes communautaires d’ICD), diagnostique (nouveaux tests moléculaires) que thérapeutique (nouveaux traitements comme la fidaxomicine, le bezlotoxumab, ou la transplantation de microbiote fécal) ; ces progrès ont permis la mise à jour des recommandations de prise à charge, sous l’égide de la Société européenne de microbiologie clinique et des maladies infectieuses (ESCMID). Le traitement antibiotique des ICD dépend à la fois de la sévérité de l’infection, du risque et du nombre de récidives. Le contrôle de l’infection requiert, d’une part, la maîtrise de la consommation d’antibiotiques et, d’autre part, la mise en œuvre de précautions « contact » vis-à-vis des patients infectésPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75960
in La revue du praticien > Vol. 72, n° 7 (Septembre 2022) . - p. 703-709[article] Clostridioides difficile : des recommandations actualisées [texte imprimé] / Frédéric Barbut ; Catherine Eckert ; Valérie Lalande ; Killian Le Neindre ; Jeanne Couturier . - 2022 . - p. 703-709.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 72, n° 7 (Septembre 2022) . - p. 703-709
Mots-clés : Clostridium difficile Résumé : Clostridioides difficile est un bacille à Gram positif anaérobie sporulé responsable d’un large spectre d’infections digestives : de la diarrhée simple spontanément résolutive à la colite pseudomembraneuse qui peut se compliquer de mégacôlon toxique, de perforation et entraîner le décès du patient. Les principaux facteurs de risque d’infections à C. difficile (ICD) sont l’âge supérieur à 65 ans, l’administration d’antibiotiques et les antécédents d’hospitalisation. La virulence des souches est liée à la production de deux toxines, TcdA et TcdB. L’émergence et la dissémination rapide d’un clone dit « hypervirulent » (027/NAP/BI) en 2005 a stimulé la recherche clinique et fondamentale. Des avancées majeures ont été réalisées tant
sur le plan épidémiologique (meilleure reconnaissance des formes communautaires d’ICD), diagnostique (nouveaux tests moléculaires) que thérapeutique (nouveaux traitements comme la fidaxomicine, le bezlotoxumab, ou la transplantation de microbiote fécal) ; ces progrès ont permis la mise à jour des recommandations de prise à charge, sous l’égide de la Société européenne de microbiologie clinique et des maladies infectieuses (ESCMID). Le traitement antibiotique des ICD dépend à la fois de la sévérité de l’infection, du risque et du nombre de récidives. Le contrôle de l’infection requiert, d’une part, la maîtrise de la consommation d’antibiotiques et, d’autre part, la mise en œuvre de précautions « contact » vis-à-vis des patients infectésPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75960 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Microbiote intestinal: le modèle de l'infection à Clostridioides difficile : des progrès considérables dans le traitement des récidives multiples d?infection à C. difficile / Frédéric Barbut in La revue du praticien, Vol. 69, n° 7 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Microbiote intestinal: le modèle de l'infection à Clostridioides difficile : des progrès considérables dans le traitement des récidives multiples d?infection à C. difficile Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Barbut ; Jeanne Couturier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 784-791 Langues : Français (fre) Mots-clés : infection à Clostridioides difficile Bactéries anaérobies Microbiote Toxines biologiques Diarrhée Métagénomique Résumé : Clostridioides difficile est un bacille à Gram positif anaérobie, sporulé, qui est responsable de diarrhées et de colites post-antibiotiques. Environ 20000 patients hospitalisés sont infectés chaque année en France. C. difficile est reconnu comme un pathogène émergent responsable de diarrhée communautaire. Le principal facteur de risque est l?antibiothérapie qui entraîne une dysbiose intestinale et une perte de la résistance à la colonisation. C. difficile d?origine endogène ou exogène peut alors s?implanter, se multiplier et produire ses deux toxines à l?origine de lésions entérocytaires et d?une réaction inflammatoire importante. La perte de la résistance à la colonisation a été associée à la perte de la diversité microbienne, en particulier de certains taxons jouant un rôle protecteur. Ces variations de communautés bactériennes entraînent des changements de fonctions explorées par des approches métabolomiques ou métagénomiques. Celles-ci ont permis d?émettre des hypothèses mécanistiques concernant la résistance ou la sensibilité à l?infection par C. difficile. Les études sur le microbiote ont également poussé les cliniciens à développer des approches thérapeutiques fondées sur des biothérapies visant à reconstituer un microbiote sain soit par transplantation de microbiote fécal, soit par l?administration de souches et de cocktails de souches restaurant l?effet de barrière. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Microbiote intestinal" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65698
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 784-791[article] Microbiote intestinal: le modèle de l'infection à Clostridioides difficile : des progrès considérables dans le traitement des récidives multiples d?infection à C. difficile [texte imprimé] / Frédéric Barbut ; Jeanne Couturier . - 2019 . - p. 784-791.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 784-791
Mots-clés : infection à Clostridioides difficile Bactéries anaérobies Microbiote Toxines biologiques Diarrhée Métagénomique Résumé : Clostridioides difficile est un bacille à Gram positif anaérobie, sporulé, qui est responsable de diarrhées et de colites post-antibiotiques. Environ 20000 patients hospitalisés sont infectés chaque année en France. C. difficile est reconnu comme un pathogène émergent responsable de diarrhée communautaire. Le principal facteur de risque est l?antibiothérapie qui entraîne une dysbiose intestinale et une perte de la résistance à la colonisation. C. difficile d?origine endogène ou exogène peut alors s?implanter, se multiplier et produire ses deux toxines à l?origine de lésions entérocytaires et d?une réaction inflammatoire importante. La perte de la résistance à la colonisation a été associée à la perte de la diversité microbienne, en particulier de certains taxons jouant un rôle protecteur. Ces variations de communautés bactériennes entraînent des changements de fonctions explorées par des approches métabolomiques ou métagénomiques. Celles-ci ont permis d?émettre des hypothèses mécanistiques concernant la résistance ou la sensibilité à l?infection par C. difficile. Les études sur le microbiote ont également poussé les cliniciens à développer des approches thérapeutiques fondées sur des biothérapies visant à reconstituer un microbiote sain soit par transplantation de microbiote fécal, soit par l?administration de souches et de cocktails de souches restaurant l?effet de barrière. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Microbiote intestinal" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65698 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt