Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
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Auteur S. Sotton |
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La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie / L. Suc in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Suc ; E. Daguenet ; S. Louati ; M. Gras ; J. Langrand-Escure ; S. Sotton ; Nicolas Magné Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 45-50 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.038 Langues : Français (fre) Mots-clés : TÉLÉCONSULTATION SURVEILLANCE PROSTATE CANCER Suivi postradiothérapie Résumé : Objectifs de l’étude
La consultation annuelle de suivi après la radiothérapie d’un cancer de la prostate se résume en un entretien oral avec un oncologue radiothérapeute. L’objectif de ce travail était de sonder la population cible sur ses connaissances et perceptions de la téléconsultation.
Matériel et méthodes
Une étude prospective a été menée à l’Institut de cancérologie Lucien Neuwirth chez les patients en cours de traitement ou de suivi au cours du printemps 2019 (n=158). Un autoquestionnaire a été élaboré pour les besoins de l’étude. La satisfaction et l’enthousiasme du patient ont été évalués à l’aide d’une échelle visuelle analogique (de 0/10 à 10/10).
Résultats
Cent cinquante-huit patients ont accepté de répondre à l’enquête. La quasi-totalité de la population utilisait le téléphone comme moyen de communication et 56 % des patients disposaient d’une connexion internet. Environ 56 % des patients affirmaient avoir des notions sur la téléconsultation, sans n’avoir jamais eu recours à ce dispositif. Si 60,8 % des patients ne seraient pas opposés à une proposition de téléconsultation avec un enthousiasme d’EVA (Échelle visuelle analogique) médiane de 6/10, les avis étaient partagés concernant le mode surveillance : 48,7 % souhaitaient conserver une surveillance classique et 48,7 % envisageaient d’alterner entre consultation présentielle et téléconsultation.
Conclusion
Cette enquête de faisabilité menée sur une population de seniors montre que la téléconsultation est une option envisageable pour le suivi après la radiothérapie du cancer de la prostate, même si un travail d’information et d’éducation thérapeutique sera nécessaire pour encadrer cette nouvelle pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69254
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 45-50[article] La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie [texte imprimé] / L. Suc ; E. Daguenet ; S. Louati ; M. Gras ; J. Langrand-Escure ; S. Sotton ; Nicolas Magné . - 2021 . - p. 45-50.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.038
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 45-50
Mots-clés : TÉLÉCONSULTATION SURVEILLANCE PROSTATE CANCER Suivi postradiothérapie Résumé : Objectifs de l’étude
La consultation annuelle de suivi après la radiothérapie d’un cancer de la prostate se résume en un entretien oral avec un oncologue radiothérapeute. L’objectif de ce travail était de sonder la population cible sur ses connaissances et perceptions de la téléconsultation.
Matériel et méthodes
Une étude prospective a été menée à l’Institut de cancérologie Lucien Neuwirth chez les patients en cours de traitement ou de suivi au cours du printemps 2019 (n=158). Un autoquestionnaire a été élaboré pour les besoins de l’étude. La satisfaction et l’enthousiasme du patient ont été évalués à l’aide d’une échelle visuelle analogique (de 0/10 à 10/10).
Résultats
Cent cinquante-huit patients ont accepté de répondre à l’enquête. La quasi-totalité de la population utilisait le téléphone comme moyen de communication et 56 % des patients disposaient d’une connexion internet. Environ 56 % des patients affirmaient avoir des notions sur la téléconsultation, sans n’avoir jamais eu recours à ce dispositif. Si 60,8 % des patients ne seraient pas opposés à une proposition de téléconsultation avec un enthousiasme d’EVA (Échelle visuelle analogique) médiane de 6/10, les avis étaient partagés concernant le mode surveillance : 48,7 % souhaitaient conserver une surveillance classique et 48,7 % envisageaient d’alterner entre consultation présentielle et téléconsultation.
Conclusion
Cette enquête de faisabilité menée sur une population de seniors montre que la téléconsultation est une option envisageable pour le suivi après la radiothérapie du cancer de la prostate, même si un travail d’information et d’éducation thérapeutique sera nécessaire pour encadrer cette nouvelle pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69254 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey / S. De Oliveira Duarte in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey Titre original : Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale Type de document : texte imprimé Auteurs : S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 395-400 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400[article] Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey = Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale [texte imprimé] / S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard . - 2019 . - p. 395-400.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400
Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt