Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Pascal Incagnoli |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Prise en charge des traumatisés pelviens grave à la phase précoce (24 premières heures) / Pascal Incagnoli in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Prise en charge des traumatisés pelviens grave à la phase précoce (24 premières heures) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Incagnoli ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 427-442 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.008 Langues : Français (fre) Mots-clés : PELVIS TRAUMATISME EMBOLIE ARTÉRIELLE Résumé : Les fractures du bassin représentent 5 % de l’ensemble des fractures en traumatologie, 30 % de ces fractures sont isolées. Elles sont présentes chez 10 à 20 % des patients traumatisés graves et il existe une corrélation étroite entre la présence d’une fracture du bassin et l’augmentation du score de gravité du traumatisme. La mortalité élevée des traumatismes pelviens de l’ordre de 8 à 15 % est à la fois liée à la gravité des lésions hémorragiques pelviennes mais également aux lésions extra-pelviennes associées qu’elles soient crâniennes, thoraciques ou abdominales. Quelle que soit la gravité du traumatisme pelvien, il est essentiel qu’une stratégie diagnostique et thérapeutique soit adoptée afin de ne pas retarder la prise en charge des patients les plus graves. À ce jour, il n’existe en France aucune recommandation issue du travail d’analyse d’une société savante. L’objectif de cette recommandation formalisée d’experts a donc été d’établir des recommandations pour la prise en charge extrahospitalière et intrahospitalière durant les 24 premières heures suivant le traumatisme grave du bassin. La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) et la Société Française de Médecine d’Urgence (SFMU) se sont associées et ont collaboré avec la Société Française de Radiologie (SFR), le Service de Santé des Armées (SSA), l’Association Française d’Urologie (AFU), la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique (SOCFCOT) et la Société Française de Chirurgie Digestive (SFCD) pour étudier deux grandes problématiques de la prise en charge des traumatismes pelviens graves : la problématique de la prise en charge préhospitalière comportant en particulier les modalités de l’immobilisation pelvienne , ainsi que la problématique de la prise en charge intrahospitalière en termes diagnostique et thérapeutique, avec un chapitre concernant les particularités de la prise en charge d’un traumatisme pelvien ouvert. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65080
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 5 (Septembre 2019) . - p. 427-442[article] Prise en charge des traumatisés pelviens grave à la phase précoce (24 premières heures) [texte imprimé] / Pascal Incagnoli ; et al. . - 2019 . - p. 427-442.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.008
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 5 (Septembre 2019) . - p. 427-442
Mots-clés : PELVIS TRAUMATISME EMBOLIE ARTÉRIELLE Résumé : Les fractures du bassin représentent 5 % de l’ensemble des fractures en traumatologie, 30 % de ces fractures sont isolées. Elles sont présentes chez 10 à 20 % des patients traumatisés graves et il existe une corrélation étroite entre la présence d’une fracture du bassin et l’augmentation du score de gravité du traumatisme. La mortalité élevée des traumatismes pelviens de l’ordre de 8 à 15 % est à la fois liée à la gravité des lésions hémorragiques pelviennes mais également aux lésions extra-pelviennes associées qu’elles soient crâniennes, thoraciques ou abdominales. Quelle que soit la gravité du traumatisme pelvien, il est essentiel qu’une stratégie diagnostique et thérapeutique soit adoptée afin de ne pas retarder la prise en charge des patients les plus graves. À ce jour, il n’existe en France aucune recommandation issue du travail d’analyse d’une société savante. L’objectif de cette recommandation formalisée d’experts a donc été d’établir des recommandations pour la prise en charge extrahospitalière et intrahospitalière durant les 24 premières heures suivant le traumatisme grave du bassin. La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) et la Société Française de Médecine d’Urgence (SFMU) se sont associées et ont collaboré avec la Société Française de Radiologie (SFR), le Service de Santé des Armées (SSA), l’Association Française d’Urologie (AFU), la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique (SOCFCOT) et la Société Française de Chirurgie Digestive (SFCD) pour étudier deux grandes problématiques de la prise en charge des traumatismes pelviens graves : la problématique de la prise en charge préhospitalière comportant en particulier les modalités de l’immobilisation pelvienne , ainsi que la problématique de la prise en charge intrahospitalière en termes diagnostique et thérapeutique, avec un chapitre concernant les particularités de la prise en charge d’un traumatisme pelvien ouvert. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65080 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt