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Auteur Pierre Huette |
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Fluid Challenge : de la théorie à la pratique / Pierre Huette in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019)
[article]
Titre : Fluid Challenge : de la théorie à la pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Huette ; Osama Abou Arab ; Christophe Beyls ; Yazine Mahjoub Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 492-501 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.004 Langues : Français (fre) Résumé : Le remplissage vasculaire a des effets secondaires prouvés liés à la toxicité des molécules utilisées et à la quantité de liquide perfusé. Pour éviter ces effets secondaires le concept du « Fluid Challenge » (FC) ou épreuve de remplissage a été développé. Le FC permet de tester la capacité du système cardiocirculatoire à augmenter le débit cardiaque après un remplissage vasculaire à minima. Ainsi, Le FC ne doit pas être utilisé quand l’hypovolémie est cliniquement évidente, notamment à la phase précoce des états de choc. La réponse à un FC doit se faire en monitorant la variation du volume d’éjection ventriculaire après le FC. Une variation de 10 à 15 % est considérée comme significative. Les outils qui semblent les plus fiables pour mesurer le volume d’éjection ventriculaire sont la thermodilution pulmonaire, la thermodilution transpulmonaire et l’échographie Doppler cardiaque. Il n’y a pas de consensus pour les modalités du FC. En se basant sur la littérature, est préconisée l’utilisation de cristalloïdes à la dose de 200–250mL à perfuser en 5 à 10minutes, et l’on propose d’évaluer l’effet du remplissage au bout de 20 à 30minutes. Il convient de vérifier les signes de mauvaise tolérance (œdème pulmonaire, congestion veineuse) du remplissage vasculaire avant de poursuivre les FC itératifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66061
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 492-501[article] Fluid Challenge : de la théorie à la pratique [texte imprimé] / Pierre Huette ; Osama Abou Arab ; Christophe Beyls ; Yazine Mahjoub . - 2019 . - p. 492-501.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.004
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 492-501
Résumé : Le remplissage vasculaire a des effets secondaires prouvés liés à la toxicité des molécules utilisées et à la quantité de liquide perfusé. Pour éviter ces effets secondaires le concept du « Fluid Challenge » (FC) ou épreuve de remplissage a été développé. Le FC permet de tester la capacité du système cardiocirculatoire à augmenter le débit cardiaque après un remplissage vasculaire à minima. Ainsi, Le FC ne doit pas être utilisé quand l’hypovolémie est cliniquement évidente, notamment à la phase précoce des états de choc. La réponse à un FC doit se faire en monitorant la variation du volume d’éjection ventriculaire après le FC. Une variation de 10 à 15 % est considérée comme significative. Les outils qui semblent les plus fiables pour mesurer le volume d’éjection ventriculaire sont la thermodilution pulmonaire, la thermodilution transpulmonaire et l’échographie Doppler cardiaque. Il n’y a pas de consensus pour les modalités du FC. En se basant sur la littérature, est préconisée l’utilisation de cristalloïdes à la dose de 200–250mL à perfuser en 5 à 10minutes, et l’on propose d’évaluer l’effet du remplissage au bout de 20 à 30minutes. Il convient de vérifier les signes de mauvaise tolérance (œdème pulmonaire, congestion veineuse) du remplissage vasculaire avant de poursuivre les FC itératifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66061 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? / Pierre Huette in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Huette ; Hervé Dupont Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 300-309 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANDIDOSE Résumé : Les infections à levures sont de plus en plus fréquentes en réanimation. Par ailleurs, elles sont clairement associées à une augmentation de la morbimortalité. L’espèce Candida albicans est la plus fréquente dans les candidoses invasives en réanimation et en Europe. De nombreux facteurs de risques sont identifiés et un certain nombre de scores prédictifs de candidémies ont été développés mais ils ne sont pas très performants. Le retard de mise en route du traitement est un facteur indépendant de mortalité. Quatre classes d’antifongiques sont disponibles : les polyènes, les triazolés, les échinocandines et la flucytosine. Leurs mécanismes d’action cellulaire et spectres d’activité sont différents et doivent être connus. Au cours des candidémies chez les patients graves, le traitement de première intention doit comprendre une échinocandine pour une durée de 14jours après négativation des hémocultures. Un bilan d’extension doit systématiquement être réalisé en cas de candidémie (fond d’œil et échographie cardiaque trans-œsophagienne). Au cours des infections intra-abdominales, il faut probablement introduire un traitement antifongique avec une échinocandine si présence de 3 critères prédictifs (défaillance hémodynamique, sexe féminin, chirurgie sus-mésocolique, antibiothérapie depuis plus de 48heures) ou en cas d’examen direct positif à levure. Toutes les recommandations sur le traitement antifongique préventif sont des recommandations de très bas niveau de preuve et ne permettent pas de définir une stratégie thérapeutique. La désescalade thérapeutique doit être la plus précoce possible et semble sans impact sur la morbimortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64812
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019) . - p. 300-309[article] Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? [texte imprimé] / Pierre Huette ; Hervé Dupont . - 2019 . - p. 300-309.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.004
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019) . - p. 300-309
Mots-clés : CANDIDOSE Résumé : Les infections à levures sont de plus en plus fréquentes en réanimation. Par ailleurs, elles sont clairement associées à une augmentation de la morbimortalité. L’espèce Candida albicans est la plus fréquente dans les candidoses invasives en réanimation et en Europe. De nombreux facteurs de risques sont identifiés et un certain nombre de scores prédictifs de candidémies ont été développés mais ils ne sont pas très performants. Le retard de mise en route du traitement est un facteur indépendant de mortalité. Quatre classes d’antifongiques sont disponibles : les polyènes, les triazolés, les échinocandines et la flucytosine. Leurs mécanismes d’action cellulaire et spectres d’activité sont différents et doivent être connus. Au cours des candidémies chez les patients graves, le traitement de première intention doit comprendre une échinocandine pour une durée de 14jours après négativation des hémocultures. Un bilan d’extension doit systématiquement être réalisé en cas de candidémie (fond d’œil et échographie cardiaque trans-œsophagienne). Au cours des infections intra-abdominales, il faut probablement introduire un traitement antifongique avec une échinocandine si présence de 3 critères prédictifs (défaillance hémodynamique, sexe féminin, chirurgie sus-mésocolique, antibiothérapie depuis plus de 48heures) ou en cas d’examen direct positif à levure. Toutes les recommandations sur le traitement antifongique préventif sont des recommandations de très bas niveau de preuve et ne permettent pas de définir une stratégie thérapeutique. La désescalade thérapeutique doit être la plus précoce possible et semble sans impact sur la morbimortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64812 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? / Stépane Bar in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 2 (Mars 2022)
[article]
Titre : Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Stépane Bar ; Ottilie Trocheris-Fumery ; Pierre Huette ; Hervé Dupont Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 141-151 Note générale : Cet article fait partie du dossier thématique "Hémodynamique"
Doi : 10.1016/j.anrea.2021.01.005Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypotension artérielle Hypertension artérielle Complications postopératoires Autorégulation Individualisation État de choc Résumé : La pression artérielle fait l’objet d’une autorégulation constante afin de maintenir des valeurs « adaptées » aux besoins de l’organisme. Celle-ci dépend de différents mécanismes agissant à des niveaux et dans une temporalité différente. Les cibles de pression artérielle sont variées du fait du terrain du patient, du type de chirurgie considéré en anesthésie et de l’étiologie du choc en réanimation. En chirurgie non cardiaque, un seuil « absolu » de PAM inférieure à 60–70mmHg, de PAS inférieure à 90mmHg et supérieure à 160mmHg serait associé aux complications postopératoires. L’individualisation des objectifs de pression artérielle en ciblant une valeur de référence préopératoire semble être une pratique pertinente d’un point de vue physiopathologique mais doit faire l’objet d’études complémentaires. En chirurgie cardiaque, il ne semble pas judicieux de maintenir une cible de PAM haute durant la circulation extra-corporelle, tout en ne dépassant pas une PAS de 140mmHg. Au cours du choc cardiogénique, l’ensemble des travaux à notre disposition nous permet de se positionner sur une utilisation précoce des catécholamines avec un objectif de PAM≥70mmHg. Au cours du choc septique, il est conseillé de cibler une PAM≥65mmHg selon les dernières recommandations. Au cours du choc hémorragique, il faut limiter le remplissage vasculaire avec si besoin l’utilisation précoce de vasopresseurs en cas d’hypotension artérielle menaçante (PAS<80mmHg et/ou PAM<60mmHg). En cas de traumatisme crânien grave, une pression de perfusion cérébrale supérieure à 60–70mmHg doit être maintenue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74401
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 2 (Mars 2022) . - p. 141-151[article] Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? [texte imprimé] / Stépane Bar ; Ottilie Trocheris-Fumery ; Pierre Huette ; Hervé Dupont . - 2022 . - p. 141-151.
Cet article fait partie du dossier thématique "Hémodynamique"
Doi : 10.1016/j.anrea.2021.01.005
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 2 (Mars 2022) . - p. 141-151
Mots-clés : Hypotension artérielle Hypertension artérielle Complications postopératoires Autorégulation Individualisation État de choc Résumé : La pression artérielle fait l’objet d’une autorégulation constante afin de maintenir des valeurs « adaptées » aux besoins de l’organisme. Celle-ci dépend de différents mécanismes agissant à des niveaux et dans une temporalité différente. Les cibles de pression artérielle sont variées du fait du terrain du patient, du type de chirurgie considéré en anesthésie et de l’étiologie du choc en réanimation. En chirurgie non cardiaque, un seuil « absolu » de PAM inférieure à 60–70mmHg, de PAS inférieure à 90mmHg et supérieure à 160mmHg serait associé aux complications postopératoires. L’individualisation des objectifs de pression artérielle en ciblant une valeur de référence préopératoire semble être une pratique pertinente d’un point de vue physiopathologique mais doit faire l’objet d’études complémentaires. En chirurgie cardiaque, il ne semble pas judicieux de maintenir une cible de PAM haute durant la circulation extra-corporelle, tout en ne dépassant pas une PAS de 140mmHg. Au cours du choc cardiogénique, l’ensemble des travaux à notre disposition nous permet de se positionner sur une utilisation précoce des catécholamines avec un objectif de PAM≥70mmHg. Au cours du choc septique, il est conseillé de cibler une PAM≥65mmHg selon les dernières recommandations. Au cours du choc hémorragique, il faut limiter le remplissage vasculaire avec si besoin l’utilisation précoce de vasopresseurs en cas d’hypotension artérielle menaçante (PAS<80mmHg et/ou PAM<60mmHg). En cas de traumatisme crânien grave, une pression de perfusion cérébrale supérieure à 60–70mmHg doit être maintenue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74401 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt