Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur G. Créhange |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Cancer de l’œsophage : radio-chimiothérapie exclusive ou préopératoire ? / A. Modesto in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Cancer de l’œsophage : radio-chimiothérapie exclusive ou préopératoire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Modesto ; N. Carrère ; R. Guimbaud ; M. Rives ; E. Deutsch ; G. Créhange Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 716-719 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.010 Langues : Français (fre) Résumé : La prise en charge des cancers de l’œsophage résécables repose sur un traitement multimodal associant de la radio-chimiothérapie (RCT) néoadjuvante avant une prise en charge chirurgicale. Cette séquence thérapeutique permet un taux de survie sans maladie à 2 ans autour de 45 % au prix d’une morbidité post-opératoire qui reste élevée. En cas d’irradiation exclusive la dose délivrée à la maladie macroscopique reste très débattue et le pronostic des cancers de l’œsophage après radio-chimiothérapie exclusive de 50Gy reste sombre. Cet article propose une revue synthétique des principales données publiées sur la prise en charge des patients atteints d’un cancer localisé de l’œsophage et présente les différentes études en cours en réponse aux différents enjeux posés par la prise en charge de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66147
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 716-719[article] Cancer de l’œsophage : radio-chimiothérapie exclusive ou préopératoire ? [texte imprimé] / A. Modesto ; N. Carrère ; R. Guimbaud ; M. Rives ; E. Deutsch ; G. Créhange . - 2019 . - p. 716-719.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.010
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 716-719
Résumé : La prise en charge des cancers de l’œsophage résécables repose sur un traitement multimodal associant de la radio-chimiothérapie (RCT) néoadjuvante avant une prise en charge chirurgicale. Cette séquence thérapeutique permet un taux de survie sans maladie à 2 ans autour de 45 % au prix d’une morbidité post-opératoire qui reste élevée. En cas d’irradiation exclusive la dose délivrée à la maladie macroscopique reste très débattue et le pronostic des cancers de l’œsophage après radio-chimiothérapie exclusive de 50Gy reste sombre. Cet article propose une revue synthétique des principales données publiées sur la prise en charge des patients atteints d’un cancer localisé de l’œsophage et présente les différentes études en cours en réponse aux différents enjeux posés par la prise en charge de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66147 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypofractionnement modéré ou extrême et cancers prostatiques localisés : les temps sont en train de changer / S. Line Krhili in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionnement modéré ou extrême et cancers prostatiques localisés : les temps sont en train de changer Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Line Krhili ; G. Créhange ; H. Albert-Dufrois ; V. Guimas ; M. Minsat ; S. Supiot Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 503-509 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.139 Langues : Français (fre) Résumé : Il existe de nombreuses options de traitement pour les cancers de prostate localisés, incluant la surveillance active, la curiethérapie, la radiothérapie externe et la prostatectomie radicale. La qualité de vie reste un objectif primordial en l’absence de supériorité d’une stratégie par rapport à une autre en termes de survie spécifique avec des taux de contrôles biochimiques à long terme équivalents. Malgré une diminution significative de la toxicité digestive et urinaire grâce à la RCMI guidée par l’image, la radiothérapie externe reste un traitement étalé sur environ deux mois ou 1,5 mois, en association avec la curiethérapie. Compte tenu d’une radiosensibilité différente de cette tumeur, plusieurs études randomisées ont montré qu’un traitement hypofractionné est non inférieur en termes de contrôle biochimique et de toxicité, permettant de diviser le nombre de séances par un facteur 2 à 8. Bien que réservé encore à une population de patients sélectionnés présentant un cancer de prostate localisé, l’hypofractionnement extrême devient un vrai compétiteur de la radiothérapie externe classique ou de la curiethérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66117
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 503-509[article] Hypofractionnement modéré ou extrême et cancers prostatiques localisés : les temps sont en train de changer [texte imprimé] / S. Line Krhili ; G. Créhange ; H. Albert-Dufrois ; V. Guimas ; M. Minsat ; S. Supiot . - 2019 . - p. 503-509.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.139
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 503-509
Résumé : Il existe de nombreuses options de traitement pour les cancers de prostate localisés, incluant la surveillance active, la curiethérapie, la radiothérapie externe et la prostatectomie radicale. La qualité de vie reste un objectif primordial en l’absence de supériorité d’une stratégie par rapport à une autre en termes de survie spécifique avec des taux de contrôles biochimiques à long terme équivalents. Malgré une diminution significative de la toxicité digestive et urinaire grâce à la RCMI guidée par l’image, la radiothérapie externe reste un traitement étalé sur environ deux mois ou 1,5 mois, en association avec la curiethérapie. Compte tenu d’une radiosensibilité différente de cette tumeur, plusieurs études randomisées ont montré qu’un traitement hypofractionné est non inférieur en termes de contrôle biochimique et de toxicité, permettant de diviser le nombre de séances par un facteur 2 à 8. Bien que réservé encore à une population de patients sélectionnés présentant un cancer de prostate localisé, l’hypofractionnement extrême devient un vrai compétiteur de la radiothérapie externe classique ou de la curiethérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66117 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quel rapport alpha/bêta pour le cancer prostatique en 2019 ? / Jean-Marc Cosset in Cancer Radiothérapie, 23/4 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Quel rapport alpha/bêta pour le cancer prostatique en 2019 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Cosset ; C. Chargari ; G. Créhange Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 342-345 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER Résumé : En 1999, Brenner et Hall ont calculé pour le cancer prostatique un rapport alpha/bêta très bas de 1,5Gy. Cette valeur a été confirmée dans les années qui ont suivi par de nombreuses études. Ce qui est alors devenu une sorte de « dogme » est à la base de très nombreux protocoles d’hypofractionnement, puisque cette valeur très basse du rapport alpha/bêta suggérait un effet bénéfique de l’hypofractionnement pour le cancer prostatique. Moyennant quoi, dans les années qui ont suivi, un certain nombre d’interrogations sont apparues : tout d’abord, plusieurs auteurs ont publié à partir de leurs données des rapports alpha/bêta plus élevés que le « dogme ». Ensuite, les trois essais modernes dits « de supériorité » n'ont pas montré de supériorité des bras hypofractionnés, malgré des doses équivalentes théoriques (calculées avec un rapport alpha/bêta de 1,5Gy) atteignant 84 à 90Gy. En 2018, trois revues générales et métanalyses, incluant plusieurs milliers de patients, ont amené à reconsidérer la valeur exacte du rapport alpha/bêta du cancer prostatique, en particulier – ̲mais pas seulement – parce que l’on a pris conscience que l’introduction d’un « facteur temps » (pour la repopulation) jouait un rôle important, qui avait été négligé jusqu’ici, dans l’évaluation du rapport alpha/bêta Dans ces trois études, le rapport alpha/bêta variait de 2,7Gy à 4,9Gy. Cela confirme certes une nette sensibilité du cancer prostatique à la variation de la dose par fraction, mais moins importante que celle suggérée par le « dogme » du rapport alpha/bêta très bas de 1,5Gy. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64784
in Cancer Radiothérapie > 23/4 (Juillet 2019) . - p. 342-345[article] Quel rapport alpha/bêta pour le cancer prostatique en 2019 ? [texte imprimé] / Jean-Marc Cosset ; C. Chargari ; G. Créhange . - 2019 . - p. 342-345.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.004
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/4 (Juillet 2019) . - p. 342-345
Mots-clés : PROSTATE CANCER Résumé : En 1999, Brenner et Hall ont calculé pour le cancer prostatique un rapport alpha/bêta très bas de 1,5Gy. Cette valeur a été confirmée dans les années qui ont suivi par de nombreuses études. Ce qui est alors devenu une sorte de « dogme » est à la base de très nombreux protocoles d’hypofractionnement, puisque cette valeur très basse du rapport alpha/bêta suggérait un effet bénéfique de l’hypofractionnement pour le cancer prostatique. Moyennant quoi, dans les années qui ont suivi, un certain nombre d’interrogations sont apparues : tout d’abord, plusieurs auteurs ont publié à partir de leurs données des rapports alpha/bêta plus élevés que le « dogme ». Ensuite, les trois essais modernes dits « de supériorité » n'ont pas montré de supériorité des bras hypofractionnés, malgré des doses équivalentes théoriques (calculées avec un rapport alpha/bêta de 1,5Gy) atteignant 84 à 90Gy. En 2018, trois revues générales et métanalyses, incluant plusieurs milliers de patients, ont amené à reconsidérer la valeur exacte du rapport alpha/bêta du cancer prostatique, en particulier – ̲mais pas seulement – parce que l’on a pris conscience que l’introduction d’un « facteur temps » (pour la repopulation) jouait un rôle important, qui avait été négligé jusqu’ici, dans l’évaluation du rapport alpha/bêta Dans ces trois études, le rapport alpha/bêta variait de 2,7Gy à 4,9Gy. Cela confirme certes une nette sensibilité du cancer prostatique à la variation de la dose par fraction, mais moins importante que celle suggérée par le « dogme » du rapport alpha/bêta très bas de 1,5Gy. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64784 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein / M. Wespiser in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Wespiser ; M. Goujon ; T. Nguyen Tan Hon ; T. Maurina ; F. Kleinclauss ; G. Créhange ; A. Thiery-Vuillemin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 896-903 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE Métastasectomie Cancer oligométastatique Résumé : Cet article est une revue de la littérature qui a pour objectif de clarifier la place des traitements systémiques et des traitements locorégionaux, en particulier la radiothérapie et la chirurgie, dans la prise en charge des patients atteints de cancer du rein oligométastatiques. Nous avons sélectionné des articles d’intérêts publiés dans des revues référencées dans la base de données Medline. Nous avons aussi analysé les recommandations en lien, du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) 2019, de l’European Association of Urology (EAU) de 2019, de l’European Society of Medical Oncology (ESMO) de 2019, de l’Association française d’urologie (Afu) de 2018, ainsi que certains résumés de congrès internationaux. Les principaux traitements évalués étaient la chirurgie et la radiothérapie. Nous avons défini les différents scénarii classiquement rencontrés en pratique clinique. L’évolution des thérapies systémiques (augmentation de la survie globale et du taux de réponse) accroîtra probablement le nombre de patients potentiellement accessibles à des traitements locorégionaux. L’analyse complète de la littérature souligne la place des traitements locorégionaux quels que soient les scenarii évoqués. Les données concernant la radiothérapie stéréotaxique retrouvaient un taux de contrôle local systématiquement au-delà de 70 % dans l’ensemble des études, avec une réponse qui se maintenait à distance avec un impact positif sur la survie globale et la survie sans progression. L’amélioration de la survie globale par l’enchaînement séquentiel des diverses classes thérapeutiques, confirme la nécessité d’une optimisation des traitements locorégionaux dans le modèle du cancer du rein oligométastatique. Le dogme de radiorésistance doit définitivement être mis de côté avec les techniques d’irradiation actuelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66731
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 896-903[article] Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein [texte imprimé] / M. Wespiser ; M. Goujon ; T. Nguyen Tan Hon ; T. Maurina ; F. Kleinclauss ; G. Créhange ; A. Thiery-Vuillemin . - 2019 . - p. 896-903.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.007
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 896-903
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE Métastasectomie Cancer oligométastatique Résumé : Cet article est une revue de la littérature qui a pour objectif de clarifier la place des traitements systémiques et des traitements locorégionaux, en particulier la radiothérapie et la chirurgie, dans la prise en charge des patients atteints de cancer du rein oligométastatiques. Nous avons sélectionné des articles d’intérêts publiés dans des revues référencées dans la base de données Medline. Nous avons aussi analysé les recommandations en lien, du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) 2019, de l’European Association of Urology (EAU) de 2019, de l’European Society of Medical Oncology (ESMO) de 2019, de l’Association française d’urologie (Afu) de 2018, ainsi que certains résumés de congrès internationaux. Les principaux traitements évalués étaient la chirurgie et la radiothérapie. Nous avons défini les différents scénarii classiquement rencontrés en pratique clinique. L’évolution des thérapies systémiques (augmentation de la survie globale et du taux de réponse) accroîtra probablement le nombre de patients potentiellement accessibles à des traitements locorégionaux. L’analyse complète de la littérature souligne la place des traitements locorégionaux quels que soient les scenarii évoqués. Les données concernant la radiothérapie stéréotaxique retrouvaient un taux de contrôle local systématiquement au-delà de 70 % dans l’ensemble des études, avec une réponse qui se maintenait à distance avec un impact positif sur la survie globale et la survie sans progression. L’amélioration de la survie globale par l’enchaînement séquentiel des diverses classes thérapeutiques, confirme la nécessité d’une optimisation des traitements locorégionaux dans le modèle du cancer du rein oligométastatique. Le dogme de radiorésistance doit définitivement être mis de côté avec les techniques d’irradiation actuelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66731 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelle machine pour quelle indication ? Stéréotaxie prostatique / A. Lapierre in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelle machine pour quelle indication ? Stéréotaxie prostatique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Lapierre ; S. Horn ; G. Créhange ; C. Enachescu ; I. Latorzeff ; S. Supiot ; P. Sargos ; O. Chapet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 651-657 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOCHIRURGIE Résumé : Au cours de la dernière décennie, la radiothérapie en conditions stéréotaxiques s’est affirmée comme un des traitements des cancers de prostate localisés, avec une bonne efficacité et une toxicité modérée. Ce traitement peut être délivré par différentes machines de radiothérapie et, bien que de nombreuses études cliniques, prospectives et rétrospectives, aient été publiées, les différentes techniques de traitement n’ont jamais été directement comparées entre elles. Cet article a pour objectif de faire l’état des lieux sur les études publiées, et sur les comparaisons possibles entre les différentes machines, d’un point de vue clinique (efficacité et toxicité), technique et radiobiologique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66136
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 651-657[article] Radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelle machine pour quelle indication ? Stéréotaxie prostatique [texte imprimé] / A. Lapierre ; S. Horn ; G. Créhange ; C. Enachescu ; I. Latorzeff ; S. Supiot ; P. Sargos ; O. Chapet . - 2019 . - p. 651-657.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 651-657
Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOCHIRURGIE Résumé : Au cours de la dernière décennie, la radiothérapie en conditions stéréotaxiques s’est affirmée comme un des traitements des cancers de prostate localisés, avec une bonne efficacité et une toxicité modérée. Ce traitement peut être délivré par différentes machines de radiothérapie et, bien que de nombreuses études cliniques, prospectives et rétrospectives, aient été publiées, les différentes techniques de traitement n’ont jamais été directement comparées entre elles. Cet article a pour objectif de faire l’état des lieux sur les études publiées, et sur les comparaisons possibles entre les différentes machines, d’un point de vue clinique (efficacité et toxicité), technique et radiobiologique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66136 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Réirradiations : quels critères décisionnels ? / J.-M. Cosset in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
PermalinkSalvage reirradiation for local prostate cancer recurrence after radiation therapy. For who? When? How? / M. Baty in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
Permalink