Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Jérôme Porignaux |
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Comparaison dosimétrique des examens abdominaux sur le scanner bi-tube et mono-tube / Jérôme Porignaux
Titre : Comparaison dosimétrique des examens abdominaux sur le scanner bi-tube et mono-tube Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Jérôme Porignaux ; Ben Sciarrabone Mention d'édition : session de juin Editeur : Gilly : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2019 Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.Langues : Français (fre) Mots-clés : abdomen dosimétrie fantôme scanner Index. décimale : TRIM - Travaux de recherche en imagerie médicale Résumé : Question de recherche : Comparaison dosimétrique des examens abdominaux sur le scanner bi-tube et mono-tube
Matériels et méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective de cas reprenant des patients ayant réalisé des examens abdominaux sur un scanner mono-tube et bi-tube. Ensuite, nous avons effectué des mesures dosimétriques sur fantôme.
Résultats et discussion : Sur un échantillon total de 200 patients la médiane de la DLP est inférieure au bi-tube par rapport au mono-tube. Dans les deux cas, les DLP sont inférieurs aux NRD établis par la commission européenne. Lors des acquisitions sur fantôme, la DLP récoltée lors de l’ensemble de nos mesures est toujours inférieure au bi-tube par rapport au mono-tube. Notamment lors d’examens abdominaux acquis en 4 phases au mono-tube et en double énergie au bi-tube, lors de l’utilisation du programme uroscanner spécifique à la lithiase urinaire même avec une phase en double énergie.
Les particularités du bi-tube et la modulation des kV permet une diminution du volume injecté au bi-tube par rapport au mono-tube. En effet, le rapport de volume injecté varie de 11,76 % à 6,89 % en fonction des kV utilisés.
Conclusion : L’utilisation du scanner bi-tube permet, d’une part, d’optimiser la dose reçue par un patient lors d’un CT d’abdomen et d’autre part d'adapter le volume de contraste injecté en fonction des kV utilisés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64079 Comparaison dosimétrique des examens abdominaux sur le scanner bi-tube et mono-tube [TFE / Mémoire] / Jérôme Porignaux ; Ben Sciarrabone . - session de juin . - Gilly (Catégorie Paramédicale, Département Soins Infirmiers, 6060) : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2019.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
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Langues : Français (fre)
Mots-clés : abdomen dosimétrie fantôme scanner Index. décimale : TRIM - Travaux de recherche en imagerie médicale Résumé : Question de recherche : Comparaison dosimétrique des examens abdominaux sur le scanner bi-tube et mono-tube
Matériels et méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective de cas reprenant des patients ayant réalisé des examens abdominaux sur un scanner mono-tube et bi-tube. Ensuite, nous avons effectué des mesures dosimétriques sur fantôme.
Résultats et discussion : Sur un échantillon total de 200 patients la médiane de la DLP est inférieure au bi-tube par rapport au mono-tube. Dans les deux cas, les DLP sont inférieurs aux NRD établis par la commission européenne. Lors des acquisitions sur fantôme, la DLP récoltée lors de l’ensemble de nos mesures est toujours inférieure au bi-tube par rapport au mono-tube. Notamment lors d’examens abdominaux acquis en 4 phases au mono-tube et en double énergie au bi-tube, lors de l’utilisation du programme uroscanner spécifique à la lithiase urinaire même avec une phase en double énergie.
Les particularités du bi-tube et la modulation des kV permet une diminution du volume injecté au bi-tube par rapport au mono-tube. En effet, le rapport de volume injecté varie de 11,76 % à 6,89 % en fonction des kV utilisés.
Conclusion : L’utilisation du scanner bi-tube permet, d’une part, d’optimiser la dose reçue par un patient lors d’un CT d’abdomen et d’autre part d'adapter le volume de contraste injecté en fonction des kV utilisés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64079 Exemplaires
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