Centre de Documentation Gilly
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[article]
Titre : |
Anti-PD-1 immunotherapy in combination with sequential involved-site radiotherapy in heavily pretreated refractory Hodgkin lymphoma |
Titre original : |
Immunothérapie associée à une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
L. Quéro ; L. Gilardin ; I. Fumagalli ; V. Martin ; S. Guillerm ; Y.M. Kirova ; P. Brice |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 132-137 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.05.002 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
IMMUNOTHÉRAPIE RADIOTHÉRAPIE POUMON HODGKIN MALADIE |
Résumé : |
Le but de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’une immunothérapie en combinaison avec une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire. Nous avons étudié l’évolution après une immunothérapie Anti-Programmed Death (PD)-1 et une irradiation de type « involved-site » chez quatre patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin. Après en médiane 13 mois, tous les patients étaient en vie en situation de réponse métabolique complète. Après la radiothérapie, les quatre patients ont vu se développer une toxicité pulmonaire résolutive après antibiothérapie avec ou sans corticothérapie. Une immunothérapie anti-PD-1 suivie d’une radiothérapie est réalisable et a montré des résultats très encourageants chez des patients lourdement prétraités. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63874 |
in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 132-137
[article] Anti-PD-1 immunotherapy in combination with sequential involved-site radiotherapy in heavily pretreated refractory Hodgkin lymphoma = Immunothérapie associée à une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire [texte imprimé] / L. Quéro ; L. Gilardin ; I. Fumagalli ; V. Martin ; S. Guillerm ; Y.M. Kirova ; P. Brice . - 2019 . - p. 132-137. https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.05.002 Langues : Français ( fre) in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 132-137
Mots-clés : |
IMMUNOTHÉRAPIE RADIOTHÉRAPIE POUMON HODGKIN MALADIE |
Résumé : |
Le but de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’une immunothérapie en combinaison avec une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire. Nous avons étudié l’évolution après une immunothérapie Anti-Programmed Death (PD)-1 et une irradiation de type « involved-site » chez quatre patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin. Après en médiane 13 mois, tous les patients étaient en vie en situation de réponse métabolique complète. Après la radiothérapie, les quatre patients ont vu se développer une toxicité pulmonaire résolutive après antibiothérapie avec ou sans corticothérapie. Une immunothérapie anti-PD-1 suivie d’une radiothérapie est réalisable et a montré des résultats très encourageants chez des patients lourdement prétraités. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63874 |
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Exemplaires (1)
|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Combination of chemotherapy and radiotherapy : A thirty years evolution |
Titre original : |
Associations de chimiothérapie et de radiothérapie : trente ans d’évolution |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 662-665 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.157 |
Langues : |
Anglais (eng) |
Mots-clés : |
Chimioradiothérapie Médecine -- Histoire |
Résumé : |
Les associations de chimiothérapie et de radiothérapie sont maintenant recommandées dans beaucoup de cancers localement avancés. Les médicaments cytotoxiques ont été largement évalués, le cisplatine et le 5-fluoro-uracile étant le plus utilisés. De nombreuses données précliniques ont démontré la synergie entre ces deux modalités. L’administration concomitante apparaît la plus efficace dans de nombreux cas. L’émergence des thérapies ciblées, en association avec la radiothérapie est maintenant une réalité. Le principal exemple est celui du cetuximab dans les cancers de la tête et du cou, même si 14 ans après la publication initiale, la meilleure manière d’associer les deux reste discutée. De nouveaux agents comme les inhibiteurs de la réparation de l’ADN ou des checkpoints immunologiques sont en cours d’évaluation, avec des résultats préliminaires prometteurs. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66138 |
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 662-665
[article] Combination of chemotherapy and radiotherapy : A thirty years evolution = Associations de chimiothérapie et de radiothérapie : trente ans d’évolution [texte imprimé] / C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro . - 2019 . - p. 662-665. Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.157 Langues : Anglais ( eng) in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 662-665
Mots-clés : |
Chimioradiothérapie Médecine -- Histoire |
Résumé : |
Les associations de chimiothérapie et de radiothérapie sont maintenant recommandées dans beaucoup de cancers localement avancés. Les médicaments cytotoxiques ont été largement évalués, le cisplatine et le 5-fluoro-uracile étant le plus utilisés. De nombreuses données précliniques ont démontré la synergie entre ces deux modalités. L’administration concomitante apparaît la plus efficace dans de nombreux cas. L’émergence des thérapies ciblées, en association avec la radiothérapie est maintenant une réalité. Le principal exemple est celui du cetuximab dans les cancers de la tête et du cou, même si 14 ans après la publication initiale, la meilleure manière d’associer les deux reste discutée. De nouveaux agents comme les inhibiteurs de la réparation de l’ADN ou des checkpoints immunologiques sont en cours d’évaluation, avec des résultats préliminaires prometteurs. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66138 |
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Exemplaires (1)
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Rationale for hypofractionation |
Titre original : |
Le retour de l’hypofractionnement : rationnel |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 500-502 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.156 |
Langues : |
Anglais (eng) |
Mots-clés : |
SEIN CANCER PROSTATE CANCER |
Résumé : |
Le fractionnement de la dose a été établi depuis plusieurs dizaines d’années comme le meilleur moyen d’obtenir un effet différentiel entre tissu sains et tumeurs. Cependant, les nouvelles techniques de radiothérapie permettent d’exclure du champ irradié les organes à risque. Elles rendent donc souvent inutiles le fractionnement classique. L’hypofractionnement a des avantages pratiques évidents: il économise du temps aux patients ; il est moins coûteux pour le système de santé ; il permet une meilleure gestion des centres de radiothérapie. Dans plusieurs localisations, des essais prospectifs ont montré son équivalence, tant en termes d’efficacité que de toxicité. Dans le cancer de la prostate, des considérations radiobiologiques laissaient penser qu’il pourrait être même plus efficace, mais les essais randomisés n’ont pas mis en évidence de bénéfice en termes de contrôle biochimique. En conclusion, pour toutes les tumeurs où il a démontré son intérêt, l’hypofractionnement doit être privilégié. Il doit être remboursé de la même manière que le fractionnement standard, afin de ne pas léser les centres qui l’utilisent. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66116 |
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 500-502
[article] Rationale for hypofractionation = Le retour de l’hypofractionnement : rationnel [texte imprimé] / C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro . - 2019 . - p. 500-502. Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.156 Langues : Anglais ( eng) in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 500-502
Mots-clés : |
SEIN CANCER PROSTATE CANCER |
Résumé : |
Le fractionnement de la dose a été établi depuis plusieurs dizaines d’années comme le meilleur moyen d’obtenir un effet différentiel entre tissu sains et tumeurs. Cependant, les nouvelles techniques de radiothérapie permettent d’exclure du champ irradié les organes à risque. Elles rendent donc souvent inutiles le fractionnement classique. L’hypofractionnement a des avantages pratiques évidents: il économise du temps aux patients ; il est moins coûteux pour le système de santé ; il permet une meilleure gestion des centres de radiothérapie. Dans plusieurs localisations, des essais prospectifs ont montré son équivalence, tant en termes d’efficacité que de toxicité. Dans le cancer de la prostate, des considérations radiobiologiques laissaient penser qu’il pourrait être même plus efficace, mais les essais randomisés n’ont pas mis en évidence de bénéfice en termes de contrôle biochimique. En conclusion, pour toutes les tumeurs où il a démontré son intérêt, l’hypofractionnement doit être privilégié. Il doit être remboursé de la même manière que le fractionnement standard, afin de ne pas léser les centres qui l’utilisent. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66116 |
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Exemplaires (1)
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Surveillance après un cancer du rectum |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
L. Quéro ; S. Guillerm ; P. Castelnau-Marchand ; M. Labidi ; C. Hennequin |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 572-575 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.123 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Avec le chirurgien, le gastroentérologue et le médecin traitant, l’oncologue-radiothérapeute est impliqué dans le suivi post-thérapeutique des patients atteints d’un cancer du rectum traité par irradiation. Un suivi est recommandé par de nombreuses sociétés savantes ainsi que des groupes d’experts. Celui-ci consiste à réaliser un examen clinique, un dosage de l’antigène carcinoembryonnaire, une coloscopie et une scanographie thoraco-abdominopelvienne. Récemment trois essais randomisés ont montré le manque de bénéfice à réaliser une surveillance intensive par rapport à une surveillance minimale, en termes de survie globale. Cependant, la surveillance n’est pas seulement nécessaire pour détecter précocement une récidive de la maladie, elle permet également d’identifier et de traiter les complications/séquelles à long terme des traitements. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66127 |
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 572-575
[article] Surveillance après un cancer du rectum [texte imprimé] / L. Quéro ; S. Guillerm ; P. Castelnau-Marchand ; M. Labidi ; C. Hennequin . - 2019 . - p. 572-575. Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.123 Langues : Français ( fre) in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 572-575
Résumé : |
Avec le chirurgien, le gastroentérologue et le médecin traitant, l’oncologue-radiothérapeute est impliqué dans le suivi post-thérapeutique des patients atteints d’un cancer du rectum traité par irradiation. Un suivi est recommandé par de nombreuses sociétés savantes ainsi que des groupes d’experts. Celui-ci consiste à réaliser un examen clinique, un dosage de l’antigène carcinoembryonnaire, une coloscopie et une scanographie thoraco-abdominopelvienne. Récemment trois essais randomisés ont montré le manque de bénéfice à réaliser une surveillance intensive par rapport à une surveillance minimale, en termes de survie globale. Cependant, la surveillance n’est pas seulement nécessaire pour détecter précocement une récidive de la maladie, elle permet également d’identifier et de traiter les complications/séquelles à long terme des traitements. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66127 |
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Exemplaires (1)
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