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Auteur A. Chakroun |
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Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires / Frédéric Courbon in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 194 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063 Langues : Français (fre) Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194[article] Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires [texte imprimé] / Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun . - 2019 . - p. 194.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194
Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311 Exemplaires (1)
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