Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Auteur A. Vallard |
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Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report / A. Vallard in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report Titre original : Histologies rares de cancer du rectum : résultats d’une cohorte monocentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Vallard ; P. Diao ; M.-A. Garcia ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer Rectum Anatomopathologie Histologie Rare Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
L’objectif de ce travail était de décrire les modalités de prise en charge et l’évolution des patients atteints de cancer du rectum d’histologie rare.
Matériel et méthodes
Nous avons rétrospectivement étudié les traitements et le devenir de tous les patients atteint d’un cancer du rectum traité dans notre service de radiothérapie.
Résultats
De 2004 à 2015, 744 patients ont été traité pour un cancer du rectum, dont dix avaient un sous-type histologique autre que l’adénocarcinome. L’âge médian de ces patients était de 60,7 ans (de 34,6–80,4 ans). Le sous-type histologique identifié était de nature neuroendocrine (quatre patients), adénosquameuse (un patient), indifférenciée à grandes cellules (un patient), carcinomateuse à cellules claires (un patient), anaplasique à petites cellules (un patient), en bague à chaton (un patient) et adénocarcinomateuse avec différenciation choriocarcinomateuse (un patient). Quatre cancers étaient d’emblée métastatiques et deux le sont finalement devenus. Six patients ont pu bénéficier d’une chirurgie rectale, précédée d’une chimioradiothérapie pour quatre d’entre eux. Aucune réponse complète n’a été mise en évidence et la résection étaient incomplète pour deux patients. La chimiothérapie concomitante ou de première ligne était toujours adaptée aux sous-types histologiques. Les durées médianes de survie sans progression et de la survie globale étaient respectivement 3,8 mois et 10,1 mois. Deux patients étaient en vie, à 22 et 54,7 mois du diagnostic. Les autres sont décédés des suites de leur cancer.
Conclusion
Les traitements des cancers rares du rectum ont été adaptés au sous-type histologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62921
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 17-22[article] Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report = Histologies rares de cancer du rectum : résultats d’une cohorte monocentrique [texte imprimé] / A. Vallard ; P. Diao ; M.-A. Garcia ; et al. . - 2019 . - p. 17-22.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 17-22
Mots-clés : Cancer Rectum Anatomopathologie Histologie Rare Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
L’objectif de ce travail était de décrire les modalités de prise en charge et l’évolution des patients atteints de cancer du rectum d’histologie rare.
Matériel et méthodes
Nous avons rétrospectivement étudié les traitements et le devenir de tous les patients atteint d’un cancer du rectum traité dans notre service de radiothérapie.
Résultats
De 2004 à 2015, 744 patients ont été traité pour un cancer du rectum, dont dix avaient un sous-type histologique autre que l’adénocarcinome. L’âge médian de ces patients était de 60,7 ans (de 34,6–80,4 ans). Le sous-type histologique identifié était de nature neuroendocrine (quatre patients), adénosquameuse (un patient), indifférenciée à grandes cellules (un patient), carcinomateuse à cellules claires (un patient), anaplasique à petites cellules (un patient), en bague à chaton (un patient) et adénocarcinomateuse avec différenciation choriocarcinomateuse (un patient). Quatre cancers étaient d’emblée métastatiques et deux le sont finalement devenus. Six patients ont pu bénéficier d’une chirurgie rectale, précédée d’une chimioradiothérapie pour quatre d’entre eux. Aucune réponse complète n’a été mise en évidence et la résection étaient incomplète pour deux patients. La chimiothérapie concomitante ou de première ligne était toujours adaptée aux sous-types histologiques. Les durées médianes de survie sans progression et de la survie globale étaient respectivement 3,8 mois et 10,1 mois. Deux patients étaient en vie, à 22 et 54,7 mois du diagnostic. Les autres sont décédés des suites de leur cancer.
Conclusion
Les traitements des cancers rares du rectum ont été adaptés au sous-type histologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62921 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey / S. De Oliveira Duarte in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey Titre original : Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale Type de document : texte imprimé Auteurs : S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 395-400 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400[article] Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey = Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale [texte imprimé] / S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard . - 2019 . - p. 395-400.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400
Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt