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Auteur Stéphane Jauréguiberry |
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Accès palustre grave : initier en urgence l'artésunate intraveineux du fait du risque d'aggravation brutale / Stéphane Jauréguiberry in La revue du praticien, Vol. 69, n° 2 (Février 2019)
[article]
Titre : Accès palustre grave : initier en urgence l'artésunate intraveineux du fait du risque d'aggravation brutale Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Jauréguiberry, Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 162-165 Langues : Français (fre) Mots-clés : Paludisme cérébral Paludisme / complications Choc septique Antipaludiques accès palustre grave neuropaludisme Résumé : Environ 15% des 4500 à 5000 cas de paludisme survenant chaque année en France vont s'avérer être des accès palustres graves. Les formes graves de paludisme impliquent majoritairement P.falciparum. Le neuropaludisme est la complication propre à P.falciparum, le plus souvent mortelle, de l'accès palustre grave, mais d'autres atteintes existent (atteinte multiorganique), faisant du paludisme grave une atteinte parasitaire systémique à haut risque de mortalité. La mortalité est étroitement corrélée à la présence d'une atteinte neurologique, d'un état de choc, d'une détresse respiratoire, d'une acidose métabolique et d'une hyperlactatémie, au moment du diagnostic de l'infection. Outre le diagnostic parasitologique, le bilan biologique complémentaire vise à mettre en évidence l'existence de critères biologiques de gravité. Le traitement de l'accès grave est débuté en urgence dès le diagnostic connu. Le traitement spécifique de l'accès grave repose maintenant sur l'artésunate intraveineux chez l'enfant, l'adulte, la femme enceinte. Les défaillances d'organes relèvent d'une prise en charge en service de réanimation. La mortalité en France est inférieure à 5%. De séquelles sont possibles. Chez environ 15% des patients, un épisode d'anémiehémolytique retardé (10 jours à 3 semaines après la fin du traitement) peut survenir après un traitement par artésunate; elle doit être dépistée par la recherche hebdomadaire de la survenue d'une anémie hémolytique en parallèle du suivi parasitologique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62539
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 2 (Février 2019) . - p. 162-165[article] Accès palustre grave : initier en urgence l'artésunate intraveineux du fait du risque d'aggravation brutale [texte imprimé] / Stéphane Jauréguiberry, . - 2019 . - p. 162-165.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 2 (Février 2019) . - p. 162-165
Mots-clés : Paludisme cérébral Paludisme / complications Choc septique Antipaludiques accès palustre grave neuropaludisme Résumé : Environ 15% des 4500 à 5000 cas de paludisme survenant chaque année en France vont s'avérer être des accès palustres graves. Les formes graves de paludisme impliquent majoritairement P.falciparum. Le neuropaludisme est la complication propre à P.falciparum, le plus souvent mortelle, de l'accès palustre grave, mais d'autres atteintes existent (atteinte multiorganique), faisant du paludisme grave une atteinte parasitaire systémique à haut risque de mortalité. La mortalité est étroitement corrélée à la présence d'une atteinte neurologique, d'un état de choc, d'une détresse respiratoire, d'une acidose métabolique et d'une hyperlactatémie, au moment du diagnostic de l'infection. Outre le diagnostic parasitologique, le bilan biologique complémentaire vise à mettre en évidence l'existence de critères biologiques de gravité. Le traitement de l'accès grave est débuté en urgence dès le diagnostic connu. Le traitement spécifique de l'accès grave repose maintenant sur l'artésunate intraveineux chez l'enfant, l'adulte, la femme enceinte. Les défaillances d'organes relèvent d'une prise en charge en service de réanimation. La mortalité en France est inférieure à 5%. De séquelles sont possibles. Chez environ 15% des patients, un épisode d'anémiehémolytique retardé (10 jours à 3 semaines après la fin du traitement) peut survenir après un traitement par artésunate; elle doit être dépistée par la recherche hebdomadaire de la survenue d'une anémie hémolytique en parallèle du suivi parasitologique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62539 Exemplaires (1)
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