Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Lucas Spindler |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Fissure anale / Nadia Fathallah in La revue du praticien, Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019)
[article]
Titre : Fissure anale Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Fathallah ; Lucas Spindler ; Jean-David Zeitoun ; Vincent De Parades Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1005-1010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Urologie Fissure anale / classification Fissure anale / diagnostic Fissure anale / chirurgie Fissure anale / thérapie Résumé : La fissure anale est une pathologie proctologique douloureuse qui atteint le plus souvent le sujet jeune de manière équivalente dans les deux sexes. Elle altère significativement la qualité de vie et nécessite une prise en charge rapide. La fissure est le plus souvent située au niveau de la commissure anale postérieure et fréquemment surmontée par un capuchon mariscal qui peut la cacher et faire porter à tort le diagnostic de pathologie hémorroïdaire. Des diagnostics différentiels comme un carcinome, une maladie de Crohn, une infection sexuellement transmise, etc., doivent être évoqués en cas de présentation atypique. La physiopathologie reste un sujet de controverse mais elle résulte dans la grande majorité des cas de la conjonction du traumatisme du passage de selles dures et d'une contracture sphinctérienne avec hypertonie anale de repos. Le traitement médical permet de guérir un peu plus de la moitié des patients. La chirurgie est réservée aux échecs du traitement médical et aux fissures hyperalgiques. En France, la fissurectomie est le geste le plus pratiqué alors que de l'autre côté de la Manche ou de l'Atlantique, la sphinctérotomie latérale interne est considérée comme la technique de référence. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66272
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019) . - p. 1005-1010[article] Fissure anale [texte imprimé] / Nadia Fathallah ; Lucas Spindler ; Jean-David Zeitoun ; Vincent De Parades . - 2019 . - p. 1005-1010.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019) . - p. 1005-1010
Mots-clés : Urologie Fissure anale / classification Fissure anale / diagnostic Fissure anale / chirurgie Fissure anale / thérapie Résumé : La fissure anale est une pathologie proctologique douloureuse qui atteint le plus souvent le sujet jeune de manière équivalente dans les deux sexes. Elle altère significativement la qualité de vie et nécessite une prise en charge rapide. La fissure est le plus souvent située au niveau de la commissure anale postérieure et fréquemment surmontée par un capuchon mariscal qui peut la cacher et faire porter à tort le diagnostic de pathologie hémorroïdaire. Des diagnostics différentiels comme un carcinome, une maladie de Crohn, une infection sexuellement transmise, etc., doivent être évoqués en cas de présentation atypique. La physiopathologie reste un sujet de controverse mais elle résulte dans la grande majorité des cas de la conjonction du traumatisme du passage de selles dures et d'une contracture sphinctérienne avec hypertonie anale de repos. Le traitement médical permet de guérir un peu plus de la moitié des patients. La chirurgie est réservée aux échecs du traitement médical et aux fissures hyperalgiques. En France, la fissurectomie est le geste le plus pratiqué alors que de l'autre côté de la Manche ou de l'Atlantique, la sphinctérotomie latérale interne est considérée comme la technique de référence. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66272 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Fistules anales, épargner le sphincter : des techniques chirurgicales en pleine évolution / Vincent de Parades in La revue du praticien, Vol. 73, n° 3 (Mars 2023)
[article]
Titre : Fistules anales, épargner le sphincter : des techniques chirurgicales en pleine évolution Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent de Parades ; Mohamed Amine Haouari ; Nadia Fathallah ; Lucas Spindler ; Amélie Barré ; Elise Pommaret ; Paul Benfredj Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 274-278 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Mots-clés : CHirurgie Fistule anale Résumé : La fistulotomie est le traitement le plus souvent utilisé dans la fistule anale. Elle est très efficace, avec un taux de guérison supérieur à 95 %, mais expose à un risque
d’incontinence. Cela a conduit au développement de diverses techniques d’épargne sphinctérienne. L’injection de colle ou de pâte biologique ainsi que la mise en place d’un plug ont des résultats finalement décevants et un coût élevé. Le lambeau rectal d’avancement est encore pratiqué en raison de son taux de guérison aux alentours de 75 %, mais il peut se solder par quelques troubles séquellaires de la continence. La ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux et le laser sont largement pratiqués en France, avec des taux de guérison
oscillant entre 60 et 70 %. Le traitement vidéo-assisté du trajet fistuleux ainsi que les injections périfistuleuses de tissu adipeux, de fraction vasculaire stromale, de plasma enrichi en plaquettes et/ou de cellules souches mésenchymateuses sont des techniques émergentes dont on espère de meilleurs résultats encore.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77721
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 274-278[article] Fistules anales, épargner le sphincter : des techniques chirurgicales en pleine évolution [texte imprimé] / Vincent de Parades ; Mohamed Amine Haouari ; Nadia Fathallah ; Lucas Spindler ; Amélie Barré ; Elise Pommaret ; Paul Benfredj . - 2023 . - p. 274-278.
Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie"
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 274-278
Mots-clés : CHirurgie Fistule anale Résumé : La fistulotomie est le traitement le plus souvent utilisé dans la fistule anale. Elle est très efficace, avec un taux de guérison supérieur à 95 %, mais expose à un risque
d’incontinence. Cela a conduit au développement de diverses techniques d’épargne sphinctérienne. L’injection de colle ou de pâte biologique ainsi que la mise en place d’un plug ont des résultats finalement décevants et un coût élevé. Le lambeau rectal d’avancement est encore pratiqué en raison de son taux de guérison aux alentours de 75 %, mais il peut se solder par quelques troubles séquellaires de la continence. La ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux et le laser sont largement pratiqués en France, avec des taux de guérison
oscillant entre 60 et 70 %. Le traitement vidéo-assisté du trajet fistuleux ainsi que les injections périfistuleuses de tissu adipeux, de fraction vasculaire stromale, de plasma enrichi en plaquettes et/ou de cellules souches mésenchymateuses sont des techniques émergentes dont on espère de meilleurs résultats encore.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77721 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Incontinence anale : encore tabou... Le plus souvent, la cause est identifiée après interrogatoire et examen clinique / Lucas Spindler in La revue du praticien médecine générale, 1010 (Novembre 2018)
[article]
Titre : Incontinence anale : encore tabou... Le plus souvent, la cause est identifiée après interrogatoire et examen clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Spindler ; Jean-David Zeitoun ; Nadia Fathallah ; Paul Benfredj ; Vincent De Parades Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 775-777 Langues : Français (fre) Mots-clés : INCONTINENCE ANALE Résumé : -> C'est un sujet tabou malgré une prévalence élevée.
-> L'étiologie est le plus souvent multifactorielle.
-> Le traitement repose avant tout sur la correction du trouble du transit puis sur la rééducation anale.
-> La neuromodulation des racines sacrées a révolutionné la prise en charge des formes sévères.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=61093
in La revue du praticien médecine générale > 1010 (Novembre 2018) . - p. 775-777[article] Incontinence anale : encore tabou... Le plus souvent, la cause est identifiée après interrogatoire et examen clinique [texte imprimé] / Lucas Spindler ; Jean-David Zeitoun ; Nadia Fathallah ; Paul Benfredj ; Vincent De Parades . - 2018 . - p. 775-777.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1010 (Novembre 2018) . - p. 775-777
Mots-clés : INCONTINENCE ANALE Résumé : -> C'est un sujet tabou malgré une prévalence élevée.
-> L'étiologie est le plus souvent multifactorielle.
-> Le traitement repose avant tout sur la correction du trouble du transit puis sur la rééducation anale.
-> La neuromodulation des racines sacrées a révolutionné la prise en charge des formes sévères.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=61093 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prise en charge des lésions secondaires de la maladie de Crohn anopérinéale : la thérapie cellulaire change la donne / Nadia Fathallah in La revue du praticien, Vol. 73, n° 3 (Mars 2023)
[article]
Titre : Prise en charge des lésions secondaires de la maladie de Crohn anopérinéale : la thérapie cellulaire change la donne Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Fathallah ; Amine Alam ; Liza Kassouri ; Amélie Barré ; Lucas Spindler ; Vincent de Parades Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 289-295 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie de Crohn Thérapie cellulaire Résumé : L’atteinte anopérinéale de la maladie de Crohn est fréquente ; elle affecte environ un tiers des patients durant leur maladie. Elle constitue un facteur péjoratif responsable d’une majoration du risque de colostomie définitive et de proctectomie, et est associée à une altération majeure de la qualité de vie. Les lésions anales secondaires de la maladie de Crohn sont des fistules et des abcès.
Elles sont difficiles à traiter et souvent récidivantes. Une prise en charge multidisciplinaire médico-chirurgicale en plusieurs étapes s’impose. La séquence classique se fonde sur une phase de drainage des fistules et des abcès, une phase de traitement médical fondé en priorité sur les anti-TNF alpha et enfin une phase de fermeture chirurgicale du (ou des) trajet(s) fistuleux. Les techniques de fermeture classiques comme la colle biologique, le plug, le lambeau d’avancement et la ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux ont une efficacité limitée, ne sont pas toujours réalisables, nécessitent des compétences techniques et ont, pour certaines, un impact sur la continence anale. Ces dernières années, l’arrivée
de la thérapie cellulaire suscite un véritable enthousiasme. Cet engouement n’a pas épargné la proctologie, puisque les cellules souches mésenchymateuses (CSM) allogéniques d’origine adipocytaires ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), sont commercialisées et remboursées en France depuis 2020 dans le traitement des fistules anales complexes de la maladie de Crohn en échec d’au moins une biothérapie. Cette thérapie offre une alternative supplémentaire à des patients souvent en situation
d’impasse thérapeutique. Les résultats préliminaires en vraie vie sont satisfaisants, avec un bon profil d’innocuité. Toutefois, il faudra confirmer ces résultats à plus long terme et travailler à identifier le profil des patients qui pourraient bénéficier au mieux de cette thérapie onéreuse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77724
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 289-295[article] Prise en charge des lésions secondaires de la maladie de Crohn anopérinéale : la thérapie cellulaire change la donne [texte imprimé] / Nadia Fathallah ; Amine Alam ; Liza Kassouri ; Amélie Barré ; Lucas Spindler ; Vincent de Parades . - 2023 . - p. 289-295.
Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie"
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 289-295
Mots-clés : Maladie de Crohn Thérapie cellulaire Résumé : L’atteinte anopérinéale de la maladie de Crohn est fréquente ; elle affecte environ un tiers des patients durant leur maladie. Elle constitue un facteur péjoratif responsable d’une majoration du risque de colostomie définitive et de proctectomie, et est associée à une altération majeure de la qualité de vie. Les lésions anales secondaires de la maladie de Crohn sont des fistules et des abcès.
Elles sont difficiles à traiter et souvent récidivantes. Une prise en charge multidisciplinaire médico-chirurgicale en plusieurs étapes s’impose. La séquence classique se fonde sur une phase de drainage des fistules et des abcès, une phase de traitement médical fondé en priorité sur les anti-TNF alpha et enfin une phase de fermeture chirurgicale du (ou des) trajet(s) fistuleux. Les techniques de fermeture classiques comme la colle biologique, le plug, le lambeau d’avancement et la ligature intersphinctérienne du trajet fistuleux ont une efficacité limitée, ne sont pas toujours réalisables, nécessitent des compétences techniques et ont, pour certaines, un impact sur la continence anale. Ces dernières années, l’arrivée
de la thérapie cellulaire suscite un véritable enthousiasme. Cet engouement n’a pas épargné la proctologie, puisque les cellules souches mésenchymateuses (CSM) allogéniques d’origine adipocytaires ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), sont commercialisées et remboursées en France depuis 2020 dans le traitement des fistules anales complexes de la maladie de Crohn en échec d’au moins une biothérapie. Cette thérapie offre une alternative supplémentaire à des patients souvent en situation
d’impasse thérapeutique. Les résultats préliminaires en vraie vie sont satisfaisants, avec un bon profil d’innocuité. Toutefois, il faudra confirmer ces résultats à plus long terme et travailler à identifier le profil des patients qui pourraient bénéficier au mieux de cette thérapie onéreuse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77724 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive / Lucas Spindler in La revue du praticien, Vol. 73, n° 3 (Mars 2023)
[article]
Titre : Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Spindler ; Nadia Fathallah ; Mélanie Draulette ; Vincent de Parades Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 283-288 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Mots-clés : Sinus pilonidal Chirurgie mini-invasive Résumé : Le sinus pilonidal infecté est une pathologie fréquente qui affecterait 0,7 % de la population. Son traitement est chirurgical. En France, la technique de référence est l’exérèse, avec une plaie laissée ouverte, puis une cicatrisation dirigée. Elle a l’avantage de réduire le risque de récidive, au prix cependant de soins infirmiers quotidiens, d’une
durée de cicatrisation longue impliquant un arrêt d’activité prolongé. Les techniques chirurgicales de fermeture ou de plastie visant à réduire la durée des soins sont moins
contraignantes pour les patients, mais elles exposent à davantage de récidives que la technique ouverte. L’objectif des techniques mini-invasives est de simplifier les suites
opératoires tout en limitant le risque de récidive. Les techniques mini-invasives anciennes comme la phénolisation ou le «?pit picking?» exposent à un taux de récidive élevé malgré des suites simples. Aujourd’hui, de nouvelles techniques se développent, faisant appel, entre autres, à l’endoscopie ou encore au laser également utilisés pour le traitement des fistules anales. Les premiers résultats sont prometteurs, avec un taux d’échec globalement inférieur à 10 % à un an. Les complications sont rares, le plus souvent mineures, et les suites postopératoires sont simples sans nécessité de soins infirmiers. Cependant, ces résultats intéressants nécessitent d’être confirmés par des études de meilleure qualité avec un suivi prolongé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77723
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 283-288[article] Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive [texte imprimé] / Lucas Spindler ; Nadia Fathallah ; Mélanie Draulette ; Vincent de Parades . - 2023 . - p. 283-288.
Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie"
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 283-288
Mots-clés : Sinus pilonidal Chirurgie mini-invasive Résumé : Le sinus pilonidal infecté est une pathologie fréquente qui affecterait 0,7 % de la population. Son traitement est chirurgical. En France, la technique de référence est l’exérèse, avec une plaie laissée ouverte, puis une cicatrisation dirigée. Elle a l’avantage de réduire le risque de récidive, au prix cependant de soins infirmiers quotidiens, d’une
durée de cicatrisation longue impliquant un arrêt d’activité prolongé. Les techniques chirurgicales de fermeture ou de plastie visant à réduire la durée des soins sont moins
contraignantes pour les patients, mais elles exposent à davantage de récidives que la technique ouverte. L’objectif des techniques mini-invasives est de simplifier les suites
opératoires tout en limitant le risque de récidive. Les techniques mini-invasives anciennes comme la phénolisation ou le «?pit picking?» exposent à un taux de récidive élevé malgré des suites simples. Aujourd’hui, de nouvelles techniques se développent, faisant appel, entre autres, à l’endoscopie ou encore au laser également utilisés pour le traitement des fistules anales. Les premiers résultats sont prometteurs, avec un taux d’échec globalement inférieur à 10 % à un an. Les complications sont rares, le plus souvent mineures, et les suites postopératoires sont simples sans nécessité de soins infirmiers. Cependant, ces résultats intéressants nécessitent d’être confirmés par des études de meilleure qualité avec un suivi prolongé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77723 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt