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Auteur C. Garabedian |
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Analyse pratique du RCF [Rythme Cardiaque Foetal] : méthodologie et cas cliniques commentés / P. Berveiller
Titre : Analyse pratique du RCF [Rythme Cardiaque Foetal] : méthodologie et cas cliniques commentés Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Berveiller ; C. Garabedian ; Émeline Maisonneuve Editeur : Paris : Masson Année de publication : 2020 Collection : Collection pratique en gynécologie obstétrique Importance : 1 vol. (148 p.) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-294-76845-3 Note générale : Avec 28 cas cliniques Langues : Français (fre) Mots-clés : Cardiotocographie Foetus -- Physiologie Rythme cardiaque foetal Cas clinique Travail accouchement Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : L'enregistrement du rythme cardiaque foetal (RCF) est une méthode de surveillance du foetus pendant le travail mais aussi en dehors et dont l'utilisation a pris de l'ampleur au cours des cinq dernières décennies. La lecture des données enregistrées donne lieu à une interprétation toujours délicate, voire imparfaite, en fonction du contexte. L'enregistrement doit donc être de bonne qualité pour permettre une interprétation rigoureuse.
Cet ouvrage qui se présente comme un outil pratique et didactique, propose une méthode systématique de description et d'interprétation du RCF destinée à maximiser les données qui permettront ensuite une meilleure prise en charge.
Il est structuré en deux grandes parties :
- la première, consacrée à des rappels théoriques sur la compréhension et l'interprétation du RCF, met l'accent sur la physiologie foetale qui favorise cette compréhension et cette interprétation ;
- la deuxième composée de cas cliniques, permet de s'entraîner à la systématisation de l'interprétation du RCF.
Les tracés qu'il propose en font un manuel d'apprentissage de lecture et d'interprétation indispensable aux sages-femmes et aux gynécologues obstétriciens.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74915 Analyse pratique du RCF [Rythme Cardiaque Foetal] : méthodologie et cas cliniques commentés [texte imprimé] / P. Berveiller ; C. Garabedian ; Émeline Maisonneuve . - Paris : Masson, 2020 . - 1 vol. (148 p.). - (Collection pratique en gynécologie obstétrique) .
ISBN : 978-2-294-76845-3
Avec 28 cas cliniques
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cardiotocographie Foetus -- Physiologie Rythme cardiaque foetal Cas clinique Travail accouchement Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : L'enregistrement du rythme cardiaque foetal (RCF) est une méthode de surveillance du foetus pendant le travail mais aussi en dehors et dont l'utilisation a pris de l'ampleur au cours des cinq dernières décennies. La lecture des données enregistrées donne lieu à une interprétation toujours délicate, voire imparfaite, en fonction du contexte. L'enregistrement doit donc être de bonne qualité pour permettre une interprétation rigoureuse.
Cet ouvrage qui se présente comme un outil pratique et didactique, propose une méthode systématique de description et d'interprétation du RCF destinée à maximiser les données qui permettront ensuite une meilleure prise en charge.
Il est structuré en deux grandes parties :
- la première, consacrée à des rappels théoriques sur la compréhension et l'interprétation du RCF, met l'accent sur la physiologie foetale qui favorise cette compréhension et cette interprétation ;
- la deuxième composée de cas cliniques, permet de s'entraîner à la systématisation de l'interprétation du RCF.
Les tracés qu'il propose en font un manuel d'apprentissage de lecture et d'interprétation indispensable aux sages-femmes et aux gynécologues obstétriciens.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74915 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité 618.2 BER A Livre Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Etagères livres Sorti jusqu'au 06/01/2025 Republication de : Évaluation du respect du protocole des codes couleurs selon l’indication de césarienne et le délai décision-naissance / S. Deltombe-Bodart in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Republication de : Évaluation du respect du protocole des codes couleurs selon l’indication de césarienne et le délai décision-naissance Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Deltombe-Bodart ; A. Grabarz ; N. Ramdane ; V. Delporte ; S. Depret ; P. Deruelle ; C. Garabedian Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 272-278 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Évaluer le respect de l'application du protocole des codes couleurs selon l'indication de césarienne et du délai décision-naissance (DDN) selon le code couleur, l'opérateur et la période.
Méthode
Étude rétrospective monocentrique incluant les patientes ayant accouché par césarienne en cours de travail de singleton après 37 SA entre 2015 et 2017. Trois groupes ont été constitués : les césariennes en code vert, orange et rouge. Nous avons comparé dans ces 3 groupes les caractéristiques de la population et les données obstétricales. A posteriori, nous avons établi un code couleur réévalué et analysé la concordance entre le code initial et réévalué. Le respect du DDN en fonction de l'indication de césarienne, du code couleur, du grade de l'opérateur et de la période nocturne ou diurne a été étudié.
Résultats
Huit cent quatre-vingt-un patientes ont été incluses dont 303 (34 %) ayant eu une césarienne code vert, 353 (40 %) code orange et 225 (26 %) code rouge. Il y avait une concordance significative entre les codes couleur initiaux et réévalués avec un test de concordance Kappa IC 95 % 0,95 (0,93-0,97). Les DDN ont été respectés avec respectivement 37±20min pour les césariennes code vert, 20±6min pour les césariennes code orange et 12±3min pour les césariennes code rouge avec respect du DDN selon le code couleur. Le DDN moyen était similaire selon l'opérateur et la période.
Conclusion
Nous observons dans notre étude un respect du code couleur en fonction de l'indication de césarienne et un respect du DDN quel que soit l'horaire de réalisation et l'opérateur.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60845
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 272-278[article] Republication de : Évaluation du respect du protocole des codes couleurs selon l’indication de césarienne et le délai décision-naissance [texte imprimé] / S. Deltombe-Bodart ; A. Grabarz ; N. Ramdane ; V. Delporte ; S. Depret ; P. Deruelle ; C. Garabedian . - 2018 . - p. 272-278.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 272-278
Résumé : Objectif
Évaluer le respect de l'application du protocole des codes couleurs selon l'indication de césarienne et du délai décision-naissance (DDN) selon le code couleur, l'opérateur et la période.
Méthode
Étude rétrospective monocentrique incluant les patientes ayant accouché par césarienne en cours de travail de singleton après 37 SA entre 2015 et 2017. Trois groupes ont été constitués : les césariennes en code vert, orange et rouge. Nous avons comparé dans ces 3 groupes les caractéristiques de la population et les données obstétricales. A posteriori, nous avons établi un code couleur réévalué et analysé la concordance entre le code initial et réévalué. Le respect du DDN en fonction de l'indication de césarienne, du code couleur, du grade de l'opérateur et de la période nocturne ou diurne a été étudié.
Résultats
Huit cent quatre-vingt-un patientes ont été incluses dont 303 (34 %) ayant eu une césarienne code vert, 353 (40 %) code orange et 225 (26 %) code rouge. Il y avait une concordance significative entre les codes couleur initiaux et réévalués avec un test de concordance Kappa IC 95 % 0,95 (0,93-0,97). Les DDN ont été respectés avec respectivement 37±20min pour les césariennes code vert, 20±6min pour les césariennes code orange et 12±3min pour les césariennes code rouge avec respect du DDN selon le code couleur. Le DDN moyen était similaire selon l'opérateur et la période.
Conclusion
Nous observons dans notre étude un respect du code couleur en fonction de l'indication de césarienne et un respect du DDN quel que soit l'horaire de réalisation et l'opérateur.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60845 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Méthodes de maturation cervicale et déclenchement du travail : évaluation de la sonde simple ballonnet comparée à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines / V. Pez in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Republication de : Méthodes de maturation cervicale et déclenchement du travail : évaluation de la sonde simple ballonnet comparée à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Pez ; P. Deruelle ; M. Kyheng ; C. Boyon ; E. Clouqueur ; C. Garabedian Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 279-284 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Comparer l'efficacité de la sonde simple ballonnet, à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines dans la maturation cervicale et le déclenchement du travail sur col défavorable.
Méthodes
Il s'agit d'une étude comparative, rétrospective, uni-centrique. Étaient incluses les grossesses singleton en présentation céphalique. Étaient exclus les utérus cicatriciels. Les critères de jugement étaient le taux d'accouchement voie basse, le taux de césarienne, la modification du score de Bishop, le délai déclenchement-naissance, le recours à une prostaglandine de 2e ligne, le recours à l'oxytocine en salle de naissance et la survenue de complications maternelles ou néonatales.
Résultats
Ont été incluses 108patientes : 45dans le groupe simple ballonnet, 32dans le groupe double ballonnet et 31dans le groupe prostaglandines. Le taux d'accouchement voie basse était similaire dans le groupe simple ballonnet (78 %) comparé aux 2autres groupes (respectivement 75 % pour la sonde double ballonnet et 71 % pour les prostaglandines). Le recours à l'oxytocine était plus important pour le groupe simple ballonnet. Il n'y avait pas de différence significative pour les autres paramètres. Les coûts du déclenchement étaient respectivement de 9euros pour le groupe simple ballonnet, versus 55 et 81euros pour les groupes double ballonnet et prostaglandines.
Conclusion
La sonde simple ballonnet semble avoir une efficacité identique à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines vaginales, avec comme principal avantage un moindre coût pour le déclenchement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60846
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 279-284[article] Republication de : Méthodes de maturation cervicale et déclenchement du travail : évaluation de la sonde simple ballonnet comparée à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines [texte imprimé] / V. Pez ; P. Deruelle ; M. Kyheng ; C. Boyon ; E. Clouqueur ; C. Garabedian . - 2018 . - p. 279-284.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 279-284
Résumé : Objectif
Comparer l'efficacité de la sonde simple ballonnet, à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines dans la maturation cervicale et le déclenchement du travail sur col défavorable.
Méthodes
Il s'agit d'une étude comparative, rétrospective, uni-centrique. Étaient incluses les grossesses singleton en présentation céphalique. Étaient exclus les utérus cicatriciels. Les critères de jugement étaient le taux d'accouchement voie basse, le taux de césarienne, la modification du score de Bishop, le délai déclenchement-naissance, le recours à une prostaglandine de 2e ligne, le recours à l'oxytocine en salle de naissance et la survenue de complications maternelles ou néonatales.
Résultats
Ont été incluses 108patientes : 45dans le groupe simple ballonnet, 32dans le groupe double ballonnet et 31dans le groupe prostaglandines. Le taux d'accouchement voie basse était similaire dans le groupe simple ballonnet (78 %) comparé aux 2autres groupes (respectivement 75 % pour la sonde double ballonnet et 71 % pour les prostaglandines). Le recours à l'oxytocine était plus important pour le groupe simple ballonnet. Il n'y avait pas de différence significative pour les autres paramètres. Les coûts du déclenchement étaient respectivement de 9euros pour le groupe simple ballonnet, versus 55 et 81euros pour les groupes double ballonnet et prostaglandines.
Conclusion
La sonde simple ballonnet semble avoir une efficacité identique à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines vaginales, avec comme principal avantage un moindre coût pour le déclenchement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60846 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Le peau à peau du nouveau-né en cours de césarienne : une étude d’évaluation des pratiques professionnelles / P. Luu in La revue Sage-femme, Vol. 18, n° 4 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Republication de : Le peau à peau du nouveau-né en cours de césarienne : une étude d’évaluation des pratiques professionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Luu ; B. Mestdagh ; C. Barré-Drouard ; P. Richart ; C. Courtecuisse-Vamour ; T. Rakza ; C. Garabedian ; D. Subtil Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 204-209 Note générale : Doi : 10.1016/j.sagf.2019.05.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : CÉSARIENNE PEAU COMMUNICATION Résumé : Compte tenu de ses bénéfices, un peau à peau du nouveau-né avec sa mère devrait s'appliquer quelle que soit la voie d'accouchement.
Objectif : Évaluer la possibilité du peau à peau en cas de césarienne.
Méthodes : Enquête rétrospective menée en post-partum immédiat auprès d'une série continue de patientes ayant accouché par césarienne dans une maternité de type 3 universitaire réalisant systématiquement le peau à peau en cas d'accouchement par voie basse. Les patientes étaient incluses si la césarienne avait été réalisée entre le 16/11/17 et le 28/11/17.
Résultats : Trente-cinq femmes ont accouché par césarienne pendant la période d'étude, dont 26 césariennes non programmées (74 %). Les niveaux d'urgence étaient variés : 18 codes verts (51 %), 12 codes oranges (34 %) et 5 codes rouges (14 %). Un peu moins de la moitié des nouveau-nés ont été placés en peau à peau (46 %). La fréquence du peau à peau était très liée au caractère programmé ou non de la césarienne (89 vs 31 %, p=0,005), ainsi qu'à son code couleur (vert 72 %, orange 25 %, rouge 0 %). En cas d'impossibilité de réaliser le peau à peau en cours de césarienne, les raisons étaient principalement liées à l'état maternel (63 %) (malaise, hémorragie, douleur...). Dans cette situation, le peau à peau a été réalisé par le conjoint dans 83 % des cas et réalisé avec la mère en salle de réveil dans 82 % des cas.
Conclusion : Le peau à peau apparaît possible dans presque tous les cas de césarienne programmée, mais difficile en cas de césarienne non programmée, surtout si celle-ci est réalisée en urgence.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64902
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 4 (Septembre 2019) . - p. 204-209[article] Republication de : Le peau à peau du nouveau-né en cours de césarienne : une étude d’évaluation des pratiques professionnelles [texte imprimé] / P. Luu ; B. Mestdagh ; C. Barré-Drouard ; P. Richart ; C. Courtecuisse-Vamour ; T. Rakza ; C. Garabedian ; D. Subtil . - 2019 . - p. 204-209.
Doi : 10.1016/j.sagf.2019.05.003
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 4 (Septembre 2019) . - p. 204-209
Mots-clés : CÉSARIENNE PEAU COMMUNICATION Résumé : Compte tenu de ses bénéfices, un peau à peau du nouveau-né avec sa mère devrait s'appliquer quelle que soit la voie d'accouchement.
Objectif : Évaluer la possibilité du peau à peau en cas de césarienne.
Méthodes : Enquête rétrospective menée en post-partum immédiat auprès d'une série continue de patientes ayant accouché par césarienne dans une maternité de type 3 universitaire réalisant systématiquement le peau à peau en cas d'accouchement par voie basse. Les patientes étaient incluses si la césarienne avait été réalisée entre le 16/11/17 et le 28/11/17.
Résultats : Trente-cinq femmes ont accouché par césarienne pendant la période d'étude, dont 26 césariennes non programmées (74 %). Les niveaux d'urgence étaient variés : 18 codes verts (51 %), 12 codes oranges (34 %) et 5 codes rouges (14 %). Un peu moins de la moitié des nouveau-nés ont été placés en peau à peau (46 %). La fréquence du peau à peau était très liée au caractère programmé ou non de la césarienne (89 vs 31 %, p=0,005), ainsi qu'à son code couleur (vert 72 %, orange 25 %, rouge 0 %). En cas d'impossibilité de réaliser le peau à peau en cours de césarienne, les raisons étaient principalement liées à l'état maternel (63 %) (malaise, hémorragie, douleur...). Dans cette situation, le peau à peau a été réalisé par le conjoint dans 83 % des cas et réalisé avec la mère en salle de réveil dans 82 % des cas.
Conclusion : Le peau à peau apparaît possible dans presque tous les cas de césarienne programmée, mais difficile en cas de césarienne non programmée, surtout si celle-ci est réalisée en urgence.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64902 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) / T. Schmitz in La revue Sage-femme, Vol. 18, n° 2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Schmitz ; L. Sentilhes ; E. Lorthe ; D. Gallot ; H. Madar ; M. Doret-Dion ; G. Beucher ; C. Charlier ; C. Cazanave ; P. Delorme ; C. Garabedian ; E. Azria ; V. Tessier ; M.-V. Senat ; G. Kayem Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 107-114 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Déterminer la prise en charge des patientes avec une rupture prématurée des membranes avant 37 semaines d'aménorrhée (SA).
Méthodes
Synthèse de la littérature à partir des bases de données PubMed et Cochrane et des recommandations des sociétés et collèges français et étrangers.
Résultats
En France, la fréquence de la rupture prématurée des membranes (RPM) est de 2 à 3 % avant 37 SA (Niveau de preuve [NP] 2) et de moins de 1 % avant 34 SA (NP2). La prématurité et l'infection intra-utérine sont les complications majeures de la RPM avant terme (NP2). La prolongation de la durée de latence est bénéfique (NP2). Par rapport aux autres causes de prématurité, la RPM avant terme n'est pas associée à un sur-risque évident de morbi-mortalité néonatale, sauf en cas d'infection intra-utérine, qui est associée à une augmentation des morts fœtales in utero (NP3), des infections néonatales précoces (NP2) et des entérocolites ulcéronécrosantes (NP2). Le diagnostic de la RPM avant terme est principalement clinique (accord professionnel). En cas de doute diagnostique, il est recommandé d'utiliser les tests de détection d'IGFBP-1 ou de PAMG-1 (accord professionnel). Il est recommandé d'hospitaliser les patientes lors du diagnostic de RPM avant terme (accord professionnel). Il n'existe pas d'argument suffisant pour recommander ou ne pas recommander une tocolyse initiale (grade C). Si une tocolyse était prescrite, il est recommandé de ne pas la prolonger plus de 48heures (grade C). Il est recommandé d'administrer une cure anténatale de corticoïdes si l'âge gestationnel est inférieur à 34 SA (grade A) et du sulfate de magnésium en cas d'accouchement imminent avant 32 SA (grade A). Il est recommandé de prescrire une antibioprophylaxie à l'admission (grade A) pour réduire la morbidité néonatale et maternelle (NP1). L'amoxicilline, les céphalosporines de 3ème génération et l'érythromycine (accord professionnel) peuvent être utilisées en monothérapie, ou l'association érythromycine-amoxicilline (accord professionnel), pour une durée de 7jours (grade C). Toutefois, un arrêt précoce de l'antibioprophylaxie semble acceptable en cas de prélèvement vaginal initial négatif (accord professionnel). Il n'est pas recommandé de prescrire comme antibioprophylaxie l'association amoxicilline-acide clavulanique (accord professionnel), des aminosides, des glycopeptides, des céphalosporines de première ou deuxième génération, de la clindamycine ou du métronidazole (accord professionnel). La prise en charge à domicile des patientes cliniquement stables après au moins 48heures de surveillance hospitalière est possible (accord professionnel). Au cours de la surveillance, il est recommandé d'identifier les éléments cliniques et biologiques évocateurs d'une infection intra-utérine (accord professionnel). Il n'est pas possible d'émettre de recommandations sur la fréquence de cette surveillance (accord professionnel). En cas d'examen de surveillance isolément positif chez une patiente asymptomatique (CRP augmentée, hyperleucocytose, prélèvement vaginal positif), il n'est pas recommandé d'initier systématiquement une antibiothérapie (accord professionnel). En cas d'infection intra-utérine, il est recommandé d'administrer immédiatement une antibiothérapie associant une bêtalactamine à un aminoside (grade B), par voie intraveineuse (grade B) et de faire naître l'enfant (grade A). La césarienne en cas d'infection intra-utérine est réservée aux indications obstétricales habituelles (accord professionnel). Il est recommandé d'avoir une attitude expectative en cas de RPM non compliquée avant 37 SA (grade A), même en cas de prélèvement positif pour le streptocoque B, sous couvert d'une antibioprophylaxie à l'admission (accord professionnel). L'ocytocine et les prostaglandines sont deux options envisageables pour le déclenchement du travail en cas de RPM avant terme (accord professionnel).
Conclusion
La prise en charge de la rupture prématurée des membranes avant terme non compliquée repose sur l'expectative jusqu'à 37 SA (grade A).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63199
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 2 (Avril 2019) . - p. 107-114[article] Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) [texte imprimé] / T. Schmitz ; L. Sentilhes ; E. Lorthe ; D. Gallot ; H. Madar ; M. Doret-Dion ; G. Beucher ; C. Charlier ; C. Cazanave ; P. Delorme ; C. Garabedian ; E. Azria ; V. Tessier ; M.-V. Senat ; G. Kayem . - 2019 . - p. 107-114.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 2 (Avril 2019) . - p. 107-114
Résumé : Objectif
Déterminer la prise en charge des patientes avec une rupture prématurée des membranes avant 37 semaines d'aménorrhée (SA).
Méthodes
Synthèse de la littérature à partir des bases de données PubMed et Cochrane et des recommandations des sociétés et collèges français et étrangers.
Résultats
En France, la fréquence de la rupture prématurée des membranes (RPM) est de 2 à 3 % avant 37 SA (Niveau de preuve [NP] 2) et de moins de 1 % avant 34 SA (NP2). La prématurité et l'infection intra-utérine sont les complications majeures de la RPM avant terme (NP2). La prolongation de la durée de latence est bénéfique (NP2). Par rapport aux autres causes de prématurité, la RPM avant terme n'est pas associée à un sur-risque évident de morbi-mortalité néonatale, sauf en cas d'infection intra-utérine, qui est associée à une augmentation des morts fœtales in utero (NP3), des infections néonatales précoces (NP2) et des entérocolites ulcéronécrosantes (NP2). Le diagnostic de la RPM avant terme est principalement clinique (accord professionnel). En cas de doute diagnostique, il est recommandé d'utiliser les tests de détection d'IGFBP-1 ou de PAMG-1 (accord professionnel). Il est recommandé d'hospitaliser les patientes lors du diagnostic de RPM avant terme (accord professionnel). Il n'existe pas d'argument suffisant pour recommander ou ne pas recommander une tocolyse initiale (grade C). Si une tocolyse était prescrite, il est recommandé de ne pas la prolonger plus de 48heures (grade C). Il est recommandé d'administrer une cure anténatale de corticoïdes si l'âge gestationnel est inférieur à 34 SA (grade A) et du sulfate de magnésium en cas d'accouchement imminent avant 32 SA (grade A). Il est recommandé de prescrire une antibioprophylaxie à l'admission (grade A) pour réduire la morbidité néonatale et maternelle (NP1). L'amoxicilline, les céphalosporines de 3ème génération et l'érythromycine (accord professionnel) peuvent être utilisées en monothérapie, ou l'association érythromycine-amoxicilline (accord professionnel), pour une durée de 7jours (grade C). Toutefois, un arrêt précoce de l'antibioprophylaxie semble acceptable en cas de prélèvement vaginal initial négatif (accord professionnel). Il n'est pas recommandé de prescrire comme antibioprophylaxie l'association amoxicilline-acide clavulanique (accord professionnel), des aminosides, des glycopeptides, des céphalosporines de première ou deuxième génération, de la clindamycine ou du métronidazole (accord professionnel). La prise en charge à domicile des patientes cliniquement stables après au moins 48heures de surveillance hospitalière est possible (accord professionnel). Au cours de la surveillance, il est recommandé d'identifier les éléments cliniques et biologiques évocateurs d'une infection intra-utérine (accord professionnel). Il n'est pas possible d'émettre de recommandations sur la fréquence de cette surveillance (accord professionnel). En cas d'examen de surveillance isolément positif chez une patiente asymptomatique (CRP augmentée, hyperleucocytose, prélèvement vaginal positif), il n'est pas recommandé d'initier systématiquement une antibiothérapie (accord professionnel). En cas d'infection intra-utérine, il est recommandé d'administrer immédiatement une antibiothérapie associant une bêtalactamine à un aminoside (grade B), par voie intraveineuse (grade B) et de faire naître l'enfant (grade A). La césarienne en cas d'infection intra-utérine est réservée aux indications obstétricales habituelles (accord professionnel). Il est recommandé d'avoir une attitude expectative en cas de RPM non compliquée avant 37 SA (grade A), même en cas de prélèvement positif pour le streptocoque B, sous couvert d'une antibioprophylaxie à l'admission (accord professionnel). L'ocytocine et les prostaglandines sont deux options envisageables pour le déclenchement du travail en cas de RPM avant terme (accord professionnel).
Conclusion
La prise en charge de la rupture prématurée des membranes avant terme non compliquée repose sur l'expectative jusqu'à 37 SA (grade A).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63199 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt