Anticoagulants oraux d'action directe / Raphaël Le Mao in La revue du praticien, Vol. 68, n° 5 (Mai 2018)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 68, n° 5 (Mai 2018) . - p. 475-482 Titre : Anticoagulants oraux d'action directe Type de document : texte imprimé Auteurs : Raphaël Le Mao ; Cécile Tromeur ; Aicha Fofana ; Christophe Leroyer ; Karine Lacut ; Francis Couturaud Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 475-482 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anticoagulants  Administration par voie orale  Dabigatran  Thromboembolisme veineux / traitement médicamenteux  Thromboembolisme veineux / prévention et contrôle  Interactions médicamenteuses  Hémostase chirurgicale  anticoagulants oraux directs  apixaban Résumé : Grâce à leur facilité d'utilisation et à un moindre risque hémorragique, les indications des anticoagulants oraux d'action directe se sont beaucoup étendues. Pour autant, la surveillance des patients traités doit rester rigoureuse. Les auteurs passent en revue les principales indications validées de cette classe d'anticoagulants : la prévention primaire en chirurgie, la maladie veineuse thrombolique, la fibrillation atriale non valvulaire, chez les sujets âgés. Ils envisagent aussi les situations pour lesquelles la place des AOD n'est pas encore validée (fibrillation atriale valvulaire, AOD après remplacement valvulaire) et celles pour lesquelles la place des AOD reste à définir (syndrome coronaire aigu, maladie veineuse thrombo-embolique et cancer). Ils dressent la liste des intéractions médicamenteuses possibles des AOD et font une revue de la littérature des études comparatives entre AOD et AVK dans le traitement de la maladie veineuse thromboembolique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58721 [article] Anticoagulants oraux d'action directe [texte imprimé] / Raphaël Le Mao ; Cécile Tromeur ; Aicha Fofana ; Christophe Leroyer ; Karine Lacut ; Francis Couturaud . - 2018 . - p. 475-482. Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 68, n° 5 (Mai 2018) . - p. 475-482 Mots-clés : Anticoagulants  Administration par voie orale  Dabigatran  Thromboembolisme veineux / traitement médicamenteux  Thromboembolisme veineux / prévention et contrôle  Interactions médicamenteuses  Hémostase chirurgicale  anticoagulants oraux directs  apixaban Résumé : Grâce à leur facilité d'utilisation et à un moindre risque hémorragique, les indications des anticoagulants oraux d'action directe se sont beaucoup étendues. Pour autant, la surveillance des patients traités doit rester rigoureuse. Les auteurs passent en revue les principales indications validées de cette classe d'anticoagulants : la prévention primaire en chirurgie, la maladie veineuse thrombolique, la fibrillation atriale non valvulaire, chez les sujets âgés. Ils envisagent aussi les situations pour lesquelles la place des AOD n'est pas encore validée (fibrillation atriale valvulaire, AOD après remplacement valvulaire) et celles pour lesquelles la place des AOD reste à définir (syndrome coronaire aigu, maladie veineuse thrombo-embolique et cancer). Ils dressent la liste des intéractions médicamenteuses possibles des AOD et font une revue de la littérature des études comparatives entre AOD et AVK dans le traitement de la maladie veineuse thromboembolique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58721

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Dépistage et diagnostic de l’hypertension pulmonaire : approche en trois étapes / Athénaïs Boucly in La revue du praticien, Tome 75, n° 1 (Janvier 2025)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Tome 75, n° 1 (Janvier 2025) . - p. 36-42 Titre : Dépistage et diagnostic de l’hypertension pulmonaire : approche en trois étapes Type de document : texte imprimé Auteurs : Athénaïs Boucly, Auteur ; Hélène Pringuez ; Cécile Tromeur, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 36-42 Note générale : Cet article fait partie du dossier « Hypertension pulmonaire : prise en charge spécifique selon les causes ». Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypertension pulmonaire  Dépistage  Diagnostic Résumé : « Le diagnostic de l’hypertension pulmonaire est souvent tardif du fait de la faible spécificité des signes cliniques  dominés par la dyspnée d’effort. Les recommandations européennes des sociétés savantes de pneumologie et de cardiologie, publiées en 2022, ont permis de préciser l’algorithme diagnostique. Le diagnostic de l’hypertension pulmonaire repose sur une approche en trois étapes. La première, «?suspicion?», est fondée principalement sur les symptômes et les signes cliniques présentés par le patient. La deuxième, «?détection?», repose sur des examens paracliniques de dépistage tels que l’échographie cardiaque qui permettent d’écarter ou de renforcer la suspicion diagnostique. Enfin, si la probabilité échographique d’hypertension pulmonaire est élevée, la troisième étape vise à confirmer le diagnostic par la réalisation d’un cathétérisme cardiaque droit. » Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=90973 [article] Dépistage et diagnostic de l’hypertension pulmonaire : approche en trois étapes [texte imprimé] / Athénaïs Boucly, Auteur ; Hélène Pringuez ; Cécile Tromeur, Auteur . - 2025 . - p. 36-42. Cet article fait partie du dossier « Hypertension pulmonaire : prise en charge spécifique selon les causes ». Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Tome 75, n° 1 (Janvier 2025) . - p. 36-42 Mots-clés : Hypertension pulmonaire  Dépistage  Diagnostic Résumé : « Le diagnostic de l’hypertension pulmonaire est souvent tardif du fait de la faible spécificité des signes cliniques  dominés par la dyspnée d’effort. Les recommandations européennes des sociétés savantes de pneumologie et de cardiologie, publiées en 2022, ont permis de préciser l’algorithme diagnostique. Le diagnostic de l’hypertension pulmonaire repose sur une approche en trois étapes. La première, «?suspicion?», est fondée principalement sur les symptômes et les signes cliniques présentés par le patient. La deuxième, «?détection?», repose sur des examens paracliniques de dépistage tels que l’échographie cardiaque qui permettent d’écarter ou de renforcer la suspicion diagnostique. Enfin, si la probabilité échographique d’hypertension pulmonaire est élevée, la troisième étape vise à confirmer le diagnostic par la réalisation d’un cathétérisme cardiaque droit. » Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=90973

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