Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
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Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Auteur V. Verhoeven |
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Autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV : une alternative crédible ? / V. Verhoeven in Minerva, Vol. 14, n°10 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV : une alternative crédible ? Type de document : document multimédia Auteurs : V. Verhoeven Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 122-123 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prelevement Utérus Infection Infections à papillomavirus Dépistage systématique Résumé : Cette étude d’observation incluant 3 cohortes, qui présente des défaillances importantes sur le plan méthodologique, montre qu’un autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV associé à un programme éducatif intensif augmente dans une certaine mesure le taux de participation au dépistage, principalement parmi les femmes qui consultent déjà régulièrement pour un frottis du col de l’utérus. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2005 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58031
in Minerva > Vol. 14, n°10 (Décembre 2015) . - p. 122-123[article] Autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV : une alternative crédible ? [document multimédia] / V. Verhoeven . - 2015 . - p. 122-123.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 14, n°10 (Décembre 2015) . - p. 122-123
Mots-clés : Prelevement Utérus Infection Infections à papillomavirus Dépistage systématique Résumé : Cette étude d’observation incluant 3 cohortes, qui présente des défaillances importantes sur le plan méthodologique, montre qu’un autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV associé à un programme éducatif intensif augmente dans une certaine mesure le taux de participation au dépistage, principalement parmi les femmes qui consultent déjà régulièrement pour un frottis du col de l’utérus. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2005 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58031 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Infection à Chlamydia : écouvillon prélevé par le médecin ou par la femme elle-même ? / V. Verhoeven in Minerva, Vol. 12, n°10 (Décembre 2013)
[article]
Titre : Infection à Chlamydia : écouvillon prélevé par le médecin ou par la femme elle-même ? Type de document : document multimédia Auteurs : V. Verhoeven Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 125-126 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection Infection à Chlamydia Maladies sexuellement transmissibles Médecine factuelle Inflammation Col uterin Prelevement Examen gynécologique Résumé : Les auteurs concluent que, tant chez les femmes asymptomatiques que chez les femmes qui présentent des symptômes d’IST, le frottis vulvo-vaginal est significativement meilleur que le frottis endocervical pour détecter une infection à Chlamydia. En recourant au frottis endocervical plutôt qu’au frottis vulvo-vaginal chez les femmes symptomatiques, on passerait à côté du diagnostic d’infection à Chlamydia dans 9 % des cas, soit dans 1 cas sur 11. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/59 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58247
in Minerva > Vol. 12, n°10 (Décembre 2013) . - p. 125-126[article] Infection à Chlamydia : écouvillon prélevé par le médecin ou par la femme elle-même ? [document multimédia] / V. Verhoeven . - 2013 . - p. 125-126.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 12, n°10 (Décembre 2013) . - p. 125-126
Mots-clés : Infection Infection à Chlamydia Maladies sexuellement transmissibles Médecine factuelle Inflammation Col uterin Prelevement Examen gynécologique Résumé : Les auteurs concluent que, tant chez les femmes asymptomatiques que chez les femmes qui présentent des symptômes d’IST, le frottis vulvo-vaginal est significativement meilleur que le frottis endocervical pour détecter une infection à Chlamydia. En recourant au frottis endocervical plutôt qu’au frottis vulvo-vaginal chez les femmes symptomatiques, on passerait à côté du diagnostic d’infection à Chlamydia dans 9 % des cas, soit dans 1 cas sur 11. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/59 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58247 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? / Bernard Sabbe in Minerva, Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? Auteurs : Bernard Sabbe ; V. Verhoeven Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 89-93 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD001206.pub3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traitement médicamenteux Phobie sociale Résumé : La phobie sociale se caractérise par une angoisse intense, avec comportement d’évitement correspondant, se manifestant dans des situations sociales (manger ou boire en public, avoir affaire à des représentants de l’autorité ou à des personnes étrangères, parler ou faire une prestation devant un auditoire, se sentir observé pendant le travail, se trouver dans des rassemblements). Une étude épidémiologique montre que la phobie sociale est une affection très fréquente, dont la prévalence sur la durée de vie est estimée à 3 à 16%. L’affection est cause d’une souffrance personnelle et peut avoir d’importantes répercussions sur les capacités fonctionnelles dans un contexte large – professionnel, relationnel et social. Bien que la physiopathologie de la phobie sociale ne soit pas encore parfaitement comprise, il existe toutefois des éléments probants de plus en plus nombreux qui montrent que différents neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la noradrénaline, la dopamine, le GABA et le glutamate, jouent un rôle important dans la pathogenèse. L’effet de différents médicaments, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRIs) et les benzodiazépines, dans le traitement de la phobie sociale a déjà été étudié à plusieurs reprises, mais on ne connaît pas leur place par rapport à la psychothérapie, on ne sait pas quelles sont les classes pharmacologiques qui ont le plus d’effet ni quelles sont la dose optimale et la durée optimale du traitement et quels facteurs prédisent la réponse au traitement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67593
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 89-93[article] Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? [] / Bernard Sabbe ; V. Verhoeven . - 2019 . - p. 89-93.
DOI: 10.1002/14651858.CD001206.pub3
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 89-93
Mots-clés : Traitement médicamenteux Phobie sociale Résumé : La phobie sociale se caractérise par une angoisse intense, avec comportement d’évitement correspondant, se manifestant dans des situations sociales (manger ou boire en public, avoir affaire à des représentants de l’autorité ou à des personnes étrangères, parler ou faire une prestation devant un auditoire, se sentir observé pendant le travail, se trouver dans des rassemblements). Une étude épidémiologique montre que la phobie sociale est une affection très fréquente, dont la prévalence sur la durée de vie est estimée à 3 à 16%. L’affection est cause d’une souffrance personnelle et peut avoir d’importantes répercussions sur les capacités fonctionnelles dans un contexte large – professionnel, relationnel et social. Bien que la physiopathologie de la phobie sociale ne soit pas encore parfaitement comprise, il existe toutefois des éléments probants de plus en plus nombreux qui montrent que différents neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la noradrénaline, la dopamine, le GABA et le glutamate, jouent un rôle important dans la pathogenèse. L’effet de différents médicaments, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRIs) et les benzodiazépines, dans le traitement de la phobie sociale a déjà été étudié à plusieurs reprises, mais on ne connaît pas leur place par rapport à la psychothérapie, on ne sait pas quelles sont les classes pharmacologiques qui ont le plus d’effet ni quelles sont la dose optimale et la durée optimale du traitement et quels facteurs prédisent la réponse au traitement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67593 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire