Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Philippe Sitbon |
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Mastectomie avec curage axillaire / Lana Zoric in Anesthésie & Réanimation, Vol. 9, n° 1 (Janvier 2023)
[article]
Titre : Mastectomie avec curage axillaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Lana Zoric ; Philippe Sitbon ; William Jacot Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 64-67 Note générale : Cet article fait partie du dossier "L'anesthésie loco-régionale"
Doi : 10.1016/j.anrea.2022.12.008Langues : Français (fre) Mots-clés : Anesthésie Sein Mastectomie Bloc pecto serratus Chimiothérapie néoadjuvante Bloc interpectoral Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77510
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 9, n° 1 (Janvier 2023) . - p. 64-67[article] Mastectomie avec curage axillaire [texte imprimé] / Lana Zoric ; Philippe Sitbon ; William Jacot . - 2023 . - p. 64-67.
Cet article fait partie du dossier "L'anesthésie loco-régionale"
Doi : 10.1016/j.anrea.2022.12.008
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 9, n° 1 (Janvier 2023) . - p. 64-67
Mots-clés : Anesthésie Sein Mastectomie Bloc pecto serratus Chimiothérapie néoadjuvante Bloc interpectoral Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77510 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUE Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Place de l'analgésie péridurale en 2016 en dehors de l'obstétrique / Philippe Sitbon in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 2 (Mars 2017)
[article]
Titre : Place de l'analgésie péridurale en 2016 en dehors de l'obstétrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Sitbon Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 135-146 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANALGÉSIE PÉRIDURALE THORAX CHIRURGIE ANALGÉSIE ABDOMEN CHIRURGIE Résumé : Il est recommandé d’utiliser l’analgésie périmédullaire thoracique (APDT) après chirurgie thoracique ou intra-abdominale majeure (gastrique, pancréatique, colique, chirurgie du grêle, œsophagectomie, cystectomie), afin d’améliorer l’analgésie, réduire la durée de l’iléus postopératoire et raccourcir le délai d’extubation.
L’abord péridural est plus difficile qu’en lombaire ; la voie paramédiane (ou voie latérale) peut faciliter sa réalisation.
Les anesthésiques locaux et les morphiniques seuls ou en associations sont utilisés pour l’analgésie péridurale. L’association des anesthésiques locaux et des morphiniques, améliore la qualité de l’analgésie notamment à la mobilisation pendant 72h et diminue les effets secondaires de chacun.
Le mode PCEA a prouvé sa supériorité, en permettant au patient d’ajuster les doses nécessaires à une bonne analgésie, ce qui au final les diminue d’environ 30 % et de ce fait, en réduit les effets indésirables.
L’APDT induit des bénéfices autres que l’analgésie. Elle améliore la fonction respiratoire comparée à la PCA IV et diminue ainsi le risque de pneumopathie dans le cadre de la chirurgie par laparotomie. Elle raccourcit le délai d’apparition des premiers gaz et raccourcit la reprise du transit. Elle pourrait diminuer l’incidence de la douleur chronique notamment lorsqu’elle est utilisée en peropératoire. Son éventuel rôle bénéfique sur le pronostic carcinologique est pour le moment hypothétique.
Les principaux risques de la péridurale thoracique sont l’hématome péridural souvent lié à un trouble de l’hémostase et l’abcès péridural dont l’incidence est minime. Les effets adverses sont le bloc moteur et l’hypotension qui sont modestes à l’étage thoracique, nécessitant titration et adaptation des doses.
L’APDT est un élément fondamental de la réhabilitation précoce après chirurgie abdominale majeure. Elle peut prolonger la durée d’hospitalisation, mais aucune technique analgésique ne lui est comparable en termes d’analgésie, tant au niveau statique, mais surtout dynamique lors de la toux et de la mobilisation. En cas d’impossibilité ou de contre-indication, TAP-block bilatéral, infiltration péricicatricielle ou surtout lidocaïne intraveineuse sont les solutions de remplacement proposées, supérieures à la morphine seule, mais inférieures à l’APDT. Le bloc paravertébral est équivalent en termes d’analgésie à l’APDT pour la chirurgie thoracique, mais avec une variabilité non négligeable.
L’APDT ne doit pas être proposée en routine pour la cœliochirurgie abdominale ; infiltration des trocarts et analgésiques IV, dont la lidocaïne donnent des résultats comparables en termes d’analgésie avec moins d’effets adverses et une durée d’hospitalisation raccourcie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51442
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 2 (Mars 2017) . - p. 135-146[article] Place de l'analgésie péridurale en 2016 en dehors de l'obstétrique [texte imprimé] / Philippe Sitbon . - 2017 . - p. 135-146.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 2 (Mars 2017) . - p. 135-146
Mots-clés : ANALGÉSIE PÉRIDURALE THORAX CHIRURGIE ANALGÉSIE ABDOMEN CHIRURGIE Résumé : Il est recommandé d’utiliser l’analgésie périmédullaire thoracique (APDT) après chirurgie thoracique ou intra-abdominale majeure (gastrique, pancréatique, colique, chirurgie du grêle, œsophagectomie, cystectomie), afin d’améliorer l’analgésie, réduire la durée de l’iléus postopératoire et raccourcir le délai d’extubation.
L’abord péridural est plus difficile qu’en lombaire ; la voie paramédiane (ou voie latérale) peut faciliter sa réalisation.
Les anesthésiques locaux et les morphiniques seuls ou en associations sont utilisés pour l’analgésie péridurale. L’association des anesthésiques locaux et des morphiniques, améliore la qualité de l’analgésie notamment à la mobilisation pendant 72h et diminue les effets secondaires de chacun.
Le mode PCEA a prouvé sa supériorité, en permettant au patient d’ajuster les doses nécessaires à une bonne analgésie, ce qui au final les diminue d’environ 30 % et de ce fait, en réduit les effets indésirables.
L’APDT induit des bénéfices autres que l’analgésie. Elle améliore la fonction respiratoire comparée à la PCA IV et diminue ainsi le risque de pneumopathie dans le cadre de la chirurgie par laparotomie. Elle raccourcit le délai d’apparition des premiers gaz et raccourcit la reprise du transit. Elle pourrait diminuer l’incidence de la douleur chronique notamment lorsqu’elle est utilisée en peropératoire. Son éventuel rôle bénéfique sur le pronostic carcinologique est pour le moment hypothétique.
Les principaux risques de la péridurale thoracique sont l’hématome péridural souvent lié à un trouble de l’hémostase et l’abcès péridural dont l’incidence est minime. Les effets adverses sont le bloc moteur et l’hypotension qui sont modestes à l’étage thoracique, nécessitant titration et adaptation des doses.
L’APDT est un élément fondamental de la réhabilitation précoce après chirurgie abdominale majeure. Elle peut prolonger la durée d’hospitalisation, mais aucune technique analgésique ne lui est comparable en termes d’analgésie, tant au niveau statique, mais surtout dynamique lors de la toux et de la mobilisation. En cas d’impossibilité ou de contre-indication, TAP-block bilatéral, infiltration péricicatricielle ou surtout lidocaïne intraveineuse sont les solutions de remplacement proposées, supérieures à la morphine seule, mais inférieures à l’APDT. Le bloc paravertébral est équivalent en termes d’analgésie à l’APDT pour la chirurgie thoracique, mais avec une variabilité non négligeable.
L’APDT ne doit pas être proposée en routine pour la cœliochirurgie abdominale ; infiltration des trocarts et analgésiques IV, dont la lidocaïne donnent des résultats comparables en termes d’analgésie avec moins d’effets adverses et une durée d’hospitalisation raccourcie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51442 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prise en charge de la douleur postopératoire : l'étude AlgoSFAR, un audit national de 3315 patients / Pauline Rouxel in Anesthésie & Réanimation, Vol. 7, n° 6 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Prise en charge de la douleur postopératoire : l'étude AlgoSFAR, un audit national de 3315 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Rouxel ; Laurie Tran ; Philippe Sitbon Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 376-386 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2021.08.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : Opiacés analgésie Résumé : Introduction
La Société française d’anesthésie-réanimation a conçu un outil en ligne, AlgoSFAR, permettant un audit des pratiques concernant la douleur postopératoire. En analysant les données de plusieurs centres, cette étude visait à évaluer la prise en charge postopératoire de la douleur et à suggérer des améliorations.
Patients et méthodes
Dans cet essai observationnel multicentrique, les données du pré-, per- et postopératoire collectées durant 2 années ont été analysées. Le critère de jugement principal était la douleur postopératoire. Les critères de jugement secondaires étaient : la consommation de morphine postopératoire et l’évaluation des pratiques en matière d’analgésie multimodale.
Résultats
Trois mille trois cent quinze patients ont été inclus dans 70 centres. Quatre-vingt un pour cent des patients étaient peu douloureux en SSPI et 6 % présentaient des douleurs sévères. Seulement 23 % des patients ont reçu des opiacés en peropératoire ou en SSPI (médiane 6mg (IQR 4–9) d’équivalent morphinique oraux). En combinant les données peropératoires et celles de SSPI, 67 % et 49 % des patients ont reçu au moins 2 ou 3 antalgiques non opiacés ; respectivement, 32 % des patients n’ayant pas reçu d’opiacés rachidiens ou périduraux ont reçu de la morphine en post-opératoire. La dose médiane totale de morphine reçue était de 10mg (IQR 6–30) de la période peropératoire jusqu’à la sortie.
Conclusion
Malgré des limites méthodologiques, nos résultats ont montré que l’analgésie multimodale est largement utilisée et efficace puisque les patients présentent moins de douleurs en consommant moins d’opiacés. Ces résultats montrent une nette amélioration des pratiques par rapport à l’audit français de 2008.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71357
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 6 (Novembre 2021) . - p. 376-386[article] Prise en charge de la douleur postopératoire : l'étude AlgoSFAR, un audit national de 3315 patients [texte imprimé] / Pauline Rouxel ; Laurie Tran ; Philippe Sitbon . - 2021 . - p. 376-386.
Doi : 10.1016/j.anrea.2021.08.004
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 6 (Novembre 2021) . - p. 376-386
Mots-clés : Opiacés analgésie Résumé : Introduction
La Société française d’anesthésie-réanimation a conçu un outil en ligne, AlgoSFAR, permettant un audit des pratiques concernant la douleur postopératoire. En analysant les données de plusieurs centres, cette étude visait à évaluer la prise en charge postopératoire de la douleur et à suggérer des améliorations.
Patients et méthodes
Dans cet essai observationnel multicentrique, les données du pré-, per- et postopératoire collectées durant 2 années ont été analysées. Le critère de jugement principal était la douleur postopératoire. Les critères de jugement secondaires étaient : la consommation de morphine postopératoire et l’évaluation des pratiques en matière d’analgésie multimodale.
Résultats
Trois mille trois cent quinze patients ont été inclus dans 70 centres. Quatre-vingt un pour cent des patients étaient peu douloureux en SSPI et 6 % présentaient des douleurs sévères. Seulement 23 % des patients ont reçu des opiacés en peropératoire ou en SSPI (médiane 6mg (IQR 4–9) d’équivalent morphinique oraux). En combinant les données peropératoires et celles de SSPI, 67 % et 49 % des patients ont reçu au moins 2 ou 3 antalgiques non opiacés ; respectivement, 32 % des patients n’ayant pas reçu d’opiacés rachidiens ou périduraux ont reçu de la morphine en post-opératoire. La dose médiane totale de morphine reçue était de 10mg (IQR 6–30) de la période peropératoire jusqu’à la sortie.
Conclusion
Malgré des limites méthodologiques, nos résultats ont montré que l’analgésie multimodale est largement utilisée et efficace puisque les patients présentent moins de douleurs en consommant moins d’opiacés. Ces résultats montrent une nette amélioration des pratiques par rapport à l’audit français de 2008.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71357 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt