Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Gérard Audibert |
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Contrôle ciblé de la température en réanimation (hors nouveau-nés) / Alain Cariou in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 1 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Contrôle ciblé de la température en réanimation (hors nouveau-nés) Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Cariou ; Jean-François Payen de la Garenderie ; Karim Asehnoune ; Gérard Audibert ; Astrid Botte ; Olivier Brissaud ; Guillaume Debaty ; Sandrine Deltour Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 49-66 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2018.10.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : RÉANIMATION HYPOTHERMIE Résumé : Récemment, l’utilisation de l’hypothermie induite a suscité un regain d’intérêt pour les patients de réanimation, en particulier chez les cérébrolésés. Le terme « contrôle ciblé de la température » (CCT) s’est maintenant imposé comme le plus approprié, s’agissant des interventions utilisées pour atteindre et maintenir un niveau spécifique de température pour chaque individu. Le CCT peut être utilisé pour prévenir la fièvre, maintenir la normothermie ou baisser la température centrale. Ce traitement est largement utilisé dans les services de réanimation, principalement comme méthode de neuroprotection primaire. Les indications sont cependant associées à des niveaux de preuve variables fondés sur une littérature inhomogène ou même contradictoire. Notre but a été de procéder à une analyse systématique des données publiées dans le but de produire des recommandations. Nous présentons ici les recommandations pour l’utilisation du CCT chez l’adulte et l’enfant en réanimation, développée selon la méthode Grading of Recommendations Assessment, Development, and Evaluation (the GRADE). Ces recommandations ont été réalisées par un groupe d’experts de la Société de réanimation de langue française (SRLF), et de la Société française d’anesthésie réanimation (SFAR), avec la participation de la Société française de médecine d’urgence (SFMU), du Groupe francophone de réanimation et urgences pédiatriques (GFRUP), de l’Association nationale de neuro-anesthésie réanimation française (ANARLF) et de la Société française neurovasculaire (SFNV). Quinze experts et deux coordinateurs se sont mis d’accord pour aborder le CCT et sa mise en pratique dans cinq situations cliniques : l’arrêt cardiaque, le traumatisme crânien, l’accident vasculaire cérébral, les autres agressions cérébrales et l’état de choc. Cela a permis de produire 30 recommandations : 3 recommandations sont fortes (grade 1), 13 sont faibles (grade 2) et 14 sont des opinions d’experts. Après deux tours de vote et plusieurs amendements, un accord fort des participants a été obtenu pour la totalité des 30 (100 %) des recommandations, qui sont exposées dans le présent article. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62089
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 1 (Janvier 2019) . - p. 49-66[article] Contrôle ciblé de la température en réanimation (hors nouveau-nés) [texte imprimé] / Alain Cariou ; Jean-François Payen de la Garenderie ; Karim Asehnoune ; Gérard Audibert ; Astrid Botte ; Olivier Brissaud ; Guillaume Debaty ; Sandrine Deltour . - 2019 . - p. 49-66.
Doi : 10.1016/j.anrea.2018.10.004
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 1 (Janvier 2019) . - p. 49-66
Mots-clés : RÉANIMATION HYPOTHERMIE Résumé : Récemment, l’utilisation de l’hypothermie induite a suscité un regain d’intérêt pour les patients de réanimation, en particulier chez les cérébrolésés. Le terme « contrôle ciblé de la température » (CCT) s’est maintenant imposé comme le plus approprié, s’agissant des interventions utilisées pour atteindre et maintenir un niveau spécifique de température pour chaque individu. Le CCT peut être utilisé pour prévenir la fièvre, maintenir la normothermie ou baisser la température centrale. Ce traitement est largement utilisé dans les services de réanimation, principalement comme méthode de neuroprotection primaire. Les indications sont cependant associées à des niveaux de preuve variables fondés sur une littérature inhomogène ou même contradictoire. Notre but a été de procéder à une analyse systématique des données publiées dans le but de produire des recommandations. Nous présentons ici les recommandations pour l’utilisation du CCT chez l’adulte et l’enfant en réanimation, développée selon la méthode Grading of Recommendations Assessment, Development, and Evaluation (the GRADE). Ces recommandations ont été réalisées par un groupe d’experts de la Société de réanimation de langue française (SRLF), et de la Société française d’anesthésie réanimation (SFAR), avec la participation de la Société française de médecine d’urgence (SFMU), du Groupe francophone de réanimation et urgences pédiatriques (GFRUP), de l’Association nationale de neuro-anesthésie réanimation française (ANARLF) et de la Société française neurovasculaire (SFNV). Quinze experts et deux coordinateurs se sont mis d’accord pour aborder le CCT et sa mise en pratique dans cinq situations cliniques : l’arrêt cardiaque, le traumatisme crânien, l’accident vasculaire cérébral, les autres agressions cérébrales et l’état de choc. Cela a permis de produire 30 recommandations : 3 recommandations sont fortes (grade 1), 13 sont faibles (grade 2) et 14 sont des opinions d’experts. Après deux tours de vote et plusieurs amendements, un accord fort des participants a été obtenu pour la totalité des 30 (100 %) des recommandations, qui sont exposées dans le présent article. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62089 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hémorragie sous-arachniïdienne anévrysmale / Gérard Audibert in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Hémorragie sous-arachniïdienne anévrysmale Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Audibert ; Antoine Baumann Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 37-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémorragie méningée HÉMORRAGIE ISCHÉMIE CÉRÉBRALE TRANSITOIRE HYDROCÉPHALIE DÉRIVATION VENTRICULAIRE Résumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51115
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 1 (Janvier 2017) . - p. 37-47[article] Hémorragie sous-arachniïdienne anévrysmale [texte imprimé] / Gérard Audibert ; Antoine Baumann . - 2017 . - p. 37-47.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 1 (Janvier 2017) . - p. 37-47
Mots-clés : Hémorragie méningée HÉMORRAGIE ISCHÉMIE CÉRÉBRALE TRANSITOIRE HYDROCÉPHALIE DÉRIVATION VENTRICULAIRE Résumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51115 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prise en charge d'un patient en état de mort encéphalique / Gérard Audibert in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Prise en charge d'un patient en état de mort encéphalique Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Audibert Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 290-299 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : MORT PRISE EN CHARGE RÉANIMATION PRÉLÈVEMENT ORGANE DIAGNOSTIC PHYSIOPATHOLOGIE Résumé : La réanimation d’un patient en état de mort encéphalique (EME) a pour finalité la réalisation d’un prélèvement d’organes et de tissus. La qualité de la réanimation influence directement le nombre d’organes prélevés. La mort encéphalique se définit comme la perte irréversible des fonctions encéphaliques, en particulier celles du tronc cérébral. Le passage en EME est associé à une cascade d’événements hémodynamiques, hormonaux, inflammatoires, variables dans leur expression et leur intensité, mais susceptibles d’altérer le fonctionnement des organes. L’index bispectral (BIS) et le Doppler transcranien constituent 2 aides au diagnostic d’EME. L’absence de ventilation spontanée doit légalement être attestée par un test d’apnée, qui est souvent seul garant de la mort du tronc cérébral. Le respect des objectifs de réanimation garantit la qualité optimale des greffons. La Coordination Hospitalière de Prélèvement d’Organes et de Tissus est associée à la prise en charge du patient dès le diagnostic clinique d’EME. Le respect des bonnes pratiques de l’entretien avec les proches réduit leur opposition au prélèvement d’organes. Une réanimation d’attente permet le passage en EME et le prélèvement d’organes de patients d’emblée inaccessibles à un traitement curatif. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64811
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019) . - p. 290-299[article] Prise en charge d'un patient en état de mort encéphalique [texte imprimé] / Gérard Audibert . - 2019 . - p. 290-299.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.03.007
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 4 (Juillet 2019) . - p. 290-299
Mots-clés : MORT PRISE EN CHARGE RÉANIMATION PRÉLÈVEMENT ORGANE DIAGNOSTIC PHYSIOPATHOLOGIE Résumé : La réanimation d’un patient en état de mort encéphalique (EME) a pour finalité la réalisation d’un prélèvement d’organes et de tissus. La qualité de la réanimation influence directement le nombre d’organes prélevés. La mort encéphalique se définit comme la perte irréversible des fonctions encéphaliques, en particulier celles du tronc cérébral. Le passage en EME est associé à une cascade d’événements hémodynamiques, hormonaux, inflammatoires, variables dans leur expression et leur intensité, mais susceptibles d’altérer le fonctionnement des organes. L’index bispectral (BIS) et le Doppler transcranien constituent 2 aides au diagnostic d’EME. L’absence de ventilation spontanée doit légalement être attestée par un test d’apnée, qui est souvent seul garant de la mort du tronc cérébral. Le respect des objectifs de réanimation garantit la qualité optimale des greffons. La Coordination Hospitalière de Prélèvement d’Organes et de Tissus est associée à la prise en charge du patient dès le diagnostic clinique d’EME. Le respect des bonnes pratiques de l’entretien avec les proches réduit leur opposition au prélèvement d’organes. Une réanimation d’attente permet le passage en EME et le prélèvement d’organes de patients d’emblée inaccessibles à un traitement curatif. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64811 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt