Convention-cadre pour la lutte antitabac : un instrument puissant de santé publique / Pascal Bovet in Revue médicale suisse, 348 (Juillet 2012)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 348 (Juillet 2012) . - p. 1438--1441 Titre : Convention-cadre pour la lutte antitabac : un instrument puissant de santé publique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Bovet ; Jacques Cornuz ; Fred Paccaud Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1438--1441 Langues : Français (fre) Résumé : La Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLAT) apporte une réponse juridiquement contraignante et globale pour la réduction de la demande et de l’offre de produits du tabac. Les interdictions de la publicité, de fumer dans les endroits fermés et des prescriptions pour l’étiquetage comptent parmi les mesures phares. Adoptée en 2003, la CCLAT a été ratifiée par 174 pays à ce jour. La Suisse a signé ce traité en 2004 mais devra renforcer les dispositions légales en vigueur actuellement pour être en mesure de le ratifier. La mise en œuvre de la CCLAT est une priorité absolue pour la prévention des maladies chroniques, et a le potentiel de prévenir des dizaines de millions de décès prématurés parmi le milliard de décès attribuables au tabac prédits au XXIe siècle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47367 [article] Convention-cadre pour la lutte antitabac : un instrument puissant de santé publique [texte imprimé] / Pascal Bovet ; Jacques Cornuz ; Fred Paccaud . - 2012 . - p. 1438--1441. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 348 (Juillet 2012) . - p. 1438--1441 Résumé : La Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLAT) apporte une réponse juridiquement contraignante et globale pour la réduction de la demande et de l’offre de produits du tabac. Les interdictions de la publicité, de fumer dans les endroits fermés et des prescriptions pour l’étiquetage comptent parmi les mesures phares. Adoptée en 2003, la CCLAT a été ratifiée par 174 pays à ce jour. La Suisse a signé ce traité en 2004 mais devra renforcer les dispositions légales en vigueur actuellement pour être en mesure de le ratifier. La mise en œuvre de la CCLAT est une priorité absolue pour la prévention des maladies chroniques, et a le potentiel de prévenir des dizaines de millions de décès prématurés parmi le milliard de décès attribuables au tabac prédits au XXIe siècle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47367

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Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse / Angéline Chatelan in Revue médicale suisse, 675 (11 Décembre 2019)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 675 (11 Décembre 2019) . - p. 2304-2305 Titre : Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse Type de document : texte imprimé Auteurs : Angéline Chatelan ; Pascal Bovet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 2304-2305 Note générale : En Suisse, 42 % des adultes et 17 % des enfants sont en surpoids ou obèses, avec des coûts estimés à huit milliards en 2012.1 Parmi les nombreuses causes d’obésité, la consommation élevée en sucre, en particulier en boissons sucrées, est pointée du doigt.2,3 Selon l’OMS,2 le sucre inclut tous les mono- et disaccharides ajoutés lors de la fabrication/préparation des aliments (par exemple, saccharose = sucre blanc ou brun) et ceux naturellement présents dans le miel, les jus et purées de fruits. Le sucre des fruits non transformés (ou juste cuits) n’est donc pas concerné par cette définition, notamment du fait de la présence concomitante de fibres. L’OMS2 recommande un apport en sucre inférieur à 10 % de l’apport énergétique total, soit environ 50 g par jour pour un adulte: c’est-à-dire 500 ml de boissons sucrées, 400 ml de jus de fruits purs ou deux yaourts aux fruits. Langues : Français (fre) Mots-clés : SUISSE  OBÉSITÉ  SUCRE  DIABÈTE DE TYPE 2  ÉDULCORANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66949 [article] Taxe sur les boissons sucrées : une perspective suisse [texte imprimé] / Angéline Chatelan ; Pascal Bovet . - 2019 . - p. 2304-2305. En Suisse, 42 % des adultes et 17 % des enfants sont en surpoids ou obèses, avec des coûts estimés à huit milliards en 2012.1 Parmi les nombreuses causes d’obésité, la consommation élevée en sucre, en particulier en boissons sucrées, est pointée du doigt.2,3 Selon l’OMS,2 le sucre inclut tous les mono- et disaccharides ajoutés lors de la fabrication/préparation des aliments (par exemple, saccharose = sucre blanc ou brun) et ceux naturellement présents dans le miel, les jus et purées de fruits. Le sucre des fruits non transformés (ou juste cuits) n’est donc pas concerné par cette définition, notamment du fait de la présence concomitante de fibres. L’OMS2 recommande un apport en sucre inférieur à 10 % de l’apport énergétique total, soit environ 50 g par jour pour un adulte: c’est-à-dire 500 ml de boissons sucrées, 400 ml de jus de fruits purs ou deux yaourts aux fruits. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 675 (11 Décembre 2019) . - p. 2304-2305 Mots-clés : SUISSE  OBÉSITÉ  SUCRE  DIABÈTE DE TYPE 2  ÉDULCORANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66949

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