Encéphalite à tiques : premier cas autochtone et surveillance épidémiologique dans le canton du Valais / Nadia Rieille in Revue médicale suisse, 357 (Octobre 2012)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 357 (Octobre 2012) . - p. 1916-1920 Titre : Encéphalite à tiques : premier cas autochtone et surveillance épidémiologique dans le canton du Valais Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Rieille ; Frank Bally ; Olivier Péter Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1916-1920 Langues : Français (fre) Résumé : L’encéphalite à tiques, ou méningo-encéphalite verno-estivale (MEVE), est une maladie virale le plus souvent transmise à l’homme par des tiques infectées du genre Ixodes. En moyenne, 135 cas par an sont déclarés à l’Office fédéral de la santé publique. Apparues dans le nord-est de la Suisse dans les années 1970, les zones d’endémie se sont lentement étendues. Actuellement, 18 cantons sur 26 sont touchés. En Suisse romande, encore épargnée il y a peu, les foyers progressent en direction du lac Léman et, nouvellement, en Valais. Les zones d’endémie, discontinues et d’étendues variables, sont détectées par l’anamnèse d’exposition de cas humains ou par l’analyse de tiques récoltées par échantillonnage. De nouvelles méthodes plus efficaces sont nécessaires pour surveiller l’épidémiologie changeante de la MEVE. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47274 [article] Encéphalite à tiques : premier cas autochtone et surveillance épidémiologique dans le canton du Valais [texte imprimé] / Nadia Rieille ; Frank Bally ; Olivier Péter . - 2012 . - p. 1916-1920. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 357 (Octobre 2012) . - p. 1916-1920 Résumé : L’encéphalite à tiques, ou méningo-encéphalite verno-estivale (MEVE), est une maladie virale le plus souvent transmise à l’homme par des tiques infectées du genre Ixodes. En moyenne, 135 cas par an sont déclarés à l’Office fédéral de la santé publique. Apparues dans le nord-est de la Suisse dans les années 1970, les zones d’endémie se sont lentement étendues. Actuellement, 18 cantons sur 26 sont touchés. En Suisse romande, encore épargnée il y a peu, les foyers progressent en direction du lac Léman et, nouvellement, en Valais. Les zones d’endémie, discontinues et d’étendues variables, sont détectées par l’anamnèse d’exposition de cas humains ou par l’analyse de tiques récoltées par échantillonnage. De nouvelles méthodes plus efficaces sont nécessaires pour surveiller l’épidémiologie changeante de la MEVE. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47274

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