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Auteur Patrick Ruedin |
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L'hypnose en 2011 : faut-il encore y croire ? / Patrick Ruedin in Revue médicale suisse, 325 (Janvier 2012)
[article]
Titre : L'hypnose en 2011 : faut-il encore y croire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Ruedin Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 178-179 Langues : Français (fre) Résumé : Introduire l’hypnose ou l’hypnothérapie, terme plus médical et donc «politiquement correct», alors que le premier laisse encore traîner une odeur de soufre, est une gageure impossible à tenir, a fortiori en quelques lignes. Dans son livre «Qu’est-ce l’hypnose ?», François Roustang a bien su décrire les phénomènes hypnotiques et cerner l’incernable en traduisant l’esprit de l’hypnose par une «manière particulière d’être au monde». Pour l’exprimer brièvement, l’hypnose est une thérapie qui permet d’aider le patient dans son besoin de changement. Pour Milton Erikson, le père de l’hypnose moderne – non directive –, elle est un «état de concentration mentale, durant lequel les facultés d’esprit du patient sont tellement accaparées par une seule idée que, pour le moment, il devient indifférent à toute autre considération ou influence». Cet état modifié, toujours en état de veille et non de sommeil, engendré par un dispositif inducteur (l’hypnothérapeute ou le sujet lui-même), entraîne une dissociation de la conscience permettant d’accéder à une communication privilégiée avec le corps et le psychisme (inconscient). Octave Mannoni, cité par François Roustang, dit que «l’hypnose est une phénoménologie révolutionnaire qui contredit tous nos savoirs théoriques». Si l’hypnose n’est pas une panacée pour tous les problèmes, elle est certainement une aide à la transformation intérieure, ce qui permettra un réaménagement de la situation critique pour accéder à la solution. Au cours de la transe, le patient (re)trouve dans ses ressources inconscientes (il ne s’agit pas ici de l’inconscient défini par Freud) les moyens de dénouer le blocage dont il souffre. Pour parler de façon plus générale, l’hypnose aide à soulager les souffrances et les angoisses, quelle que soit leur nature. L’hypnotiste, si je peux me permettre ce terme un brin théâtral, est en quelque sorte un promoteur du changement, à l’instar de ce créateur d’automobiles : «changeons de vie, changeons...». Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50360
in Revue médicale suisse > 325 (Janvier 2012) . - p. 178-179[article] L'hypnose en 2011 : faut-il encore y croire ? [texte imprimé] / Patrick Ruedin . - 2012 . - p. 178-179.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 325 (Janvier 2012) . - p. 178-179
Résumé : Introduire l’hypnose ou l’hypnothérapie, terme plus médical et donc «politiquement correct», alors que le premier laisse encore traîner une odeur de soufre, est une gageure impossible à tenir, a fortiori en quelques lignes. Dans son livre «Qu’est-ce l’hypnose ?», François Roustang a bien su décrire les phénomènes hypnotiques et cerner l’incernable en traduisant l’esprit de l’hypnose par une «manière particulière d’être au monde». Pour l’exprimer brièvement, l’hypnose est une thérapie qui permet d’aider le patient dans son besoin de changement. Pour Milton Erikson, le père de l’hypnose moderne – non directive –, elle est un «état de concentration mentale, durant lequel les facultés d’esprit du patient sont tellement accaparées par une seule idée que, pour le moment, il devient indifférent à toute autre considération ou influence». Cet état modifié, toujours en état de veille et non de sommeil, engendré par un dispositif inducteur (l’hypnothérapeute ou le sujet lui-même), entraîne une dissociation de la conscience permettant d’accéder à une communication privilégiée avec le corps et le psychisme (inconscient). Octave Mannoni, cité par François Roustang, dit que «l’hypnose est une phénoménologie révolutionnaire qui contredit tous nos savoirs théoriques». Si l’hypnose n’est pas une panacée pour tous les problèmes, elle est certainement une aide à la transformation intérieure, ce qui permettra un réaménagement de la situation critique pour accéder à la solution. Au cours de la transe, le patient (re)trouve dans ses ressources inconscientes (il ne s’agit pas ici de l’inconscient défini par Freud) les moyens de dénouer le blocage dont il souffre. Pour parler de façon plus générale, l’hypnose aide à soulager les souffrances et les angoisses, quelle que soit leur nature. L’hypnotiste, si je peux me permettre ce terme un brin théâtral, est en quelque sorte un promoteur du changement, à l’instar de ce créateur d’automobiles : «changeons de vie, changeons...». Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50360 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de l’anémie chez les patients atteints de maladie rénale chronique : rôle du médecin généraliste / Patrick Ruedin in Revue médicale suisse, 323 (Janvier 2012)
[article]
Titre : Prise en charge de l’anémie chez les patients atteints de maladie rénale chronique : rôle du médecin généraliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Ruedin ; M. Dickenmann ; Pierre-Yves Martin ; R.P. Wüthrich Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 70-73 Langues : Français (fre) Résumé : La prévalence de la maladie rénale chronique (MRC) est élevée et la néphropathie diabétique est une cause principale de MRC. Une des complications les plus fréquentes de la MRC est l’anémie, dont la fréquence et la sévérité s’accroissent avec la progression de l’insuffisance rénale. L’anémie rénale est principalement causée par un défaut de production d’érythropoïétine par le rein. Elle peut également être associée à une carence en fer provenant d’une malabsorption du fer, de pertes de sang occultes ou d’un défaut de la mobilisation du fer. L’article fait le point sur la prise en charge de l’anémie rénale et en particulier sur le traitement martial par voie intraveineuse, dont l’efficacité dans la MRC est supérieure à l’administration de fer par voie orale en raison d’un défaut d’absorption. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51170
in Revue médicale suisse > 323 (Janvier 2012) . - p. 70-73[article] Prise en charge de l’anémie chez les patients atteints de maladie rénale chronique : rôle du médecin généraliste [texte imprimé] / Patrick Ruedin ; M. Dickenmann ; Pierre-Yves Martin ; R.P. Wüthrich . - 2012 . - p. 70-73.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 323 (Janvier 2012) . - p. 70-73
Résumé : La prévalence de la maladie rénale chronique (MRC) est élevée et la néphropathie diabétique est une cause principale de MRC. Une des complications les plus fréquentes de la MRC est l’anémie, dont la fréquence et la sévérité s’accroissent avec la progression de l’insuffisance rénale. L’anémie rénale est principalement causée par un défaut de production d’érythropoïétine par le rein. Elle peut également être associée à une carence en fer provenant d’une malabsorption du fer, de pertes de sang occultes ou d’un défaut de la mobilisation du fer. L’article fait le point sur la prise en charge de l’anémie rénale et en particulier sur le traitement martial par voie intraveineuse, dont l’efficacité dans la MRC est supérieure à l’administration de fer par voie orale en raison d’un défaut d’absorption. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51170 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de l’insuffisance rénale chronique / Patrick Ruedin in Revue médicale suisse, 547 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Prise en charge de l’insuffisance rénale chronique Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Ruedin Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 259-260 Langues : Français (fre) Résumé : IntroductionLes modalités de la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique (IRC) ont été présentées lors du congrès Quadrimed en 2013. Depuis lors, des nouveautés intéressantes ont été publiées et feront l’objet de cette mise au point. La maladie rénale prévaut chez 15 % de la population selon des statistiques étasuniennes. Le diagnostic causal comprend environ 50 % de patients diabétiques et hypertendus. L’insuffisance rénale chronique est un facteur de risque indépendant notoire qui augmente exponentiellement avec la perte de fonction rénale ; il est donc de la plus haute importance de ralentir sa progression pour éviter l’aboutissement vers le traitement substitutif et pour protéger le patient des complications cardiovasculaires mortelles ou non. Tout l’art du suivi néphrologique consiste de surcroît à contrôler les désordres collatéraux secondaires à la maladie rénale qui peuvent aussi participer à la progression de l’IRC.Contrôle de l’hypertension artérielle et des fa... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53641
in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 259-260[article] Prise en charge de l’insuffisance rénale chronique [texte imprimé] / Patrick Ruedin . - 2017 . - p. 259-260.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 259-260
Résumé : IntroductionLes modalités de la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique (IRC) ont été présentées lors du congrès Quadrimed en 2013. Depuis lors, des nouveautés intéressantes ont été publiées et feront l’objet de cette mise au point. La maladie rénale prévaut chez 15 % de la population selon des statistiques étasuniennes. Le diagnostic causal comprend environ 50 % de patients diabétiques et hypertendus. L’insuffisance rénale chronique est un facteur de risque indépendant notoire qui augmente exponentiellement avec la perte de fonction rénale ; il est donc de la plus haute importance de ralentir sa progression pour éviter l’aboutissement vers le traitement substitutif et pour protéger le patient des complications cardiovasculaires mortelles ou non. Tout l’art du suivi néphrologique consiste de surcroît à contrôler les désordres collatéraux secondaires à la maladie rénale qui peuvent aussi participer à la progression de l’IRC.Contrôle de l’hypertension artérielle et des fa... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53641 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le rein à bout de souffle / Patrick Ruedin in Revue médicale suisse, 371 (Janvier 2013)
[article]
Titre : Le rein à bout de souffle Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Ruedin Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 232 Langues : Français (fre) Résumé : L’insuffisance rénale est un facteur de risque cardio-vasculaire indépendant qui devient prépondérant parmi les autres risques lorsque la maladie rénale progresse ; à un stade avancé de l’insuffisance rénale (stade 5), celui-ci peut être de 10 à 50 fois plus élevé que celui d’une personne sans insuffisance rénale. Ce risque est encore augmenté par l’amplitude d’une protéinurie associée.1 Ainsi, un patient âgé de vingt ans, en dialyse (stade 5D), présente le même risque qu’une personne de 80 ans sans insuffisance rénale. C’est donc un défi majeur de prévenir la maladie rénale et de réduire sa progression afin de limiter la morbidité et les coûts liés à l’insuffisance rénale, ainsi que la mortalité cardio-vasculaire élevée qui l’accompagne.
Pour tenter de prévenir efficacement le stade ultime de l’insuffisance rénale, il importe de dépister la maladie rénale à un stade précoce par la mesure de la protéinurie, le calcul de la fonction rénale à l’aide des formules actuelles (Cockcroft-Gault, MDRD, CKD-EPI), et par le dépistage et la correction de comorbidités telles que le diabète sucré, l’hypertension artérielle et les désordres lipidiques entre autres.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46505
in Revue médicale suisse > 371 (Janvier 2013) . - p. 232[article] Le rein à bout de souffle [texte imprimé] / Patrick Ruedin . - 2013 . - p. 232.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 371 (Janvier 2013) . - p. 232
Résumé : L’insuffisance rénale est un facteur de risque cardio-vasculaire indépendant qui devient prépondérant parmi les autres risques lorsque la maladie rénale progresse ; à un stade avancé de l’insuffisance rénale (stade 5), celui-ci peut être de 10 à 50 fois plus élevé que celui d’une personne sans insuffisance rénale. Ce risque est encore augmenté par l’amplitude d’une protéinurie associée.1 Ainsi, un patient âgé de vingt ans, en dialyse (stade 5D), présente le même risque qu’une personne de 80 ans sans insuffisance rénale. C’est donc un défi majeur de prévenir la maladie rénale et de réduire sa progression afin de limiter la morbidité et les coûts liés à l’insuffisance rénale, ainsi que la mortalité cardio-vasculaire élevée qui l’accompagne.
Pour tenter de prévenir efficacement le stade ultime de l’insuffisance rénale, il importe de dépister la maladie rénale à un stade précoce par la mesure de la protéinurie, le calcul de la fonction rénale à l’aide des formules actuelles (Cockcroft-Gault, MDRD, CKD-EPI), et par le dépistage et la correction de comorbidités telles que le diabète sucré, l’hypertension artérielle et les désordres lipidiques entre autres.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46505 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt