Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Thomas Lieutaud |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Soignant "seconde victime" : comment accompagner un professionnel à la suite d'un accident ou d'une erreur en anesthésie-réanimation ? / Ségolène Arzalier-Daret in Anesthésie & Réanimation, vol. 2, n° 5 (octobre 2016)
[article]
Titre : Soignant "seconde victime" : comment accompagner un professionnel à la suite d'un accident ou d'une erreur en anesthésie-réanimation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Ségolène Arzalier-Daret ; Thomas Lieutaud ; Sébastian Pease ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 285-291 Langues : Français (fre) Mots-clés : ERREUR MÉDICALE TRAUMATISME SOIGNANT PRÉVENTION PRISE EN CHARGE COMMUNICATION Résumé : Les évènements indésirables graves peuvent conduire à un véritable traumatisme chez le soignant, qu’il soit le fait d’une erreur médicale ou non. Le soignant peut ainsi être considéré comme la deuxième victime de l’accident après le patient. Le traumatisme émotionnel peut avoir des conséquences lourdes sur le professionnel impliqué (addiction, troubles mentaux, burnout, état de stress port traumatique, voire suicide) et, de ce fait, sur la qualité des soins prodigués aux patients. Des prises en charge ont été décrites dans la littérature pour limiter les conséquences du traumatisme chez les professionnels de santé : prise en charge immédiate, puis à court terme et long terme, dans lesquelles participent le soutien des pairs, de la hiérarchie et une aide psychologique spécialisée. La communication doit être large sur ce phénomène peu connu des professionnels eux-mêmes afin de mettre en place des stratégies de prises en charge en amont et impliquant toute l’équipe et l’institution. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46355
in Anesthésie & Réanimation > vol. 2, n° 5 (octobre 2016) . - p. 285-291[article] Soignant "seconde victime" : comment accompagner un professionnel à la suite d'un accident ou d'une erreur en anesthésie-réanimation ? [texte imprimé] / Ségolène Arzalier-Daret ; Thomas Lieutaud ; Sébastian Pease ; et al. . - 2016 . - p. 285-291.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > vol. 2, n° 5 (octobre 2016) . - p. 285-291
Mots-clés : ERREUR MÉDICALE TRAUMATISME SOIGNANT PRÉVENTION PRISE EN CHARGE COMMUNICATION Résumé : Les évènements indésirables graves peuvent conduire à un véritable traumatisme chez le soignant, qu’il soit le fait d’une erreur médicale ou non. Le soignant peut ainsi être considéré comme la deuxième victime de l’accident après le patient. Le traumatisme émotionnel peut avoir des conséquences lourdes sur le professionnel impliqué (addiction, troubles mentaux, burnout, état de stress port traumatique, voire suicide) et, de ce fait, sur la qualité des soins prodigués aux patients. Des prises en charge ont été décrites dans la littérature pour limiter les conséquences du traumatisme chez les professionnels de santé : prise en charge immédiate, puis à court terme et long terme, dans lesquelles participent le soutien des pairs, de la hiérarchie et une aide psychologique spécialisée. La communication doit être large sur ce phénomène peu connu des professionnels eux-mêmes afin de mettre en place des stratégies de prises en charge en amont et impliquant toute l’équipe et l’institution. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46355 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Travail précaire et parcours de formation en anesthésie-réanimation : engagements ou opportunités ? / Romain Caillierez in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 3 (Mai 2018)
[article]
Titre : Travail précaire et parcours de formation en anesthésie-réanimation : engagements ou opportunités ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Caillierez ; Thomas Lieutaud ; Georges Romero Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 234-240 Langues : Français (fre) Mots-clés : EMPLOI HISTOIRE PROFESSIONNELLE INTERNE HOSPITALIER MEDECIN ANESTHESISTE REANIMATEUR PRECARITE REMPLACEMENT TEMPS PARTIEL TRAVAIL INTERIMAIRE Résumé : Introduction
L'emploi précaire est en augmentation y compris dans le travail intellectuel. Il s'exprime sous la forme d'instabilités géographiques, statutaires, financières. Il peut néanmoins constituer une opportunité de formation ou de revenus et représenter un objectif professionnel à l'issue de la formation.
Matériel et méthodes
Après accord écrit, 128 résidents du diplôme d'anesthésie en réanimation de la 2e à la 5e année (DESAR 2 5) ont été contactés par mail pour répondre à un questionnaire disponible sur internet. L'objectif était de déterminer la proportion de DESAR souhaitant travailler dans un emploi temporaire à l'issue de leur formation. Les autres objectifs étaient de connaître le taux de DESAR ayant déjà travaillé comme précaires et leur motivation, l'évaluation qu'ils avaient faite des médecins précaires, et la volonté de travailler à temps partiel.
Résultats
Parmi les 87 répondants (67 %), seuls 9 % se déclaraient prêts à opter pour un statut temporaire à long terme à l'issue de leur formation. Près de 95 % des DESAR 5 avaient travaillé comme précaire considérant ce temps comme formateur. Les DESAR évaluaient les médecins précaires comme étant du même niveau que les permanents. Les femmes souhaitaient un emploi à temps partiel, deux fois plus fréquemment que les hommes (35 % vs 17,5 %).
Discussion
La précarisation du travail intellectuel touche les DESAR qui en ont une perception positive. Pourtant, un faible nombre souhaite s'engager dans cette voie sur le long terme et n'y voit qu'un passage dans leur parcours de formation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59433
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 3 (Mai 2018) . - p. 234-240[article] Travail précaire et parcours de formation en anesthésie-réanimation : engagements ou opportunités ? [texte imprimé] / Romain Caillierez ; Thomas Lieutaud ; Georges Romero . - 2018 . - p. 234-240.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 3 (Mai 2018) . - p. 234-240
Mots-clés : EMPLOI HISTOIRE PROFESSIONNELLE INTERNE HOSPITALIER MEDECIN ANESTHESISTE REANIMATEUR PRECARITE REMPLACEMENT TEMPS PARTIEL TRAVAIL INTERIMAIRE Résumé : Introduction
L'emploi précaire est en augmentation y compris dans le travail intellectuel. Il s'exprime sous la forme d'instabilités géographiques, statutaires, financières. Il peut néanmoins constituer une opportunité de formation ou de revenus et représenter un objectif professionnel à l'issue de la formation.
Matériel et méthodes
Après accord écrit, 128 résidents du diplôme d'anesthésie en réanimation de la 2e à la 5e année (DESAR 2 5) ont été contactés par mail pour répondre à un questionnaire disponible sur internet. L'objectif était de déterminer la proportion de DESAR souhaitant travailler dans un emploi temporaire à l'issue de leur formation. Les autres objectifs étaient de connaître le taux de DESAR ayant déjà travaillé comme précaires et leur motivation, l'évaluation qu'ils avaient faite des médecins précaires, et la volonté de travailler à temps partiel.
Résultats
Parmi les 87 répondants (67 %), seuls 9 % se déclaraient prêts à opter pour un statut temporaire à long terme à l'issue de leur formation. Près de 95 % des DESAR 5 avaient travaillé comme précaire considérant ce temps comme formateur. Les DESAR évaluaient les médecins précaires comme étant du même niveau que les permanents. Les femmes souhaitaient un emploi à temps partiel, deux fois plus fréquemment que les hommes (35 % vs 17,5 %).
Discussion
La précarisation du travail intellectuel touche les DESAR qui en ont une perception positive. Pourtant, un faible nombre souhaite s'engager dans cette voie sur le long terme et n'y voit qu'un passage dans leur parcours de formation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59433 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUE Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt