La maladie coronaire chez la femme est-elle si différente de celle de l’homme ? / Stefano Ciaroni in Revue médicale suisse, 376 (Mars 2013)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 376 (Mars 2013) . - p. 494-497 Titre : La maladie coronaire chez la femme est-elle si différente de celle de l’homme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Stefano Ciaroni Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 494-497 Langues : Français (fre) Résumé : La présentation clinique de la maladie coronaire, et notamment la symptomatologie, en dehors des syndromes coronaires aigus, présente des variations selon le sexe. La prise en charge est rendue plus compliquée par un tableau clinique souvent moins spécifique chez les femmes. Malgré ces particularités cliniques, aucune stratégie diagnostique de dépistage de la maladie coronaire différenciée selon le sexe n’est actuellement proposée dans les directives. En raison de la faible spécificité de l’ergométrie simple chez la femme, les examens non invasifs par imagerie (échocardiographie de stress, scintigraphie myocardique au thallium ou résonance magnétique nucléaire) sont certainement à préférer d’emblée pour évaluer la présence ou non d’une ischémie myocardique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45503 [article] La maladie coronaire chez la femme est-elle si différente de celle de l’homme ? [texte imprimé] / Stefano Ciaroni . - 2013 . - p. 494-497. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 376 (Mars 2013) . - p. 494-497 Résumé : La présentation clinique de la maladie coronaire, et notamment la symptomatologie, en dehors des syndromes coronaires aigus, présente des variations selon le sexe. La prise en charge est rendue plus compliquée par un tableau clinique souvent moins spécifique chez les femmes. Malgré ces particularités cliniques, aucune stratégie diagnostique de dépistage de la maladie coronaire différenciée selon le sexe n’est actuellement proposée dans les directives. En raison de la faible spécificité de l’ergométrie simple chez la femme, les examens non invasifs par imagerie (échocardiographie de stress, scintigraphie myocardique au thallium ou résonance magnétique nucléaire) sont certainement à préférer d’emblée pour évaluer la présence ou non d’une ischémie myocardique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45503

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