Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
La bibliothèque sera fermée ce jeudi 24 octobre en début d'après-midi
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
La bibliothèque sera fermée ce jeudi 24 octobre en début d'après-midi
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur H.L. Atanda |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville / A.R. Okoko in Journal de pédiatrie et de puériculture, vol. 29, n°6 (décembre 2016)
[article]
Titre : Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville Type de document : texte imprimé Auteurs : A.R. Okoko ; G. Ekouya Bowassa ; E. Moyen ; L.C. Togho-Abessou ; H.L. Atanda ; G. Moyen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 295-300 Langues : Français (fre) Résumé : L'asphyxie périnatale demeure un problème de santé publique. Le but de l'étude était de déterminer son incidence, d'identifier les facteurs étiologiques et d'apprécier son évolution.
Une étude descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et juin 2015 dans le service de néonatologie du centre hospitalier et universitaire de Brazzaville.
Le diagnostic de l'asphyxie périnatale a été retenu devant l'existence d'un événement obstétrical, un score d'Apgar inférieur à 7 à la cinquième minute et la présence de signes neurologiques.
Sur 1437 nouveau-nés hospitalisés, 224 l'étaient pour une asphyxie périnatale, soit 15,6 %. Les mères étaient âgées de 20 à 29 ans (n = 98 [43,7 %]) et de 30 et 39 ans (n = 73 [32,6 %]). Cent quatre-vingt et une mères (80,8 %) ont réalisé au moins 4 consultations prénatales. L'accouchement a eu lieu dans un centre de santé (n = 221 [8,7 %]). L'événement obstétrical prédominant était une dystocie (n = 206 [92 %]), une éclampsie (n = 17 [7,1 %]). Le liquide amniotique était méconial dans tous les cas. Le score d'Apgar à la cinquième minute était inférieur ou égal à 3 (n = 91 [40,6 %]) et entre 4 et 6 (n = 133 [59,4 %]). Les nouveau-nés étaient au grade I de Sarnat : n = 36 (16 %), grade II : n = 139 (62 %) et grade III : n = 49 (22 %). Les symptômes prédominants étaient : les anomalies des réflexes archaïques 190 cas, l'hypotonie 185 cas et la gêne respiratoire 165 cas. L'évolution s'est faite vers un décès (n = 68 [30,4 %]). La sévérité de l'asphyxie périnatale nécessite que soient améliorées la qualité du suivi de la grossesse et la prise en charge de l'accouchement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45276
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol. 29, n°6 (décembre 2016) . - p. 295-300[article] Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville [texte imprimé] / A.R. Okoko ; G. Ekouya Bowassa ; E. Moyen ; L.C. Togho-Abessou ; H.L. Atanda ; G. Moyen . - 2016 . - p. 295-300.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol. 29, n°6 (décembre 2016) . - p. 295-300
Résumé : L'asphyxie périnatale demeure un problème de santé publique. Le but de l'étude était de déterminer son incidence, d'identifier les facteurs étiologiques et d'apprécier son évolution.
Une étude descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et juin 2015 dans le service de néonatologie du centre hospitalier et universitaire de Brazzaville.
Le diagnostic de l'asphyxie périnatale a été retenu devant l'existence d'un événement obstétrical, un score d'Apgar inférieur à 7 à la cinquième minute et la présence de signes neurologiques.
Sur 1437 nouveau-nés hospitalisés, 224 l'étaient pour une asphyxie périnatale, soit 15,6 %. Les mères étaient âgées de 20 à 29 ans (n = 98 [43,7 %]) et de 30 et 39 ans (n = 73 [32,6 %]). Cent quatre-vingt et une mères (80,8 %) ont réalisé au moins 4 consultations prénatales. L'accouchement a eu lieu dans un centre de santé (n = 221 [8,7 %]). L'événement obstétrical prédominant était une dystocie (n = 206 [92 %]), une éclampsie (n = 17 [7,1 %]). Le liquide amniotique était méconial dans tous les cas. Le score d'Apgar à la cinquième minute était inférieur ou égal à 3 (n = 91 [40,6 %]) et entre 4 et 6 (n = 133 [59,4 %]). Les nouveau-nés étaient au grade I de Sarnat : n = 36 (16 %), grade II : n = 139 (62 %) et grade III : n = 49 (22 %). Les symptômes prédominants étaient : les anomalies des réflexes archaïques 190 cas, l'hypotonie 185 cas et la gêne respiratoire 165 cas. L'évolution s'est faite vers un décès (n = 68 [30,4 %]). La sévérité de l'asphyxie périnatale nécessite que soient améliorées la qualité du suivi de la grossesse et la prise en charge de l'accouchement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45276 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Paludisme grave de l'enfant au Centre hospitalier et Universitaire de Brazzaville / A.R. Okoko in Journal de pédiatrie et de puériculture, vol. 29, n°6 (décembre 2016)
[article]
Titre : Paludisme grave de l'enfant au Centre hospitalier et Universitaire de Brazzaville Type de document : texte imprimé Auteurs : A.R. Okoko ; S.M. Angouma Oya ; E. Moyen ; J. Kambourou ; G. Ekouya Bowassa ; H.L. Atanda ; G. Moyen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 304-309 Langues : Français (fre) Résumé : Le paludisme grave, problème majeur de santé publique en Afrique a été étudié dans le but de préciser sa fréquence, d'identifier les formes cliniques et les signes prédictifs de la mortalité. Une étude transversale, descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et août 2015 dans les services de pédiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville.
Les enfants de 3 mois à 15 ans qui avaient une goutte épaisse positive pour le Plasmodium falciparum associé à au moins un des critères de gravité de l'OMS ont été inclus. Sur 4762 enfants hospitalisés, 382 l'étaient pour un paludisme grave. Il s'agissait de 232 garçons (60,7 %) et de 150 filles (39,3 %), âgés en moyenne de 5,5 ans. Ils avaient moins de 5 ans n = 174 (45,6 %). Les critères de gravité les plus observés étaient l'anémie n = 235 (61,5 %), les convulsions répétées n = 104 (27,2 %), le coma n = 70 (18,3 %), l'hémoglobinurie n = 67 (17,5 %), la prostration n = 66 (17,2 %) et les troubles de la conscience n = 59 (15,4 %). Les formes cliniques étaient isolées n = 217 (56,8 %) et associées n = 165 (43,2 %), dominées par les formes anémiques et neurologiques. L'évolution était favorable pour 357 enfants (93,5 %), elle s'est faite vers un décès pour 25 enfants (6,5 %). Les signes prédictifs du décès étaient les convulsions répétées, le coma, la détresse respiratoire, l'hépatomégalie, l'hypoglycémie et la thrombopénie.
La fréquence élevée et la sévérité du paludisme grave incitent fortement l'usage de la moustiquaire imprégnée, l'assainissement du milieu, le traitement correct du paludisme simple et la prise en charge correcte des cas de paludisme grave.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45278
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol. 29, n°6 (décembre 2016) . - p. 304-309[article] Paludisme grave de l'enfant au Centre hospitalier et Universitaire de Brazzaville [texte imprimé] / A.R. Okoko ; S.M. Angouma Oya ; E. Moyen ; J. Kambourou ; G. Ekouya Bowassa ; H.L. Atanda ; G. Moyen . - 2016 . - p. 304-309.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol. 29, n°6 (décembre 2016) . - p. 304-309
Résumé : Le paludisme grave, problème majeur de santé publique en Afrique a été étudié dans le but de préciser sa fréquence, d'identifier les formes cliniques et les signes prédictifs de la mortalité. Une étude transversale, descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et août 2015 dans les services de pédiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville.
Les enfants de 3 mois à 15 ans qui avaient une goutte épaisse positive pour le Plasmodium falciparum associé à au moins un des critères de gravité de l'OMS ont été inclus. Sur 4762 enfants hospitalisés, 382 l'étaient pour un paludisme grave. Il s'agissait de 232 garçons (60,7 %) et de 150 filles (39,3 %), âgés en moyenne de 5,5 ans. Ils avaient moins de 5 ans n = 174 (45,6 %). Les critères de gravité les plus observés étaient l'anémie n = 235 (61,5 %), les convulsions répétées n = 104 (27,2 %), le coma n = 70 (18,3 %), l'hémoglobinurie n = 67 (17,5 %), la prostration n = 66 (17,2 %) et les troubles de la conscience n = 59 (15,4 %). Les formes cliniques étaient isolées n = 217 (56,8 %) et associées n = 165 (43,2 %), dominées par les formes anémiques et neurologiques. L'évolution était favorable pour 357 enfants (93,5 %), elle s'est faite vers un décès pour 25 enfants (6,5 %). Les signes prédictifs du décès étaient les convulsions répétées, le coma, la détresse respiratoire, l'hépatomégalie, l'hypoglycémie et la thrombopénie.
La fréquence élevée et la sévérité du paludisme grave incitent fortement l'usage de la moustiquaire imprégnée, l'assainissement du milieu, le traitement correct du paludisme simple et la prise en charge correcte des cas de paludisme grave.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45278 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt