Epaule douloureuse atraumatique : diagnostic radiologique / E. Wagner in Revue médicale suisse, 399 (Septembre 2013)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 399 (Septembre 2013) . - p. 1726-1731 Titre : Epaule douloureuse atraumatique : diagnostic radiologique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Wagner ; D. Arditi ; P.-A. Guerne ; Cédric Lanier Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 1726-1731 Langues : Français (fre) Résumé : L’épaule douloureuse est un motif fréquent de consultation en médecine de premier recours. Une anamnèse détaillée et un examen physique soigné permettront de s’orienter vers une pathologie intrinsèque ou extrinsèque et d’étayer le diagnostic différentiel. L’atteinte de la coiffe des rotateurs est la plus fréquente. La radiographie sera presque toujours réalisée en première intention car elle permet la mise en évidence de signes directs et indirects pouvant faire suspecter certaines pathologies. L’échographie est un excellent examen pour l’évaluation des tissus mous de l’épaule et permettra de poser un diagnostic dans la majorité des cas (lésion de la coiffe des rotateurs, tendinopathie du long chef du biceps, bursite, épanchement, calcifications). D’autres examens radiologiques pourront être réalisés selon la pathologie suspectée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44959 [article] Epaule douloureuse atraumatique : diagnostic radiologique [texte imprimé] / E. Wagner ; D. Arditi ; P.-A. Guerne ; Cédric Lanier . - 2013 . - p. 1726-1731. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 399 (Septembre 2013) . - p. 1726-1731 Résumé : L’épaule douloureuse est un motif fréquent de consultation en médecine de premier recours. Une anamnèse détaillée et un examen physique soigné permettront de s’orienter vers une pathologie intrinsèque ou extrinsèque et d’étayer le diagnostic différentiel. L’atteinte de la coiffe des rotateurs est la plus fréquente. La radiographie sera presque toujours réalisée en première intention car elle permet la mise en évidence de signes directs et indirects pouvant faire suspecter certaines pathologies. L’échographie est un excellent examen pour l’évaluation des tissus mous de l’épaule et permettra de poser un diagnostic dans la majorité des cas (lésion de la coiffe des rotateurs, tendinopathie du long chef du biceps, bursite, épanchement, calcifications). D’autres examens radiologiques pourront être réalisés selon la pathologie suspectée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44959

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Manifestations ostéo-articulaires dans les connectivites / P.-A. Guerne in Revue médicale suisse, 377 (Mars 2013)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 542-548 Titre : Manifestations ostéo-articulaires dans les connectivites Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Guerne Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 542-548 Langues : Français (fre) Résumé : Les manifestations articulaires sont fréquentes et constituent souvent le signe d’appel d’une connectivite qui doit être soigneusement recherchée selon la clinique, notamment par l’échographie et la recherche d’autoanticorps. Les manifestations articulaires sont souvent sévères et doivent être traitées en conséquence. Dans le lupus, on distingue l’arthropathie non déformante non érosive, l’arthropathie de Jaccoud (déformante, non érosive) et l’arthropathie érosive (rhupus). L’ultra-son a récemment montré que les atteintes destructrices sont en fait plus fréquentes qu’initialement considéré. Par ailleurs, le lupus peut se compliquer de nécroses ou de fractures, qui se distinguent par des douleurs surtout mécaniques. Dans les autres connectivites, on retrouve, avec quelques nuances, des formes semblables d’arthropathies et de complications. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45493 [article] Manifestations ostéo-articulaires dans les connectivites [texte imprimé] / P.-A. Guerne . - 2013 . - p. 542-548. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 542-548 Résumé : Les manifestations articulaires sont fréquentes et constituent souvent le signe d’appel d’une connectivite qui doit être soigneusement recherchée selon la clinique, notamment par l’échographie et la recherche d’autoanticorps. Les manifestations articulaires sont souvent sévères et doivent être traitées en conséquence. Dans le lupus, on distingue l’arthropathie non déformante non érosive, l’arthropathie de Jaccoud (déformante, non érosive) et l’arthropathie érosive (rhupus). L’ultra-son a récemment montré que les atteintes destructrices sont en fait plus fréquentes qu’initialement considéré. Par ailleurs, le lupus peut se compliquer de nécroses ou de fractures, qui se distinguent par des douleurs surtout mécaniques. Dans les autres connectivites, on retrouve, avec quelques nuances, des formes semblables d’arthropathies et de complications. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45493

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Myopathies médicamenteuses / Romain Guemara in Revue médicale suisse, 562 (Mai 2017)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 562 (Mai 2017) . - p. 1013-1017 Titre : Myopathies médicamenteuses Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Guemara ; Ilias Lazarou ; P.-A. Guerne Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1013-1017 Langues : Français (fre) Résumé : Les myopathies médicamenteuses sont fréquentes et leur identification importante en raison de leur morbidité potentielle. En dehors des statines, les médicaments les plus souvent impliqués sont les glucocorticoïdes, les antimalariques, la colchicine et les antirétroviraux. Ces myopathies sont largement évitables, particulièrement celles qui surviennent lors de combinaisons de traitements ou en présence de comorbidités. Leur présentation relativement spécifique permet souvent d’approcher le diagnostic et de cibler l’éventuelle molécule à interrompre. D’une manière générale, elles sont spontanément et rapidement réversibles à l’arrêt du médicament, à l’exception de la myopathie autoimmune nécrosante aux statines ; cette dernière est cependant réversible sous immunosuppresseurs, quand ils sont initiés suffisamment tôt. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53715 [article] Myopathies médicamenteuses [texte imprimé] / Romain Guemara ; Ilias Lazarou ; P.-A. Guerne . - 2017 . - p. 1013-1017. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 562 (Mai 2017) . - p. 1013-1017 Résumé : Les myopathies médicamenteuses sont fréquentes et leur identification importante en raison de leur morbidité potentielle. En dehors des statines, les médicaments les plus souvent impliqués sont les glucocorticoïdes, les antimalariques, la colchicine et les antirétroviraux. Ces myopathies sont largement évitables, particulièrement celles qui surviennent lors de combinaisons de traitements ou en présence de comorbidités. Leur présentation relativement spécifique permet souvent d’approcher le diagnostic et de cibler l’éventuelle molécule à interrompre. D’une manière générale, elles sont spontanément et rapidement réversibles à l’arrêt du médicament, à l’exception de la myopathie autoimmune nécrosante aux statines ; cette dernière est cependant réversible sous immunosuppresseurs, quand ils sont initiés suffisamment tôt. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53715

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