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[article]
Titre : |
Douleur testiculaire, un défi diagnostique ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christophe Monney ; Annatina Schnegg ; Bernard Favrat ; Vincent Amstutz |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 2218-2223 |
Note générale : |
La douleur scrotale est fréquemment rencontrée en pratique, la prévalence serait de quatre hommes sur 1000 avec un pic d’incidence à l’âge de 45-50 ans. Après exclusion d’une cause urologique ou digestive, une douleur référée d’origine ostéo-articulaire doit être évoquée, même en l’absence de douleur au niveau du rachis. Décrite par le Dr Robert Maigne, cette douleur référée aurait pour origine un dérangement intervertébral mineur situé sur la jonction dorso-lombaire. L’imagerie du rachis est peu contributive. C’est l’examen clinique par la recherche d’une douleur déclenchée à la mobilisation des vertèbres dorso-lombaires, et par la manœuvre du pincé-roulé de la peau, qui permettra de mettre en évidence cette douleur projetée.Le traitement est avant tout symptomatique, les thérapies manuelles du rachis par les spécialistes sont également recommandées. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
DOULEUR TESTICULE RACHIS |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44850 |
in Revue médicale suisse > 408 (Novembre 2013) . - p. 2218-2223
[article] Douleur testiculaire, un défi diagnostique ? [texte imprimé] / Christophe Monney ; Annatina Schnegg ; Bernard Favrat ; Vincent Amstutz . - 2013 . - p. 2218-2223. La douleur scrotale est fréquemment rencontrée en pratique, la prévalence serait de quatre hommes sur 1000 avec un pic d’incidence à l’âge de 45-50 ans. Après exclusion d’une cause urologique ou digestive, une douleur référée d’origine ostéo-articulaire doit être évoquée, même en l’absence de douleur au niveau du rachis. Décrite par le Dr Robert Maigne, cette douleur référée aurait pour origine un dérangement intervertébral mineur situé sur la jonction dorso-lombaire. L’imagerie du rachis est peu contributive. C’est l’examen clinique par la recherche d’une douleur déclenchée à la mobilisation des vertèbres dorso-lombaires, et par la manœuvre du pincé-roulé de la peau, qui permettra de mettre en évidence cette douleur projetée.Le traitement est avant tout symptomatique, les thérapies manuelles du rachis par les spécialistes sont également recommandées. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 408 (Novembre 2013) . - p. 2218-2223 | ![Douleur testiculaire, un défi diagnostique ? vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
Effets de la musique sur l’anxiété et la sédation des patients sous assistance ventilatoire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christophe Monney |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 1748-1749 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’ adage dit que la musique adoucit les mœurs, mais a-t-elle également un effet bénéfique sur l’anxiété et les besoins en sédation de patients sous assistance ventilatoire ? Dans cette étude, les chercheurs ont recruté des patients sous ventilation mécanique pour insuffisance respiratoire aiguë, mais assez alertes pour utiliser un lecteur de musique. 373 patients ont été répartis dans trois groupes aléatoirement : un groupe intervention avec choix de six musiques relaxantes, un groupe avec casque antibruit pour bloquer les bruits ambiants et un groupe contrôle sans intervention. L’anxiété a été mesurée au moyen d’une échelle visuelle analogique graduée de 0 à 100. La sédation a été mesurée par la fréquence et l’intensité des doses de sédatif reçues. Les patients étaient libres d’utiliser la musique ou le casque antibruit quand ils le souhaitaient. Après ajustement de la gravité de la maladie et de la fréquence et de l’intensité de la sédation, l’utilisation de la musicothérapie a permis de réduire les scores d’anxiété de 19/100 par rapport aux soins habituels (diminution relative de 36%, p = 0,003). L’intensité (p = 0,05) et la fréquence (p = 0,01) de la sédation dans le groupe «musique» ont également diminué par rapport au groupe contrôle. Une tendance à la diminution de l’anxiété et de l’utilisation des sédatifs a également été observée dans le groupe «musique» par rapport au groupe avec les casques antibruit, mais la différence n’était pas significative. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44964 |
in Revue médicale suisse > 399 (Septembre 2013) . - p. 1748-1749
[article] Effets de la musique sur l’anxiété et la sédation des patients sous assistance ventilatoire [texte imprimé] / Christophe Monney . - 2013 . - p. 1748-1749. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 399 (Septembre 2013) . - p. 1748-1749
Résumé : |
L’ adage dit que la musique adoucit les mœurs, mais a-t-elle également un effet bénéfique sur l’anxiété et les besoins en sédation de patients sous assistance ventilatoire ? Dans cette étude, les chercheurs ont recruté des patients sous ventilation mécanique pour insuffisance respiratoire aiguë, mais assez alertes pour utiliser un lecteur de musique. 373 patients ont été répartis dans trois groupes aléatoirement : un groupe intervention avec choix de six musiques relaxantes, un groupe avec casque antibruit pour bloquer les bruits ambiants et un groupe contrôle sans intervention. L’anxiété a été mesurée au moyen d’une échelle visuelle analogique graduée de 0 à 100. La sédation a été mesurée par la fréquence et l’intensité des doses de sédatif reçues. Les patients étaient libres d’utiliser la musique ou le casque antibruit quand ils le souhaitaient. Après ajustement de la gravité de la maladie et de la fréquence et de l’intensité de la sédation, l’utilisation de la musicothérapie a permis de réduire les scores d’anxiété de 19/100 par rapport aux soins habituels (diminution relative de 36%, p = 0,003). L’intensité (p = 0,05) et la fréquence (p = 0,01) de la sédation dans le groupe «musique» ont également diminué par rapport au groupe contrôle. Une tendance à la diminution de l’anxiété et de l’utilisation des sédatifs a également été observée dans le groupe «musique» par rapport au groupe avec les casques antibruit, mais la différence n’était pas significative. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44964 |
| ![Effets de la musique sur l’anxiété et la sédation des patients sous assistance ventilatoire vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
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