Prise en charge de l’hématurie par le praticien généraliste: Une démarche diagnostique qui coule de source ? / Daniel A. Benamran in Revue médicale suisse, 409 (Décembre 2013)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 409 (Décembre 2013) . - p. 2294-2298 Titre : Prise en charge de l’hématurie par le praticien généraliste: Une démarche diagnostique qui coule de source ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel A. Benamran ; Arachk De Gorski ; J. Ben hamida ; Christophe E. Iselin Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 2294-2298 Langues : Français (fre) Résumé : L’hématurie est un motif fréquent de consultation. Son spectre diagnostique est très large, allant de pathologies bénignes comme l’infection ou le calcul à des tumeurs malignes, en passant par certaines néphropathies. Dans 20% des cas d’hématurie macroscopique, c’est une néoplasie de la sphère urologique qui sera retrouvée, imposant donc un bilan exhaustif par exploration des voies urinaires haute (scanner abdominal avec phases tardives ou uro-IRM) et basse (urétrocystoscopie). Il est de rigueur de ne pas banaliser une hématurie dans un contexte d’anticoagulation et/ou d’antiagrégration plaquettaire, car les étiologies retrouvées dans le bilan sont tout aussi significatives que celles des patients sans anticoagulation et/ou antiagrégation. Le bilan d’une microhématurie chez les patients avec des facteurs de risque pour une néoplasie suivra la même systématique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44842 [article] Prise en charge de l’hématurie par le praticien généraliste: Une démarche diagnostique qui coule de source ? [texte imprimé] / Daniel A. Benamran ; Arachk De Gorski ; J. Ben hamida ; Christophe E. Iselin . - 2013 . - p. 2294-2298. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 409 (Décembre 2013) . - p. 2294-2298 Résumé : L’hématurie est un motif fréquent de consultation. Son spectre diagnostique est très large, allant de pathologies bénignes comme l’infection ou le calcul à des tumeurs malignes, en passant par certaines néphropathies. Dans 20% des cas d’hématurie macroscopique, c’est une néoplasie de la sphère urologique qui sera retrouvée, imposant donc un bilan exhaustif par exploration des voies urinaires haute (scanner abdominal avec phases tardives ou uro-IRM) et basse (urétrocystoscopie). Il est de rigueur de ne pas banaliser une hématurie dans un contexte d’anticoagulation et/ou d’antiagrégration plaquettaire, car les étiologies retrouvées dans le bilan sont tout aussi significatives que celles des patients sans anticoagulation et/ou antiagrégation. Le bilan d’une microhématurie chez les patients avec des facteurs de risque pour une néoplasie suivra la même systématique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44842

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