Mort des voyageurs : risques réels, risques virtuels / Christoph Hatz in Revue médicale suisse, 429 (Mai 2014)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 429 (Mai 2014) . - p. 1001-1003 Titre : Mort des voyageurs : risques réels, risques virtuels Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph Hatz ; Alexander Walz ; Blaise Genton ; Ron Behrens Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1001-1003 Langues : Français (fre) Résumé : L’évidence en ce qui concerne la mortalité associée aux voyages est faible. La perception, l’intuition et la disponibilité de certaines interventions comme les vaccinations et la chimioprophylaxie guident souvent la consultation prévoyage. Les risques importants tels que les accidents ou les événements cardiovasculaires ne sont pas inclus dans le conseil bien qu’ils causent plus de morts et impliquent des coûts supérieurs par rapport aux maladies infectieuses. Le risque accru des accidents de la route dans les pays en développement devrait toujours être mentionné. Le médecin généraliste est souvent le mieux placé pour discuter des problèmes spécifiques du voyageur, surtout pour la gestion des maladies chroniques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44121 [article] Mort des voyageurs : risques réels, risques virtuels [texte imprimé] / Christoph Hatz ; Alexander Walz ; Blaise Genton ; Ron Behrens . - 2014 . - p. 1001-1003. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 429 (Mai 2014) . - p. 1001-1003 Résumé : L’évidence en ce qui concerne la mortalité associée aux voyages est faible. La perception, l’intuition et la disponibilité de certaines interventions comme les vaccinations et la chimioprophylaxie guident souvent la consultation prévoyage. Les risques importants tels que les accidents ou les événements cardiovasculaires ne sont pas inclus dans le conseil bien qu’ils causent plus de morts et impliquent des coûts supérieurs par rapport aux maladies infectieuses. Le risque accru des accidents de la route dans les pays en développement devrait toujours être mentionné. Le médecin généraliste est souvent le mieux placé pour discuter des problèmes spécifiques du voyageur, surtout pour la gestion des maladies chroniques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44121

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