Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Damien Keller |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Docteur, donnez-moi quelque chose pour ma toux / Damien Keller in Revue médicale suisse, 591 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Docteur, donnez-moi quelque chose pour ma toux Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Keller Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 192-195 Langues : Français (fre) Mots-clés : TOUX MALADIE CHRONIQUE SYMPTOME Résumé : IntroductionLe médecin de premier recours est fréquemment confronté à des patients consultant pour une toux (6 % des motifs de consultation). Environ 10 % de la population générale souffre d’une toux chronique, souvent avec des répercussions négatives sur la qualité de vie, tant sur le plan physique et psychique que social.
La toux est néanmoins un réflexe essentiel de protection des voies aériennes, contribuant à l’élimination des sécrétions, corps étrangers et agents pathogènes, particulièrement lors d’infection.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56840
in Revue médicale suisse > 591 (Janvier 2018) . - p. 192-195[article] Docteur, donnez-moi quelque chose pour ma toux [texte imprimé] / Damien Keller . - 2018 . - p. 192-195.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 591 (Janvier 2018) . - p. 192-195
Mots-clés : TOUX MALADIE CHRONIQUE SYMPTOME Résumé : IntroductionLe médecin de premier recours est fréquemment confronté à des patients consultant pour une toux (6 % des motifs de consultation). Environ 10 % de la population générale souffre d’une toux chronique, souvent avec des répercussions négatives sur la qualité de vie, tant sur le plan physique et psychique que social.
La toux est néanmoins un réflexe essentiel de protection des voies aériennes, contribuant à l’élimination des sécrétions, corps étrangers et agents pathogènes, particulièrement lors d’infection.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56840 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Nodules pulmonaires subsolides / Damien Keller in Revue médicale suisse, 539 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Nodules pulmonaires subsolides Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Keller ; C. Beigelman ; Igor Letovanec ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1976-1982 Langues : Français (fre) Mots-clés : TOMODENSITOMETRIE POUMON NODULE ADENOCARCINOME Résumé : Les nodules subsolides représentent près de 20% des nodules pulmonaires découverts fortuitement lors d’un scanner thoracique. Leur détection ne fait qu’augmenter, parallèlement au nombre croissant de scanners réalisés. Ils se distinguent des nodules solides par leur morphologie, leur comportement évolutif, leur risque de malignité et leur pronostic. Ils restent un challenge diagnostique, mais une bonne corrélation entre les présentations radiologiques et histologiques a été démontrée. Bien que 75% des nodules subsolides persistants soient une forme d’adénocarcinome, leur pronostic est en général excellent après résection. Un suivi prolongé de 3 à 5 ans est requis pour les nodules subsolides non opérés, étant donné leur croissance lente et la haute prévalence de malignité. Des recommandations spécifiques ont été publiées en 2013 et 2015.
IntroductionLa découverte d’un nodule pulmonaire est un problème fréquent lié à l’augmentation du recours au CT-scan (CT). En effet, l’utilisation du CT est en constante augmentation, de par sa facilité d’accès, ses larges indications, l’apparition de nouvelles techniques permettant de diminuer les doses d’irradiation et suite au développement dans certains pays de programmes de dépistage du cancer pulmonaire chez les sujets à risque. En 2014, plus de 804000 CT, représentant 100 CT pour 1000 habitants/an, ont été réalisés dans les hôpitaux suisses, soit 10% de plus qu’en 2013.1 Aux Etats-Unis, le nombre de CT par habitant est 2,5 fois plus élevé.2 En conséquence, le nombre de nodules pulmonaires mis en évidence à l’imagerie va probablement lui aussi augmenter dans les années à venir. La prévalence des nodules pulmonaires découverts par CT dépend de la population étudiée: elle est de l’ordre de 13%3 dans la population générale mais peut atteindre 27 à 74%4–7 lors du dépistage chez...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44084
in Revue médicale suisse > 539 (Novembre 2016) . - p. 1976-1982[article] Nodules pulmonaires subsolides [texte imprimé] / Damien Keller ; C. Beigelman ; Igor Letovanec ; et al. . - 2016 . - p. 1976-1982.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 539 (Novembre 2016) . - p. 1976-1982
Mots-clés : TOMODENSITOMETRIE POUMON NODULE ADENOCARCINOME Résumé : Les nodules subsolides représentent près de 20% des nodules pulmonaires découverts fortuitement lors d’un scanner thoracique. Leur détection ne fait qu’augmenter, parallèlement au nombre croissant de scanners réalisés. Ils se distinguent des nodules solides par leur morphologie, leur comportement évolutif, leur risque de malignité et leur pronostic. Ils restent un challenge diagnostique, mais une bonne corrélation entre les présentations radiologiques et histologiques a été démontrée. Bien que 75% des nodules subsolides persistants soient une forme d’adénocarcinome, leur pronostic est en général excellent après résection. Un suivi prolongé de 3 à 5 ans est requis pour les nodules subsolides non opérés, étant donné leur croissance lente et la haute prévalence de malignité. Des recommandations spécifiques ont été publiées en 2013 et 2015.
IntroductionLa découverte d’un nodule pulmonaire est un problème fréquent lié à l’augmentation du recours au CT-scan (CT). En effet, l’utilisation du CT est en constante augmentation, de par sa facilité d’accès, ses larges indications, l’apparition de nouvelles techniques permettant de diminuer les doses d’irradiation et suite au développement dans certains pays de programmes de dépistage du cancer pulmonaire chez les sujets à risque. En 2014, plus de 804000 CT, représentant 100 CT pour 1000 habitants/an, ont été réalisés dans les hôpitaux suisses, soit 10% de plus qu’en 2013.1 Aux Etats-Unis, le nombre de CT par habitant est 2,5 fois plus élevé.2 En conséquence, le nombre de nodules pulmonaires mis en évidence à l’imagerie va probablement lui aussi augmenter dans les années à venir. La prévalence des nodules pulmonaires découverts par CT dépend de la population étudiée: elle est de l’ordre de 13%3 dans la population générale mais peut atteindre 27 à 74%4–7 lors du dépistage chez...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44084 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt