Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Déborah Perrot |
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Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés / Déborah Perrot in La revue Sage-femme, vol. 15, 4 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés Type de document : texte imprimé Auteurs : Déborah Perrot ; Bénédicte Coulm Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 174-182 Langues : Français (fre) Mots-clés : Disparités d'accès aux soins Coûts des soins de santé Mésusage des services de santé Échographie prénatale / utilisation Surveillance de l'activité foetale grossesse à bas risque Médicalisation médicalisation de la naissance Échographie prénatale / normes Surmédicalisation Échographie prénatale / Normes Résumé : Objectifs
Estimer au sein d'une population à bas risque obstétrical, la fréquence des femmes ayant bénéficié d'une surveillance échographique élevée (5 échographies ou plus durant la grossesse), identifier les motifs de ces échographies et étudier les déterminants associés.
Méthodes
Étude transversale dans deux maternités parisiennes (CHU de type 3 et ESPIC de type 2), 200 femmes à bas risque obstétrical ont été incluses. Les données provenaient d'un entretien avec les femmes en suites de couches et des dossiers médicaux.
Résultats
Un pourcentage de 36,5 des femmes à bas risque avaient eu une surveillance échographique élevée pendant la grossesse. Il s'agissait le plus souvent de femmes de niveau d'études élevé, dont la grossesse avait été suivie par un médecin. Exactement 40,8 % de ces échographies étaient réalisées sans réelle indication médicale ou intention de dépistage ou de diagnostic et pouvaient être considérées comme « potentiellement évitables ».
Conclusion
Un nombre important de femmes à bas risque ont plus d'échographies que ce qui est recommandé. Les déterminants associés sont à la fois d'ordre individuel et organisationnel. La multiplication de ces échographies soulève des inquiétudes du fait des bénéfices incertains sur la santé et des coûts importants associés. Réfléchir à la pertinence de ces examens nous semble important.Note de contenu : Mémoire primé par le Conseil National des Sages-Femmes (CNSF, 2016) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43501
in La revue Sage-femme > vol. 15, 4 (Octobre 2016) . - p. 174-182[article] Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés [texte imprimé] / Déborah Perrot ; Bénédicte Coulm . - 2016 . - p. 174-182.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > vol. 15, 4 (Octobre 2016) . - p. 174-182
Mots-clés : Disparités d'accès aux soins Coûts des soins de santé Mésusage des services de santé Échographie prénatale / utilisation Surveillance de l'activité foetale grossesse à bas risque Médicalisation médicalisation de la naissance Échographie prénatale / normes Surmédicalisation Échographie prénatale / Normes Résumé : Objectifs
Estimer au sein d'une population à bas risque obstétrical, la fréquence des femmes ayant bénéficié d'une surveillance échographique élevée (5 échographies ou plus durant la grossesse), identifier les motifs de ces échographies et étudier les déterminants associés.
Méthodes
Étude transversale dans deux maternités parisiennes (CHU de type 3 et ESPIC de type 2), 200 femmes à bas risque obstétrical ont été incluses. Les données provenaient d'un entretien avec les femmes en suites de couches et des dossiers médicaux.
Résultats
Un pourcentage de 36,5 des femmes à bas risque avaient eu une surveillance échographique élevée pendant la grossesse. Il s'agissait le plus souvent de femmes de niveau d'études élevé, dont la grossesse avait été suivie par un médecin. Exactement 40,8 % de ces échographies étaient réalisées sans réelle indication médicale ou intention de dépistage ou de diagnostic et pouvaient être considérées comme « potentiellement évitables ».
Conclusion
Un nombre important de femmes à bas risque ont plus d'échographies que ce qui est recommandé. Les déterminants associés sont à la fois d'ordre individuel et organisationnel. La multiplication de ces échographies soulève des inquiétudes du fait des bénéfices incertains sur la santé et des coûts importants associés. Réfléchir à la pertinence de ces examens nous semble important.Note de contenu : Mémoire primé par le Conseil National des Sages-Femmes (CNSF, 2016) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43501 Exemplaires (1)
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