Quelles interférences réciproques entre chirurgie bariatrique et psychopathologie ? / Elisabetta Bobbioni-Harsch in Revue médicale suisse, 442 (Septembre2014)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 442 (Septembre2014) . - p. 1721-1726 Titre : Quelles interférences réciproques entre chirurgie bariatrique et psychopathologie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabetta Bobbioni-Harsch ; M.-L. Guillermin ; Franck Habicht Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1721-1726 Langues : Français (fre) Résumé : Dans cet article, nous présentons les résultats d’une recherche bibliographique sur les interactions entre chirurgie bariatrique et pathologies psychiques.En phase préopératoire, les psychopathologies graves ou l’abus de substances illicites sont souvent considérés comme critères d’exclusion, bien qu’aucune étude ne l’ait scientifiquement établi.Sur le plan psychologique, il n’existe ni un profil «type» du candidat à la chirurgie bariatrique ni de facteurs prédicteurs du traitement. Par contre, certaines «attitudes» ou «traits de personnalité» pourraient influencer l’issue de l’intervention.En phase postopératoire, les psychopathologies préexistantes s’améliorent, mais cet effet est transitoire. D’autre part, les comportements compulsifs, l’abus d’alcool ou de substances illicites augmentent, ainsi que l’incidence du suicide. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43180 [article] Quelles interférences réciproques entre chirurgie bariatrique et psychopathologie ? [texte imprimé] / Elisabetta Bobbioni-Harsch ; M.-L. Guillermin ; Franck Habicht . - 2014 . - p. 1721-1726. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 442 (Septembre2014) . - p. 1721-1726 Résumé : Dans cet article, nous présentons les résultats d’une recherche bibliographique sur les interactions entre chirurgie bariatrique et pathologies psychiques.En phase préopératoire, les psychopathologies graves ou l’abus de substances illicites sont souvent considérés comme critères d’exclusion, bien qu’aucune étude ne l’ait scientifiquement établi.Sur le plan psychologique, il n’existe ni un profil «type» du candidat à la chirurgie bariatrique ni de facteurs prédicteurs du traitement. Par contre, certaines «attitudes» ou «traits de personnalité» pourraient influencer l’issue de l’intervention.En phase postopératoire, les psychopathologies préexistantes s’améliorent, mais cet effet est transitoire. D’autre part, les comportements compulsifs, l’abus d’alcool ou de substances illicites augmentent, ainsi que l’incidence du suicide. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43180

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