Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur N. Vulliemoz |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue / Anna Surbone in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Surbone ; N. Vulliemoz ; E. Gonzalez Rodriguez ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1811-1815 Langues : Français (fre) Mots-clés : OSTEOPOROSE MENOPAUSE Résumé : L’ostéoporose est une maladie de l’os favorisant des fractures de fragilité. L’algorithme proposé est destiné aux gynécologues pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose chez la jeune femme ménopausée. L’outil FRAX permet de calculer le risque fracturaire ; si le risque est ≥ 10 % sur dix ans, une densitométrie osseuse est recommandée et le résultat sera intégré dans l’outil FRAX. Si le risque est entre 10–20 %, un traitement peut être discuté et, dans certains cas, on proposera une prévention par traitement hormonal de la ménopause ou par un SERM. Un traitement pharmacologique (bisphosphonates ou dénosumab) est recommandé en présence d’antécédent de fracture de fragilité, ou de risque ≥ 20 %, indépendamment d’un T-score
IntroductionL’ostéoporose est une maladie systémique de l’os associant une perte de la masse osseuse et une altération de sa microarchitecture. La conséquence directe est un excès de fractures de fragilité, c’est-à-dire survenant suite à une chute de sa propre hauteur ou à un traumatisme mineur. En Suisse, une femme de 50 ans présente un risque de 50 % d’avoir durant le reste de sa vie au moins une fracture de fragilité dans les sites typiques de fracture majeure (hanche, vertèbres, humérus proximal, radius distal). Dès 50 ans, environ 12 % des décès sont en lien avec une fracture ostéoporotique.1 Les fractures de fragilité engendrent également une morbidité considérable avec un coût économique et social important, estimé, pour la Suisse, à un peu plus de 2 milliards de CHF sans compter une perte de 24 000 QALY. Malgré cela, la majorité des patientes à haut risque de fracture n’est pas traitée.2 Le risque fracturaire est appréhendé par des facteurs de risque cliniques et par la de...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44072
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1811-1815[article] Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue [texte imprimé] / Anna Surbone ; N. Vulliemoz ; E. Gonzalez Rodriguez ; et al. . - 2016 . - p. 1811-1815.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1811-1815
Mots-clés : OSTEOPOROSE MENOPAUSE Résumé : L’ostéoporose est une maladie de l’os favorisant des fractures de fragilité. L’algorithme proposé est destiné aux gynécologues pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose chez la jeune femme ménopausée. L’outil FRAX permet de calculer le risque fracturaire ; si le risque est ≥ 10 % sur dix ans, une densitométrie osseuse est recommandée et le résultat sera intégré dans l’outil FRAX. Si le risque est entre 10–20 %, un traitement peut être discuté et, dans certains cas, on proposera une prévention par traitement hormonal de la ménopause ou par un SERM. Un traitement pharmacologique (bisphosphonates ou dénosumab) est recommandé en présence d’antécédent de fracture de fragilité, ou de risque ≥ 20 %, indépendamment d’un T-score
IntroductionL’ostéoporose est une maladie systémique de l’os associant une perte de la masse osseuse et une altération de sa microarchitecture. La conséquence directe est un excès de fractures de fragilité, c’est-à-dire survenant suite à une chute de sa propre hauteur ou à un traumatisme mineur. En Suisse, une femme de 50 ans présente un risque de 50 % d’avoir durant le reste de sa vie au moins une fracture de fragilité dans les sites typiques de fracture majeure (hanche, vertèbres, humérus proximal, radius distal). Dès 50 ans, environ 12 % des décès sont en lien avec une fracture ostéoporotique.1 Les fractures de fragilité engendrent également une morbidité considérable avec un coût économique et social important, estimé, pour la Suisse, à un peu plus de 2 milliards de CHF sans compter une perte de 24 000 QALY. Malgré cela, la majorité des patientes à haut risque de fracture n’est pas traitée.2 Le risque fracturaire est appréhendé par des facteurs de risque cliniques et par la de...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44072 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des endométriomes et de l’endométriose recto-vaginale et vésicale / N. Vulliemoz in Revue médicale suisse, 447 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Prise en charge des endométriomes et de l’endométriose recto-vaginale et vésicale Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Vulliemoz ; Jean-Yves Meuwly ; Patrice Jichlinski ; et al. Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1977-1984 Langues : Français (fre) Résumé : L’endométriose est une maladie bénigne, chronique, fréquente qui peut se manifester par des douleurs et/ou une infertilité. Les lésions d’endométriose se situent classiquement au niveau du péritoine pelvien, des ovaires (endométriome), de la cloison recto-vaginale et de la vessie. La prise en charge des endométriomes a évolué au cours de ces dernières années et doit se faire au cas par cas. En effet, la kystectomie d’un endométriome peut permettre de diminuer les douleurs et le risque de récidive mais elle est également associée à un risque de diminution de la réserve ovarienne. La prise en charge d’un nodule d’endométriose de la cloison recto-vaginale ou d’endométriose vésicale doit se faire de manière multidisciplinaire. La chirurgie d’exérèse qui doit être aussi complète que possible peut être complexe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43086
in Revue médicale suisse > 447 (Octobre 2014) . - p. 1977-1984[article] Prise en charge des endométriomes et de l’endométriose recto-vaginale et vésicale [texte imprimé] / N. Vulliemoz ; Jean-Yves Meuwly ; Patrice Jichlinski ; et al. . - 2014 . - p. 1977-1984.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 447 (Octobre 2014) . - p. 1977-1984
Résumé : L’endométriose est une maladie bénigne, chronique, fréquente qui peut se manifester par des douleurs et/ou une infertilité. Les lésions d’endométriose se situent classiquement au niveau du péritoine pelvien, des ovaires (endométriome), de la cloison recto-vaginale et de la vessie. La prise en charge des endométriomes a évolué au cours de ces dernières années et doit se faire au cas par cas. En effet, la kystectomie d’un endométriome peut permettre de diminuer les douleurs et le risque de récidive mais elle est également associée à un risque de diminution de la réserve ovarienne. La prise en charge d’un nodule d’endométriose de la cloison recto-vaginale ou d’endométriose vésicale doit se faire de manière multidisciplinaire. La chirurgie d’exérèse qui doit être aussi complète que possible peut être complexe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43086 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Techniques de préservation de la fertilité chez la femme en âge de procréer / N. Vulliemoz in Revue médicale suisse, 447 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Techniques de préservation de la fertilité chez la femme en âge de procréer Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Vulliemoz ; H. Gaitzsch ; M.-P. Primi ; et al. Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1961-1968 Langues : Français (fre) Résumé : Les progrès des traitements oncologiques permettent à un nombre croissant de femmes chez qui un cancer a été diagnostiqué d’envisager une guérison. Au moment du diagnostic ou dans le futur, parmi les jeunes femmes, un grand nombre présente un désir de grossesse. L’effet potentiellement gonadotoxique de certaines chimiothérapies est bien connu. Il est donc essentiel que toutes les patientes qui le souhaitent soient adressées à un spécialiste en médecine de la reproduction afin de discuter les options de préservation de leur fertilité. Actuellement, la stimulation ovarienne avec cryoconservation d’ovocytes ou ovocytes imprégnés représente la technique de choix. Toutefois, si les conditions ne le permettent pas, d’autres options comme la maturation in vitro ou la cryoconservation de tissu ovarien peuvent être discutées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43084
in Revue médicale suisse > 447 (Octobre 2014) . - p. 1961-1968[article] Techniques de préservation de la fertilité chez la femme en âge de procréer [texte imprimé] / N. Vulliemoz ; H. Gaitzsch ; M.-P. Primi ; et al. . - 2014 . - p. 1961-1968.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 447 (Octobre 2014) . - p. 1961-1968
Résumé : Les progrès des traitements oncologiques permettent à un nombre croissant de femmes chez qui un cancer a été diagnostiqué d’envisager une guérison. Au moment du diagnostic ou dans le futur, parmi les jeunes femmes, un grand nombre présente un désir de grossesse. L’effet potentiellement gonadotoxique de certaines chimiothérapies est bien connu. Il est donc essentiel que toutes les patientes qui le souhaitent soient adressées à un spécialiste en médecine de la reproduction afin de discuter les options de préservation de leur fertilité. Actuellement, la stimulation ovarienne avec cryoconservation d’ovocytes ou ovocytes imprégnés représente la technique de choix. Toutefois, si les conditions ne le permettent pas, d’autres options comme la maturation in vitro ou la cryoconservation de tissu ovarien peuvent être discutées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43084 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt