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Auteur Nadia Carita Cambon |
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La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours / Nadia Carita Cambon in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Carita Cambon ; Olivier Pasche ; Laurent Wehrli Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1625-1633 Langues : Français (fre) Mots-clés : MAIN EXAMEN CLINIQUE TRAUMATISME PLAIE AMPUTATION INFECTION ONGLE Résumé : Le médecin généraliste est souvent le premier à évaluer un patient avec une plainte de la main, en particulier dans les secteurs les plus éloignés d’un centre d’urgences. La main occupe la plus grande zone sensitive de notre cortex, relativement à sa surface cutanée. C’est la partie de notre corps que l’on utilise le plus et elle est donc particulièrement sujette aux traumatismes, aux plaies, aux infections, aux inflammations tendineuses et aux pathologies de compressions nerveuses. Cet article vise à développer les principales pathologies que le médecin de premier recours peut être amené à prendre en charge ainsi que leurs traitements.
Introduction1–4La main et le poignet sont composés de 27 os, dont huit os carpiens répartis en deux rangées, cinq os métacarpiens et quatorze phalanges. Pour coordonner tous les mouvements qui permettent à nos mains leur grande mobilité, de nombreuses structures sont nécessaires : les ligaments pour la stabilisation latérale, les muscles extrinsèques pour la force de poigne et intrinsèques pour la dextérité et la force pulpaire. Les douze tendons extenseurs sont logés dans six coulisses pour éviter une corde d’arc au dos du poignet et les neuf tendons fléchisseurs sont entourés d’une gaine fibreuse anticorde d’arc et d’une gaine synoviale pour favoriser le glissement. Chacun de nos doigts a un tendon fléchisseur profond (fléchissant les deux articulations interphalangiennes) et un tendon fléchisseur superficiel (fléchissant uniquement l’interphalangienne proximale). Ce grand nombre de structures sur une si petite surface est sujet à des lésions graves même après de petites plaies...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42748
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1625-1633[article] La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours [texte imprimé] / Nadia Carita Cambon ; Olivier Pasche ; Laurent Wehrli . - 2016 . - p. 1625-1633.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1625-1633
Mots-clés : MAIN EXAMEN CLINIQUE TRAUMATISME PLAIE AMPUTATION INFECTION ONGLE Résumé : Le médecin généraliste est souvent le premier à évaluer un patient avec une plainte de la main, en particulier dans les secteurs les plus éloignés d’un centre d’urgences. La main occupe la plus grande zone sensitive de notre cortex, relativement à sa surface cutanée. C’est la partie de notre corps que l’on utilise le plus et elle est donc particulièrement sujette aux traumatismes, aux plaies, aux infections, aux inflammations tendineuses et aux pathologies de compressions nerveuses. Cet article vise à développer les principales pathologies que le médecin de premier recours peut être amené à prendre en charge ainsi que leurs traitements.
Introduction1–4La main et le poignet sont composés de 27 os, dont huit os carpiens répartis en deux rangées, cinq os métacarpiens et quatorze phalanges. Pour coordonner tous les mouvements qui permettent à nos mains leur grande mobilité, de nombreuses structures sont nécessaires : les ligaments pour la stabilisation latérale, les muscles extrinsèques pour la force de poigne et intrinsèques pour la dextérité et la force pulpaire. Les douze tendons extenseurs sont logés dans six coulisses pour éviter une corde d’arc au dos du poignet et les neuf tendons fléchisseurs sont entourés d’une gaine fibreuse anticorde d’arc et d’une gaine synoviale pour favoriser le glissement. Chacun de nos doigts a un tendon fléchisseur profond (fléchissant les deux articulations interphalangiennes) et un tendon fléchisseur superficiel (fléchissant uniquement l’interphalangienne proximale). Ce grand nombre de structures sur une si petite surface est sujet à des lésions graves même après de petites plaies...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42748 Exemplaires (1)
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