Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Michel Brunier |
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Hypertension de la personne âgée : les nouvelles recommandations ont-elles changé la prise en charge? / Erietta Polychronopoulou in Revue médicale suisse, 662 (11 septembre 2019)
[article]
Titre : Hypertension de la personne âgée : les nouvelles recommandations ont-elles changé la prise en charge? Type de document : texte imprimé Auteurs : Erietta Polychronopoulou ; Michel Brunier ; Grégoire Wuerzner Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1597-1602 Langues : Français (fre) Résumé : L’hypertension est très fréquente chez les personnes âgées et représente le premier facteur de risque de complications cardio et cérébrovasculaires, y compris les atteintes cognitives. Les recommandations AHA/ACC et ESC/ESH, récemment publiées, ont modifié la prise en charge des patients de plus de 65 ans et en particulier ceux âgés de plus de 85 ans. Les nouveaux concepts sont les suivants : le seuil diagnostique est moins conservateur ; la pression artérielle cible pour les patients âgés de plus de 65 ans rejoint celle des adultes plus jeunes ; l’accent est mis sur l’âge biologique plutôt que chronologique et la tolérance du traitement ; l’utilisation de combinaisons fixes est favorisée afin d’améliorer l’adhérence et, finalement, l’évaluation régulière de l’adhérence thérapeutique en collaboration avec les partenaires de soins est encouragée.
IntroductionLa prévalence de l’hypertension est élevée chez les personnes âgées de 60 ans et plus.1 La dernière estimation aux Etats-Unis (2015-2016) indique que l’hypertension est présente chez 63 % des personnes de plus de 60 ans.1 Ces valeurs sont encore plus élevées chez la femme (68 %).1Différents mécanismes physiopathologiques expliquent ce phénomène.2 Tout d’abord, l’hypertension artérielle (HTA) systolique isolée est le phénotype le plus fréquent chez les patients hypertendus âgés.2,3 Ce phénomène est secondaire à des facteurs génétiques, au mode de vie actuel, mais surtout au processus du vieillissement des vaisseaux caractérisé par une perte d’élasticité qui conduit à une rigidité artérielle. Celle-ci est responsable de l’augmentation graduelle de la pression artérielle systolique (PAS) et de la diminution de la diastolique (PAD). Ce phénomène est observé habituellement à partir de 50 ans.4La prise en charge de l’hypertension des personnes âgées constitue un sujet d’inte...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65097
in Revue médicale suisse > 662 (11 septembre 2019) . - p. 1597-1602[article] Hypertension de la personne âgée : les nouvelles recommandations ont-elles changé la prise en charge? [texte imprimé] / Erietta Polychronopoulou ; Michel Brunier ; Grégoire Wuerzner . - 2019 . - p. 1597-1602.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 662 (11 septembre 2019) . - p. 1597-1602
Résumé : L’hypertension est très fréquente chez les personnes âgées et représente le premier facteur de risque de complications cardio et cérébrovasculaires, y compris les atteintes cognitives. Les recommandations AHA/ACC et ESC/ESH, récemment publiées, ont modifié la prise en charge des patients de plus de 65 ans et en particulier ceux âgés de plus de 85 ans. Les nouveaux concepts sont les suivants : le seuil diagnostique est moins conservateur ; la pression artérielle cible pour les patients âgés de plus de 65 ans rejoint celle des adultes plus jeunes ; l’accent est mis sur l’âge biologique plutôt que chronologique et la tolérance du traitement ; l’utilisation de combinaisons fixes est favorisée afin d’améliorer l’adhérence et, finalement, l’évaluation régulière de l’adhérence thérapeutique en collaboration avec les partenaires de soins est encouragée.
IntroductionLa prévalence de l’hypertension est élevée chez les personnes âgées de 60 ans et plus.1 La dernière estimation aux Etats-Unis (2015-2016) indique que l’hypertension est présente chez 63 % des personnes de plus de 60 ans.1 Ces valeurs sont encore plus élevées chez la femme (68 %).1Différents mécanismes physiopathologiques expliquent ce phénomène.2 Tout d’abord, l’hypertension artérielle (HTA) systolique isolée est le phénotype le plus fréquent chez les patients hypertendus âgés.2,3 Ce phénomène est secondaire à des facteurs génétiques, au mode de vie actuel, mais surtout au processus du vieillissement des vaisseaux caractérisé par une perte d’élasticité qui conduit à une rigidité artérielle. Celle-ci est responsable de l’augmentation graduelle de la pression artérielle systolique (PAS) et de la diminution de la diastolique (PAD). Ce phénomène est observé habituellement à partir de 50 ans.4La prise en charge de l’hypertension des personnes âgées constitue un sujet d’inte...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65097 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Médecine personnalisée et hypertension artérielle : effet de mode ou vrai défi ? / Michel Brunier in Revue médicale suisse, 530 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Médecine personnalisée et hypertension artérielle : effet de mode ou vrai défi ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Brunier ; Antoinette Pechère-Bertschi ; Grégoire Wuerzner Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1499-1500 Langues : Français (fre) Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE THERAPEUTIQUE Résumé : Depuis quelques années, lorsqu’on lit la presse médicale, voire les quotidiens non médicaux, il devient difficile de ne pas tomber sur un article nous vantant les promesses d’une médecine personnalisée. Cette nouvelle mode envahit progressivement tous les débats qu’ils soient scientifiques ou politiques, à tel point qu’en Suisse, une initiative nationale a été déposée voulant offrir à chaque patient une médecine plus personnelle grâce à la génomique et à la bioinformatique.
Les premiers efforts de « personnalisation » ont eu lieu dans les années 70 déjà
Qu’entend-on vraiment par médecine personnalisée ? Ce concept se réfère à l’utilisation de méthodes de dépistage ou de diagnostics qui exploitent la connaissance du profil de risque ou du profil moléculaire unique du patient pour obtenir les meilleurs résultats en termes de santé et de devenir du patient.1 Aujourd’hui, ce concept très à la mode n’a de nouveau que les méthodes que l’on pense pouvoir utiliser, à savoir la génétique, la bioinformatique et également toutes les « omiques » (épigénomique, métabolomique, protéomique, transcriptomique, lipidomique…) qui peuvent fournir des données supplémentaires sur chaque individu.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42719
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1499-1500[article] Médecine personnalisée et hypertension artérielle : effet de mode ou vrai défi ? [texte imprimé] / Michel Brunier ; Antoinette Pechère-Bertschi ; Grégoire Wuerzner . - 2016 . - p. 1499-1500.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1499-1500
Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE THERAPEUTIQUE Résumé : Depuis quelques années, lorsqu’on lit la presse médicale, voire les quotidiens non médicaux, il devient difficile de ne pas tomber sur un article nous vantant les promesses d’une médecine personnalisée. Cette nouvelle mode envahit progressivement tous les débats qu’ils soient scientifiques ou politiques, à tel point qu’en Suisse, une initiative nationale a été déposée voulant offrir à chaque patient une médecine plus personnelle grâce à la génomique et à la bioinformatique.
Les premiers efforts de « personnalisation » ont eu lieu dans les années 70 déjà
Qu’entend-on vraiment par médecine personnalisée ? Ce concept se réfère à l’utilisation de méthodes de dépistage ou de diagnostics qui exploitent la connaissance du profil de risque ou du profil moléculaire unique du patient pour obtenir les meilleurs résultats en termes de santé et de devenir du patient.1 Aujourd’hui, ce concept très à la mode n’a de nouveau que les méthodes que l’on pense pouvoir utiliser, à savoir la génétique, la bioinformatique et également toutes les « omiques » (épigénomique, métabolomique, protéomique, transcriptomique, lipidomique…) qui peuvent fournir des données supplémentaires sur chaque individu.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42719 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La néphrologie entre économie et écologie / Michel Brunier in Revue médicale suisse, 375 (Février 2013)
[article]
Titre : La néphrologie entre économie et écologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Brunier ; Pierre-Yves Martin Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 443-444 Langues : Français (fre) Résumé : Les coûts de la santé défrayent la chronique depuis de nombreuses années et les cotisations d’assurance ne cessent d’augmenter. Les nouvelles technologies, qu’elles soient diagnostiques ou interventionnelles, et les nouveaux médicaments, qui atteignent des prix parfois prohibitifs alors même que leur impact sur la survie n’est souvent que très limité, en sont en partie responsables. On ne peut aussi oublier que les structures, qu’elles soient hospitalières ou ambulatoires, sont également de plus en plus coûteuses. La néphrologie n’échappe pas à ce débat. En effet, la dialyse est une thérapeutique très chère (environ 80-100 000 francs suisses/an). Lors de son développement, dans les années 70, elle a été considérée comme le traitement chronique le plus cher qu’un système de santé publique pouvait assumer, considérant que cela permettait à de nombreux patients d’avoir une activité presque normale, notamment professionnelle, et de survivre à leur insuffisance rénale. Ce n’est plus le cas maintenant car il existe des traitements beaucoup plus coûteux. Néanmoins, par son nombre de patients, la dialyse reste un poids très lourd dans les coûts de la santé malgré une diminution importante du coût du matériel. D’autre part, la patientèle de dialyse a changé, la majorité des patients n’étant plus actifs professionnellement vu leur âge avancé. Aujourd’hui, le coût de la thérapie de substitution rénale est sous pression dans tous les pays du monde et chaque pays cherche à en diminuer les coûts. En Suisse, le nouveau contrat entre la Fédération suisse pour tâches communes des assureurs maladie (SVK) et les néphrologues impose à ces derniers un quota de 20% de patients qui devraient être dialysés à domicile au niveau national sous la menace d’une diminution significative du tarif de remboursement de la séance d’hémodialyse à l’échéance de 2016. Sous le prétexte de motifs médicaux, il s’agit uniquement d’une mesure économique. Cette mesure n’est d’ailleurs pas partagée par toutes les assurances. Helsana est récemment sortie de la SVK et propose un contrat qui n’impose pas ce quota. Ce chantage de la SVK fait fi d’un certain nombre de principes essentiels de la médecine et se heurte à d’importants problèmes pratiques, liés directement à la patientèle concernée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46314
in Revue médicale suisse > 375 (Février 2013) . - p. 443-444[article] La néphrologie entre économie et écologie [texte imprimé] / Michel Brunier ; Pierre-Yves Martin . - 2013 . - p. 443-444.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 375 (Février 2013) . - p. 443-444
Résumé : Les coûts de la santé défrayent la chronique depuis de nombreuses années et les cotisations d’assurance ne cessent d’augmenter. Les nouvelles technologies, qu’elles soient diagnostiques ou interventionnelles, et les nouveaux médicaments, qui atteignent des prix parfois prohibitifs alors même que leur impact sur la survie n’est souvent que très limité, en sont en partie responsables. On ne peut aussi oublier que les structures, qu’elles soient hospitalières ou ambulatoires, sont également de plus en plus coûteuses. La néphrologie n’échappe pas à ce débat. En effet, la dialyse est une thérapeutique très chère (environ 80-100 000 francs suisses/an). Lors de son développement, dans les années 70, elle a été considérée comme le traitement chronique le plus cher qu’un système de santé publique pouvait assumer, considérant que cela permettait à de nombreux patients d’avoir une activité presque normale, notamment professionnelle, et de survivre à leur insuffisance rénale. Ce n’est plus le cas maintenant car il existe des traitements beaucoup plus coûteux. Néanmoins, par son nombre de patients, la dialyse reste un poids très lourd dans les coûts de la santé malgré une diminution importante du coût du matériel. D’autre part, la patientèle de dialyse a changé, la majorité des patients n’étant plus actifs professionnellement vu leur âge avancé. Aujourd’hui, le coût de la thérapie de substitution rénale est sous pression dans tous les pays du monde et chaque pays cherche à en diminuer les coûts. En Suisse, le nouveau contrat entre la Fédération suisse pour tâches communes des assureurs maladie (SVK) et les néphrologues impose à ces derniers un quota de 20% de patients qui devraient être dialysés à domicile au niveau national sous la menace d’une diminution significative du tarif de remboursement de la séance d’hémodialyse à l’échéance de 2016. Sous le prétexte de motifs médicaux, il s’agit uniquement d’une mesure économique. Cette mesure n’est d’ailleurs pas partagée par toutes les assurances. Helsana est récemment sortie de la SVK et propose un contrat qui n’impose pas ce quota. Ce chantage de la SVK fait fi d’un certain nombre de principes essentiels de la médecine et se heurte à d’importants problèmes pratiques, liés directement à la patientèle concernée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46314 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La pollution a-t-elle un impact sur la pression artérielle ? / Fatma Megdiche in Revue médicale suisse, 530 (Septembre 2016)
[article]
Titre : La pollution a-t-elle un impact sur la pression artérielle ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Fatma Megdiche ; Edward Pivin ; Grégoire Wuerzner ; Michel Brunier Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1507-1512 Langues : Français (fre) Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE POLLUTION Résumé : La pollution est responsable de nombreux problèmes de santé publique de grande importance, dont la survenue d’événements cardiovasculaires. Différentes sources de pollution existent ; le bruit, les changements de température, la pollution de l’air sont les plus connus. Dans cet article, nous essayons de souligner l’effet de ces différents polluants sur la pression artérielle comme l’un des mécanismes potentiels pouvant expliquer l’augmentation de la morbi/mortalité cardiovasculaire associée à la pollution.
IntroductionLa pression artérielle (PA) est sensible à différents facteurs tant internes qu’externes. Toutes les recommandations concernant la prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) préconisent d’agir sur les aspects comportementaux en instaurant des mesures hygiéno-diététiques parallèlement au traitement pharmacologique, afin de contrôler des facteurs de risque considérés comme modifiables, à savoir la consommation de sel, le surpoids, la sédentarité, l’intoxication tabagique et/ou médicamenteuse.D’autres facteurs potentiellement modifiables sont peu pris en compte dans les recommandations actuelles de prise en charge de l’HTA. Il s’agit des facteurs environnementaux, tels que le bruit, la température ambiante, la pollution de l’air, l’altitude et la latitude. Dans cet article, nous allons décrire l’effet observé de certains de ces éléments sur la PA, en expliquant le mécanisme physiopathologique quand il a été élucidé, et les potentielles implications dans la prise e...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42721
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1507-1512[article] La pollution a-t-elle un impact sur la pression artérielle ? [texte imprimé] / Fatma Megdiche ; Edward Pivin ; Grégoire Wuerzner ; Michel Brunier . - 2016 . - p. 1507-1512.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1507-1512
Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE POLLUTION Résumé : La pollution est responsable de nombreux problèmes de santé publique de grande importance, dont la survenue d’événements cardiovasculaires. Différentes sources de pollution existent ; le bruit, les changements de température, la pollution de l’air sont les plus connus. Dans cet article, nous essayons de souligner l’effet de ces différents polluants sur la pression artérielle comme l’un des mécanismes potentiels pouvant expliquer l’augmentation de la morbi/mortalité cardiovasculaire associée à la pollution.
IntroductionLa pression artérielle (PA) est sensible à différents facteurs tant internes qu’externes. Toutes les recommandations concernant la prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) préconisent d’agir sur les aspects comportementaux en instaurant des mesures hygiéno-diététiques parallèlement au traitement pharmacologique, afin de contrôler des facteurs de risque considérés comme modifiables, à savoir la consommation de sel, le surpoids, la sédentarité, l’intoxication tabagique et/ou médicamenteuse.D’autres facteurs potentiellement modifiables sont peu pris en compte dans les recommandations actuelles de prise en charge de l’HTA. Il s’agit des facteurs environnementaux, tels que le bruit, la température ambiante, la pollution de l’air, l’altitude et la latitude. Dans cet article, nous allons décrire l’effet observé de certains de ces éléments sur la PA, en expliquant le mécanisme physiopathologique quand il a été élucidé, et les potentielles implications dans la prise e...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42721 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Potassium et pression artérielle, une vieille histoire revisitée / S. Zisimopoulou in Revue médicale suisse, 530 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Potassium et pression artérielle, une vieille histoire revisitée Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Zisimopoulou ; Antoinette Pechère-Bertschi ; Michel Brunier Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1502-1506 Langues : Français (fre) Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE POTASSIUM SODIUM Résumé : L’alimentation dans les pays industrialisés est riche en aliments transformés, processus qui augmente leur contenu en sodium et diminue celui en potassium. Les données de la littérature mettent en évidence un lien entre le rapport sodium/potassium élevé dans les apports journaliers et la forte prévalence de l’hypertension artérielle dans nos sociétés. En outre, de plus en plus d’études suggèrent un effet hypotenseur du potassium, notamment en cas d’apports sodiques excessifs et chez les patients qui présentent une sensibilité accrue au sel. Nos conseils diététiques pour la prévention et le traitement de l’hypertension artérielle doivent inclure une évaluation méticuleuse des habitudes alimentaires des patients et ne devraient pas se focaliser uniquement sur les apports en sodium mais plutôt viser un équilibre entre les apports sodiques et potassiques.
IntroductionTraditionnellement, c’est le chlorure de sodium, ou sel de cuisine, que l’on traque dans les aliments tout préparés, car il y figure en large quantité comme exhausteur de goût et garant d’une plus longue conservation. Cependant, nous devrions nous intéresser de plus près au compagnonnage qu’il forme avec le potassium. En effet, le potassium semble protéger de l’hypertension artérielle (HTA), et même récemment il est apparu que c’est le rapport entre ces deux ions qui influence la pression artérielle (PA) et le risque de complications cardiovasculaires.Les premiers articles mettant en exergue un rôle du potassium remontent aux années 1950, avec les premières études montrant l’effet protecteur du potassium face à l’effet néfaste du sodium sur la PA.1 Malgré des données solides concernant le rôle du potassium dans la survenue et la prévention de l’HTA et de l’accident vasculaire cérébral, dans notre pratique clinique, et dans les croyances des gens, on a tendance à l’oubl...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42720
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1502-1506[article] Potassium et pression artérielle, une vieille histoire revisitée [texte imprimé] / S. Zisimopoulou ; Antoinette Pechère-Bertschi ; Michel Brunier . - 2016 . - p. 1502-1506.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 530 (Septembre 2016) . - p. 1502-1506
Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE POTASSIUM SODIUM Résumé : L’alimentation dans les pays industrialisés est riche en aliments transformés, processus qui augmente leur contenu en sodium et diminue celui en potassium. Les données de la littérature mettent en évidence un lien entre le rapport sodium/potassium élevé dans les apports journaliers et la forte prévalence de l’hypertension artérielle dans nos sociétés. En outre, de plus en plus d’études suggèrent un effet hypotenseur du potassium, notamment en cas d’apports sodiques excessifs et chez les patients qui présentent une sensibilité accrue au sel. Nos conseils diététiques pour la prévention et le traitement de l’hypertension artérielle doivent inclure une évaluation méticuleuse des habitudes alimentaires des patients et ne devraient pas se focaliser uniquement sur les apports en sodium mais plutôt viser un équilibre entre les apports sodiques et potassiques.
IntroductionTraditionnellement, c’est le chlorure de sodium, ou sel de cuisine, que l’on traque dans les aliments tout préparés, car il y figure en large quantité comme exhausteur de goût et garant d’une plus longue conservation. Cependant, nous devrions nous intéresser de plus près au compagnonnage qu’il forme avec le potassium. En effet, le potassium semble protéger de l’hypertension artérielle (HTA), et même récemment il est apparu que c’est le rapport entre ces deux ions qui influence la pression artérielle (PA) et le risque de complications cardiovasculaires.Les premiers articles mettant en exergue un rôle du potassium remontent aux années 1950, avec les premières études montrant l’effet protecteur du potassium face à l’effet néfaste du sodium sur la PA.1 Malgré des données solides concernant le rôle du potassium dans la survenue et la prévention de l’HTA et de l’accident vasculaire cérébral, dans notre pratique clinique, et dans les croyances des gens, on a tendance à l’oubl...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42720 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Pression artérielle et glaucome : attention à la pression artérielle nocturne / Rémy Martin-Du Pan in Revue médicale suisse, 530 (Septembre 2016)
PermalinkLa recherche d’une hypertension nocturne est-elle utile ? / Edward Pivin in Revue médicale suisse, 530 (Septembre 2016)
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