Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Konstantin Burgmann |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Colites microscopiques – quoi de neuf ? / Konstantin Burgmann in Revue médicale suisse, 440 (Septembre 2014)
[article]
Titre : Colites microscopiques – quoi de neuf ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Konstantin Burgmann ; M. Fraga ; P. Yan ; A. Schoepfer Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1586-1590 Langues : Français (fre) Résumé : Les colites microscopiques, comportant la colite lymphocytaire et la colite collagène, représentent une cause fréquente de diarrhées aqueuses chroniques surtout dans la population âgée. Les médicaments comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les inhibiteurs de la pompe à protons et les antidépresseurs, mais aussi le tabagisme, sont des facteurs de risque reconnus. Le diagnostic se base sur l’iléo-coloscopie qui est macroscopiquement normale en association à des biopsies étagées démontrant des altérations histopathologiques caractéristiques. La thérapie de première ligne consiste en l’administration de budésonide. L’évidence pour la mésalazine, la cholestyramine et le bismuth est moins solide. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43301
in Revue médicale suisse > 440 (Septembre 2014) . - p. 1586-1590[article] Colites microscopiques – quoi de neuf ? [texte imprimé] / Konstantin Burgmann ; M. Fraga ; P. Yan ; A. Schoepfer . - 2014 . - p. 1586-1590.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 440 (Septembre 2014) . - p. 1586-1590
Résumé : Les colites microscopiques, comportant la colite lymphocytaire et la colite collagène, représentent une cause fréquente de diarrhées aqueuses chroniques surtout dans la population âgée. Les médicaments comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les inhibiteurs de la pompe à protons et les antidépresseurs, mais aussi le tabagisme, sont des facteurs de risque reconnus. Le diagnostic se base sur l’iléo-coloscopie qui est macroscopiquement normale en association à des biopsies étagées démontrant des altérations histopathologiques caractéristiques. La thérapie de première ligne consiste en l’administration de budésonide. L’évidence pour la mésalazine, la cholestyramine et le bismuth est moins solide. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43301 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Gastroentérite à éosinophiles / Konstantin Burgmann in Revue médicale suisse, 528 (Août 2016)
[article]
Titre : Gastroentérite à éosinophiles Type de document : texte imprimé Auteurs : Konstantin Burgmann ; Chritophe Brunel ; Christine Sempoux ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1430-1433 Langues : Français (fre) Mots-clés : GASTROENTERITE Résumé : L’œsophagite à éosinophiles, la gastrite, l’entérite, et la colite à éosinophiles représentent un ensemble de pathologies appartenant au groupe des « eosinophilic gastrointestinal disorders ». Contrairement à l’œsophagite à éosinophiles, qui présente une incidence en nette augmentation, la gastrite, l’entérite et la colite à éosinophiles, rassemblées sous le nom de gastroentérite à éosinophiles (GEE), sont des entités rares. Dans de nombreux cas, l’inflammation est déclenchée par des allergènes ingérés. Cet article fait le point sur les dernières connaissances concernant l’épidémiologie, les manifestations cliniques, les modalités diagnostiques et les options thérapeutiques de la GEE.
IntroductionLes polynucléaires éosinophiles (PNE) sont un sous-groupe de leucocytes présents dans de nombreux tissus. Dans le sang, ils représentent environ 1‑5 % des cellules en circulation. Ils jouent un rôle primordial dans la défense antiparasitaire, dans l’allergie et dans certaines maladies inflammatoires.1 Les PNE expriment de multiples granules cytoplasmiques contenant des molécules comme la major basic protein (MBP), la eosinophil-derived neurotoxin, des enzymes hydrolytiques et la peroxidase. D’éventuels parasites transitant dans les tissus du corps humain sont trop grands pour être phagocytés, mais peuvent être combattus grâce à ces molécules hautement toxiques. Ces molécules induisent une inflammation locale des tissus suite à la dégranulation des PNE, quelle que soit l’origine de leur activation. Sur coupe histologique, les pathologistes comptent le nombre de PNE intratissulaires par champ au grossissement 400 x (appelé high power field, HPF). Etant donné que le HPF e...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42708
in Revue médicale suisse > 528 (Août 2016) . - p. 1430-1433[article] Gastroentérite à éosinophiles [texte imprimé] / Konstantin Burgmann ; Chritophe Brunel ; Christine Sempoux ; et al. . - 2016 . - p. 1430-1433.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 528 (Août 2016) . - p. 1430-1433
Mots-clés : GASTROENTERITE Résumé : L’œsophagite à éosinophiles, la gastrite, l’entérite, et la colite à éosinophiles représentent un ensemble de pathologies appartenant au groupe des « eosinophilic gastrointestinal disorders ». Contrairement à l’œsophagite à éosinophiles, qui présente une incidence en nette augmentation, la gastrite, l’entérite et la colite à éosinophiles, rassemblées sous le nom de gastroentérite à éosinophiles (GEE), sont des entités rares. Dans de nombreux cas, l’inflammation est déclenchée par des allergènes ingérés. Cet article fait le point sur les dernières connaissances concernant l’épidémiologie, les manifestations cliniques, les modalités diagnostiques et les options thérapeutiques de la GEE.
IntroductionLes polynucléaires éosinophiles (PNE) sont un sous-groupe de leucocytes présents dans de nombreux tissus. Dans le sang, ils représentent environ 1‑5 % des cellules en circulation. Ils jouent un rôle primordial dans la défense antiparasitaire, dans l’allergie et dans certaines maladies inflammatoires.1 Les PNE expriment de multiples granules cytoplasmiques contenant des molécules comme la major basic protein (MBP), la eosinophil-derived neurotoxin, des enzymes hydrolytiques et la peroxidase. D’éventuels parasites transitant dans les tissus du corps humain sont trop grands pour être phagocytés, mais peuvent être combattus grâce à ces molécules hautement toxiques. Ces molécules induisent une inflammation locale des tissus suite à la dégranulation des PNE, quelle que soit l’origine de leur activation. Sur coupe histologique, les pathologistes comptent le nombre de PNE intratissulaires par champ au grossissement 400 x (appelé high power field, HPF). Etant donné que le HPF e...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42708 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt