Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Toni Raffoul |
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Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours / Toni Raffoul in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1174-1179 Langues : Français (fre) Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179[article] Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours [texte imprimé] / Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. . - 2016 . - p.1174-1179.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179
Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Pancréatite aiguë : quelles nouveautés dans la prise en charge ? / Olivier Windisch in Revue médicale suisse, 567 (Juin 2017)
[article]
Titre : Pancréatite aiguë : quelles nouveautés dans la prise en charge ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Windisch ; Toni Raffoul ; Catrina Hansen ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1240-1246 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROBLÈME TRAITÉ EN COLLABORATION CHIRURGIE PANCRÉATITE THÉRAPEUTIQUE Résumé : La pancréatite aiguë est une maladie fréquente d’évolution simple dans 80 % des cas, mais grevée de complications et d’une mortalité importante dans sa forme sévère. Les causes biliaires et la consommation excessive d’alcool représentent 80 % des étiologies. Le traitement, hormis l’extraction de calculs par voie endoscopique si l’origine est biliaire, est symptomatique et se concentre sur une réhydratation, une antalgie efficace et une gestion adaptée des apports. Cet article s’intéresse aux nouveautés introduites par la nouvelle Classification d’Atlanta (CA) de 2012 et détaille les directives actuelles de prise en charge. L’évolution du traitement conservateur ces dernières années a permis de diminuer et repousser le recours à la chirurgie et nécessite une étroite collaboration interdisciplinaire entre chirurgiens, gastroentérologues, radiologues interventionnels et intensivistes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54047
in Revue médicale suisse > 567 (Juin 2017) . - p. 1240-1246[article] Pancréatite aiguë : quelles nouveautés dans la prise en charge ? [texte imprimé] / Olivier Windisch ; Toni Raffoul ; Catrina Hansen ; et al. . - 2017 . - p. 1240-1246.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 567 (Juin 2017) . - p. 1240-1246
Mots-clés : PROBLÈME TRAITÉ EN COLLABORATION CHIRURGIE PANCRÉATITE THÉRAPEUTIQUE Résumé : La pancréatite aiguë est une maladie fréquente d’évolution simple dans 80 % des cas, mais grevée de complications et d’une mortalité importante dans sa forme sévère. Les causes biliaires et la consommation excessive d’alcool représentent 80 % des étiologies. Le traitement, hormis l’extraction de calculs par voie endoscopique si l’origine est biliaire, est symptomatique et se concentre sur une réhydratation, une antalgie efficace et une gestion adaptée des apports. Cet article s’intéresse aux nouveautés introduites par la nouvelle Classification d’Atlanta (CA) de 2012 et détaille les directives actuelles de prise en charge. L’évolution du traitement conservateur ces dernières années a permis de diminuer et repousser le recours à la chirurgie et nécessite une étroite collaboration interdisciplinaire entre chirurgiens, gastroentérologues, radiologues interventionnels et intensivistes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54047 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt