Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Auteur Philippe Merlier |
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La bienveuillance [sic] / Philippe Merlier in Perspective soignante, 58 (Avril 2017)
[article]
Titre : La bienveuillance [sic] Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Merlier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 113-122 Langues : Français (fre) Mots-clés : Don Bienfaisance Empathie Altruisme Terminologie comme sujet Soins infirmiers Philosophie Sénèque (4 av. J.-C.-65 ap. J.-C. philosophe stoïcien) analyse de concept Résumé : Cet article s'attache à préciser les distinctions entre trois notions essentielles dans le domaine médico-social : la bienfaisance, la bienveillance et la bientraitance. L'auteur se fonde sur la bienfaisance selon Sénèque afin de rappeler quelques traits caractéristiques essentiels de cette vertu, cette qualité qui est à la fois un savoir-être et un savoir-faire particulier : le savoir bien-faire, et non pas un savoir technique qui consiste à savoir faire-bien. Il distingue ensuite "bien-faisance" et "bien-veillance", en montrant que la bienfaisance est à la charité ce que la bienveillance est à la générosité; l'idée défendue alors est que la bienveillance est ce qui anime la bienfaisance, ce qui lui donne son âme - et c'est pourquoi la bienveillance doit primer. Or, le monde professionnel parle surtout, et de plus en plus, de bientraitance; cependant, bienveillance et bientraitance ne sont pas la même chose. La bientraitance relève du champ juridque et politique. Elle désigne en quelque sorte une bonne pratique contrôlée. Elle n'est pas seulement le contraire de la matraitance, puisqu'elle désigne une pratique active qui inclut la vigilance et la prévention contre la maltraitance. Au terme de cett réflexion, l'auteur proppose de remettre au goût du jour un terme d'ancien français tombé en désuétude, qui dit mieux que la bienveillance l'idée de bien-vouloir : la 'bienveuillance'.
A la bientraitance, l'auteur préfère la bienfaisance, à la bienfaisance la bienveillance et à la bienveillance : la "bienveuillance".Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51036
in Perspective soignante > 58 (Avril 2017) . - p. 113-122[article] La bienveuillance [sic] [texte imprimé] / Philippe Merlier . - 2017 . - p. 113-122.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > 58 (Avril 2017) . - p. 113-122
Mots-clés : Don Bienfaisance Empathie Altruisme Terminologie comme sujet Soins infirmiers Philosophie Sénèque (4 av. J.-C.-65 ap. J.-C. philosophe stoïcien) analyse de concept Résumé : Cet article s'attache à préciser les distinctions entre trois notions essentielles dans le domaine médico-social : la bienfaisance, la bienveillance et la bientraitance. L'auteur se fonde sur la bienfaisance selon Sénèque afin de rappeler quelques traits caractéristiques essentiels de cette vertu, cette qualité qui est à la fois un savoir-être et un savoir-faire particulier : le savoir bien-faire, et non pas un savoir technique qui consiste à savoir faire-bien. Il distingue ensuite "bien-faisance" et "bien-veillance", en montrant que la bienfaisance est à la charité ce que la bienveillance est à la générosité; l'idée défendue alors est que la bienveillance est ce qui anime la bienfaisance, ce qui lui donne son âme - et c'est pourquoi la bienveillance doit primer. Or, le monde professionnel parle surtout, et de plus en plus, de bientraitance; cependant, bienveillance et bientraitance ne sont pas la même chose. La bientraitance relève du champ juridque et politique. Elle désigne en quelque sorte une bonne pratique contrôlée. Elle n'est pas seulement le contraire de la matraitance, puisqu'elle désigne une pratique active qui inclut la vigilance et la prévention contre la maltraitance. Au terme de cett réflexion, l'auteur proppose de remettre au goût du jour un terme d'ancien français tombé en désuétude, qui dit mieux que la bienveillance l'idée de bien-vouloir : la 'bienveuillance'.
A la bientraitance, l'auteur préfère la bienfaisance, à la bienfaisance la bienveillance et à la bienveillance : la "bienveuillance".Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51036 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le projet comme norme en travail social / Philippe Merlier in Perspective soignante, 56 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Le projet comme norme en travail social Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Merlier Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 114-131 Langues : Français (fre) Mots-clés : Services sociaux et travail social (activité) / éthique Insertion socio-professionnelle insertion sociale Normes sociales Projet de vie Services sociaux et travail social (activité) / Ethique insertion socio-professionnelle Résumé : A travers l'existentialisme de Sartre, l'auteur pose les limites de la notion de projet social : aucun projet social contractualisé ne sera jamais le projet ontologique fondamental de l'usager. Le projet, première étape de l'aide à l'insertion, est devenu une norme sociale, une injonction à l'usager de devenir un "quasi-professionnel du travail sur soi" or il ne peut y avoir de projet sans liberté. Il est essentiel de distinguer d'une part l'attente intérieure d'un libre projet existentiel, et d'autre part le délai extérieur d'un projet de vie sociale contractualisé. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Philippe Merlier, "Normes et valeurs en travail social", Seli Arslan, 2016.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41449
in Perspective soignante > 56 (Septembre 2016) . - p. 114-131[article] Le projet comme norme en travail social [texte imprimé] / Philippe Merlier . - 2016 . - p. 114-131.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > 56 (Septembre 2016) . - p. 114-131
Mots-clés : Services sociaux et travail social (activité) / éthique Insertion socio-professionnelle insertion sociale Normes sociales Projet de vie Services sociaux et travail social (activité) / Ethique insertion socio-professionnelle Résumé : A travers l'existentialisme de Sartre, l'auteur pose les limites de la notion de projet social : aucun projet social contractualisé ne sera jamais le projet ontologique fondamental de l'usager. Le projet, première étape de l'aide à l'insertion, est devenu une norme sociale, une injonction à l'usager de devenir un "quasi-professionnel du travail sur soi" or il ne peut y avoir de projet sans liberté. Il est essentiel de distinguer d'une part l'attente intérieure d'un libre projet existentiel, et d'autre part le délai extérieur d'un projet de vie sociale contractualisé. Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Philippe Merlier, "Normes et valeurs en travail social", Seli Arslan, 2016.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41449 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Retranscrire un récit de vie / Philippe Merlier in Santé mentale, 289 (Juin 2024)
[article]
Titre : Retranscrire un récit de vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Merlier Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réfugié Migrant Altérité Communication Attitude du professionnel Demandeur d'asile Déontologie Ethique professionnelle Ethnologie Exil Identité Interprétation Préjugé Récit de vie Relation interculturelle SUbjectivation Résumé : Comment accompagner une personne demandeuse d’asile dans l’élaboration de son récit de vie ? Repères théoriques et considérations pratiques pour recueillir la parole d’autrui, dans une éthique de « l’écart », au sens du décentrage de sa propre culture.
Retranscrire le récit de vie d’une personne en demande d’asile est une lourde responsabilité : son statut de réfugié, ses conditions d’existence et sa vie même en dépendent. Cet acte d’écriture suppose pour le transcripteur des choix parmi les trajectoires de l’exil qu’il convient de retracer, et de multiples microdécisions qui, en plus de leur portée stratégique pour convaincre les autorités institutionnelles, présentent une dimension éthique fondamentale.
Stratégie et éthique peuvent d’ailleurs entrer fréquemment en conflit. Mais c’est justement avec le parti pris d’une éthique déontologique que le propos s’efforce ici d’approcher le problème de cette écriture du récit oral de la vie d’autrui. L’approche est donc éthique et philosophique, et non juridique, ni morale (l’éthique n’est ni le droit ni la morale). Cette réflexion éthique est indissociable de la justice (au sens philosophique) et de la justesse de la rencontre avec lui. Car c’est une véritable rencontre avec l’autre qui est en jeu, et non une simple relation avec un usager : l’« accueil » de sa parole – et pas seulement de sa langue – est sans doute la première forme d’hospitalité à son égard.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84359
in Santé mentale > 289 (Juin 2024) . - p. 14-19[article] Retranscrire un récit de vie [texte imprimé] / Philippe Merlier . - 2024 . - p. 14-19.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 289 (Juin 2024) . - p. 14-19
Mots-clés : Réfugié Migrant Altérité Communication Attitude du professionnel Demandeur d'asile Déontologie Ethique professionnelle Ethnologie Exil Identité Interprétation Préjugé Récit de vie Relation interculturelle SUbjectivation Résumé : Comment accompagner une personne demandeuse d’asile dans l’élaboration de son récit de vie ? Repères théoriques et considérations pratiques pour recueillir la parole d’autrui, dans une éthique de « l’écart », au sens du décentrage de sa propre culture.
Retranscrire le récit de vie d’une personne en demande d’asile est une lourde responsabilité : son statut de réfugié, ses conditions d’existence et sa vie même en dépendent. Cet acte d’écriture suppose pour le transcripteur des choix parmi les trajectoires de l’exil qu’il convient de retracer, et de multiples microdécisions qui, en plus de leur portée stratégique pour convaincre les autorités institutionnelles, présentent une dimension éthique fondamentale.
Stratégie et éthique peuvent d’ailleurs entrer fréquemment en conflit. Mais c’est justement avec le parti pris d’une éthique déontologique que le propos s’efforce ici d’approcher le problème de cette écriture du récit oral de la vie d’autrui. L’approche est donc éthique et philosophique, et non juridique, ni morale (l’éthique n’est ni le droit ni la morale). Cette réflexion éthique est indissociable de la justice (au sens philosophique) et de la justesse de la rencontre avec lui. Car c’est une véritable rencontre avec l’autre qui est en jeu, et non une simple relation avec un usager : l’« accueil » de sa parole – et pas seulement de sa langue – est sans doute la première forme d’hospitalité à son égard.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84359 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt