Maladies neurologiques et suicide : de la neurobiologie au manque d’espoir / A. Costanza in Revue médicale suisse, 461 (Février 2015)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 461 (Février 2015) . - p.420-425 Titre : Maladies neurologiques et suicide : de la neurobiologie au manque d’espoir Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Costanza ; M. Baertschi ; Kerstin Weber ; Alessandra Canuto Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.420-425 Langues : Français (fre) Mots-clés : SUICIDE  NEUROLOGIE Résumé : Les maladies neurologiques exposent à un risque élevé de conduites suicidaires et constituent un domaine privilégié pour explorer la nature hétérogène des mécanismes sous-jacents. Elles sont en effet caractérisées par des atteintes de nature strictement biologique pouvant toucher à des systèmes postulés à la base de la vulnérabilité neurobiologique au suicide. En même temps, elles interrogent des sujets existentiels comme le manque d’espoir dû – pour plusieurs conditions particulièrement invalidantes – à l’absence de traitements. Une approche clinique laissant de l’espace à une écoute inconditionnelle peut se révéler protectrice face à un passage à l’acte. Ceci parle aussi du rôle du psychiatre de liaison qui essaie de transformer en questionnement une situation sans espoir ou, simplement, d’être là quand on ne peut rien faire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41355 [article] Maladies neurologiques et suicide : de la neurobiologie au manque d’espoir [texte imprimé] / A. Costanza ; M. Baertschi ; Kerstin Weber ; Alessandra Canuto . - 2015 . - p.420-425. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 461 (Février 2015) . - p.420-425 Mots-clés : SUICIDE  NEUROLOGIE Résumé : Les maladies neurologiques exposent à un risque élevé de conduites suicidaires et constituent un domaine privilégié pour explorer la nature hétérogène des mécanismes sous-jacents. Elles sont en effet caractérisées par des atteintes de nature strictement biologique pouvant toucher à des systèmes postulés à la base de la vulnérabilité neurobiologique au suicide. En même temps, elles interrogent des sujets existentiels comme le manque d’espoir dû – pour plusieurs conditions particulièrement invalidantes – à l’absence de traitements. Une approche clinique laissant de l’espace à une écoute inconditionnelle peut se révéler protectrice face à un passage à l’acte. Ceci parle aussi du rôle du psychiatre de liaison qui essaie de transformer en questionnement une situation sans espoir ou, simplement, d’être là quand on ne peut rien faire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41355

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