Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur C. Hennequin |
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Combination of chemotherapy and radiotherapy : A thirty years evolution / C. Hennequin in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Combination of chemotherapy and radiotherapy : A thirty years evolution Titre original : Associations de chimiothérapie et de radiothérapie : trente ans d’évolution Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 662-665 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.157 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Chimioradiothérapie Médecine -- Histoire Résumé : Les associations de chimiothérapie et de radiothérapie sont maintenant recommandées dans beaucoup de cancers localement avancés. Les médicaments cytotoxiques ont été largement évalués, le cisplatine et le 5-fluoro-uracile étant le plus utilisés. De nombreuses données précliniques ont démontré la synergie entre ces deux modalités. L’administration concomitante apparaît la plus efficace dans de nombreux cas. L’émergence des thérapies ciblées, en association avec la radiothérapie est maintenant une réalité. Le principal exemple est celui du cetuximab dans les cancers de la tête et du cou, même si 14 ans après la publication initiale, la meilleure manière d’associer les deux reste discutée. De nouveaux agents comme les inhibiteurs de la réparation de l’ADN ou des checkpoints immunologiques sont en cours d’évaluation, avec des résultats préliminaires prometteurs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66138
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 662-665[article] Combination of chemotherapy and radiotherapy : A thirty years evolution = Associations de chimiothérapie et de radiothérapie : trente ans d’évolution [texte imprimé] / C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro . - 2019 . - p. 662-665.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.157
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 662-665
Mots-clés : Chimioradiothérapie Médecine -- Histoire Résumé : Les associations de chimiothérapie et de radiothérapie sont maintenant recommandées dans beaucoup de cancers localement avancés. Les médicaments cytotoxiques ont été largement évalués, le cisplatine et le 5-fluoro-uracile étant le plus utilisés. De nombreuses données précliniques ont démontré la synergie entre ces deux modalités. L’administration concomitante apparaît la plus efficace dans de nombreux cas. L’émergence des thérapies ciblées, en association avec la radiothérapie est maintenant une réalité. Le principal exemple est celui du cetuximab dans les cancers de la tête et du cou, même si 14 ans après la publication initiale, la meilleure manière d’associer les deux reste discutée. De nouveaux agents comme les inhibiteurs de la réparation de l’ADN ou des checkpoints immunologiques sont en cours d’évaluation, avec des résultats préliminaires prometteurs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66138 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens / L. Quéro in Cancer Radiothérapie, 13/6-7 (Octobre 2009)
[article]
Titre : Place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Quéro ; C. Hennequin ; P. Brice Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 471-478 Langues : Français (fre) Mots-clés : LYMPHOME THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE Résumé : La place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens tend à diminuer en faveur de la chimiothérapie, plus particulièrement dans les lymphomes agressifs localisés où sa place est controversée, entre les partisans d’une chimiothérapie exclusive et les partisans d’un traitement associant chimiothérapie et radiothérapie. La tomographie par émission de positons (TEP) semble potentiellement prometteuse dans cette situation afin d’identifier les patients pouvant bénéficier d’une radiothérapie complémentaire. Afin de réduire au maximum le risque de complications tardives après cette combinaison thérapeutique, les doses et les volumes d’irradiation devront être minimalistes. L’utilisation des nouvelles techniques d’irradiation devrait également permettre de réduire ce risque. Il existe cependant certaines indications pour lesquelles la radiothérapie a démontré son utilité, comme dans le traitement des lymphomes indolents localisés, disséminés à forte masse ou récidivants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41040
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 471-478[article] Place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens [texte imprimé] / L. Quéro ; C. Hennequin ; P. Brice . - 2009 . - p. 471-478.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 471-478
Mots-clés : LYMPHOME THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE Résumé : La place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens tend à diminuer en faveur de la chimiothérapie, plus particulièrement dans les lymphomes agressifs localisés où sa place est controversée, entre les partisans d’une chimiothérapie exclusive et les partisans d’un traitement associant chimiothérapie et radiothérapie. La tomographie par émission de positons (TEP) semble potentiellement prometteuse dans cette situation afin d’identifier les patients pouvant bénéficier d’une radiothérapie complémentaire. Afin de réduire au maximum le risque de complications tardives après cette combinaison thérapeutique, les doses et les volumes d’irradiation devront être minimalistes. L’utilisation des nouvelles techniques d’irradiation devrait également permettre de réduire ce risque. Il existe cependant certaines indications pour lesquelles la radiothérapie a démontré son utilité, comme dans le traitement des lymphomes indolents localisés, disséminés à forte masse ou récidivants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41040 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? / D. Azria in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Azria ; C. Hennequin Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 434-445 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE DOSIMETRIE RESPIRATION PREVENTION TOXICITE Résumé : Le traitement classique comprenant une radiothérapie de l’ensemble du sein de 50 Gy et un complément d’irradiation du lit de tumorectomie reste le standard. Après mastectomie, l’irradiation de toutes les patientes dont les ganglions axillaires sont atteints semble légitime. Les modifications de la technique font intervenir plusieurs paramètres, dont la dose par fraction, avec la publication de différentes études d’hypofractionnement accéléré à volume constant. Une population atteinte de cancer à très faible risque de récidive pourrait en bénéficier. Dans un volume réduit, l’hypofractionnement accéléré fait encore partie de la recherche clinique et plusieurs méthodes sont en cours d’évaluation, dont la radiothérapie peropératoire, la curiethérapie, la technique du Mammosite®, la radiothérapie externe partielle. Le développement des nouvelles techniques, dont la modulation d’intensité, permettrait de réduire le taux d’épidermite exsudative. L’asservissement à la respiration permet de réduire les doses délivrées aux tissus sains, notamment le cœur, le poumon et les côtes. Enfin, la biologie permettra d’identifier les patientes à risque de toxicité importante et d’adapter la technique afin d’optimiser l’indice thérapeutique à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41033
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 434-445[article] Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? [texte imprimé] / D. Azria ; C. Hennequin . - 2009 . - p. 434-445.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 434-445
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE DOSIMETRIE RESPIRATION PREVENTION TOXICITE Résumé : Le traitement classique comprenant une radiothérapie de l’ensemble du sein de 50 Gy et un complément d’irradiation du lit de tumorectomie reste le standard. Après mastectomie, l’irradiation de toutes les patientes dont les ganglions axillaires sont atteints semble légitime. Les modifications de la technique font intervenir plusieurs paramètres, dont la dose par fraction, avec la publication de différentes études d’hypofractionnement accéléré à volume constant. Une population atteinte de cancer à très faible risque de récidive pourrait en bénéficier. Dans un volume réduit, l’hypofractionnement accéléré fait encore partie de la recherche clinique et plusieurs méthodes sont en cours d’évaluation, dont la radiothérapie peropératoire, la curiethérapie, la technique du Mammosite®, la radiothérapie externe partielle. Le développement des nouvelles techniques, dont la modulation d’intensité, permettrait de réduire le taux d’épidermite exsudative. L’asservissement à la respiration permet de réduire les doses délivrées aux tissus sains, notamment le cœur, le poumon et les côtes. Enfin, la biologie permettra d’identifier les patientes à risque de toxicité importante et d’adapter la technique afin d’optimiser l’indice thérapeutique à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41033 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Rationale for hypofractionation / C. Hennequin in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Rationale for hypofractionation Titre original : Le retour de l’hypofractionnement : rationnel Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 500-502 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.156 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER PROSTATE CANCER Résumé : Le fractionnement de la dose a été établi depuis plusieurs dizaines d’années comme le meilleur moyen d’obtenir un effet différentiel entre tissu sains et tumeurs. Cependant, les nouvelles techniques de radiothérapie permettent d’exclure du champ irradié les organes à risque. Elles rendent donc souvent inutiles le fractionnement classique. L’hypofractionnement a des avantages pratiques évidents: il économise du temps aux patients ; il est moins coûteux pour le système de santé ; il permet une meilleure gestion des centres de radiothérapie. Dans plusieurs localisations, des essais prospectifs ont montré son équivalence, tant en termes d’efficacité que de toxicité. Dans le cancer de la prostate, des considérations radiobiologiques laissaient penser qu’il pourrait être même plus efficace, mais les essais randomisés n’ont pas mis en évidence de bénéfice en termes de contrôle biochimique. En conclusion, pour toutes les tumeurs où il a démontré son intérêt, l’hypofractionnement doit être privilégié. Il doit être remboursé de la même manière que le fractionnement standard, afin de ne pas léser les centres qui l’utilisent. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66116
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 500-502[article] Rationale for hypofractionation = Le retour de l’hypofractionnement : rationnel [texte imprimé] / C. Hennequin ; S. Guillerm ; L. Quéro . - 2019 . - p. 500-502.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.156
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 500-502
Mots-clés : SEIN CANCER PROSTATE CANCER Résumé : Le fractionnement de la dose a été établi depuis plusieurs dizaines d’années comme le meilleur moyen d’obtenir un effet différentiel entre tissu sains et tumeurs. Cependant, les nouvelles techniques de radiothérapie permettent d’exclure du champ irradié les organes à risque. Elles rendent donc souvent inutiles le fractionnement classique. L’hypofractionnement a des avantages pratiques évidents: il économise du temps aux patients ; il est moins coûteux pour le système de santé ; il permet une meilleure gestion des centres de radiothérapie. Dans plusieurs localisations, des essais prospectifs ont montré son équivalence, tant en termes d’efficacité que de toxicité. Dans le cancer de la prostate, des considérations radiobiologiques laissaient penser qu’il pourrait être même plus efficace, mais les essais randomisés n’ont pas mis en évidence de bénéfice en termes de contrôle biochimique. En conclusion, pour toutes les tumeurs où il a démontré son intérêt, l’hypofractionnement doit être privilégié. Il doit être remboursé de la même manière que le fractionnement standard, afin de ne pas léser les centres qui l’utilisent. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66116 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Surveillance après un cancer du rectum / L. Quéro in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Surveillance après un cancer du rectum Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Quéro ; S. Guillerm ; P. Castelnau-Marchand ; M. Labidi ; C. Hennequin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 572-575 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.123 Langues : Français (fre) Résumé : Avec le chirurgien, le gastroentérologue et le médecin traitant, l’oncologue-radiothérapeute est impliqué dans le suivi post-thérapeutique des patients atteints d’un cancer du rectum traité par irradiation. Un suivi est recommandé par de nombreuses sociétés savantes ainsi que des groupes d’experts. Celui-ci consiste à réaliser un examen clinique, un dosage de l’antigène carcinoembryonnaire, une coloscopie et une scanographie thoraco-abdominopelvienne. Récemment trois essais randomisés ont montré le manque de bénéfice à réaliser une surveillance intensive par rapport à une surveillance minimale, en termes de survie globale. Cependant, la surveillance n’est pas seulement nécessaire pour détecter précocement une récidive de la maladie, elle permet également d’identifier et de traiter les complications/séquelles à long terme des traitements. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66127
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 572-575[article] Surveillance après un cancer du rectum [texte imprimé] / L. Quéro ; S. Guillerm ; P. Castelnau-Marchand ; M. Labidi ; C. Hennequin . - 2019 . - p. 572-575.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.123
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 572-575
Résumé : Avec le chirurgien, le gastroentérologue et le médecin traitant, l’oncologue-radiothérapeute est impliqué dans le suivi post-thérapeutique des patients atteints d’un cancer du rectum traité par irradiation. Un suivi est recommandé par de nombreuses sociétés savantes ainsi que des groupes d’experts. Celui-ci consiste à réaliser un examen clinique, un dosage de l’antigène carcinoembryonnaire, une coloscopie et une scanographie thoraco-abdominopelvienne. Récemment trois essais randomisés ont montré le manque de bénéfice à réaliser une surveillance intensive par rapport à une surveillance minimale, en termes de survie globale. Cependant, la surveillance n’est pas seulement nécessaire pour détecter précocement une récidive de la maladie, elle permet également d’identifier et de traiter les complications/séquelles à long terme des traitements. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66127 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Traitement de la maladie primitive (cancers du sein, du poumon non à petites cellules et de la prostate), par irradiation, au stade d’emblée métastatique / I. Latorzeff in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
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