Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur S. Alran |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie / Y.M. Kirova in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 291-297 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297[article] Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie [texte imprimé] / Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. . - 2009 . - p. 291-297.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297
Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance / L. Bazire in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance Titre original : Tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patients opérés d’emblée pour un cancer du sein : résultats d’une étude prospective monocentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Bazire ; S. Alran ; S. El Bamrani ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-27 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer du sein Ganglion sentinelle Radio-isotope Traceur ferromagnétique Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer la faisabilité et la tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patientes opérées d’emblée pour un cancer du sein.
Matériel et méthodes
Une base de données d’utilisation d’un traceur ferromagnétique a été collectée prospectivement et a identifié 520 cas d’octobre 2013 à décembre 2016 dans notre établissement. Tous les patients ont reçu une injection de traceur ferromagnétique 20minutes avant l’intervention chirurgicale et certains d’entre eux ont également reçu une injection d’isotope. Le site d’injection était périaréolaire. Parmi eux, 288 ont reçu une radiothérapie adjuvante. Dans notre étude, nous avons évalué la tolérance de la radiothérapie postopératoire.
Résultats
. L’âge médian des patients était de 64 ans. La période de suivi médian était de 16 mois (1–42). Une double détection du ganglion sentinelle a été réalisée chez les 30 premiers patients (10,4 %). Le taux d’identification du ganglion sentinelle était de 99,7 % (287/288). Il y avait 34 curages axillaires (dont 58,8 % ont été réalisés en situation peropératoire). La dose totale de radiothérapie était de 50Gy en EQD2 (équivalence 2Gy) (28,5–66). En ce qui concerne la survenue d’une radiodermite, 95,8 % des patients étaient atteints d’une radiodermite de grade 0–2 et 1 % d’une grade 3. Pendant le suivi, 19,4 % des patients ont été atteints d’une fibrose post-thérapeutique de grade 1-2 (dont 92,9 % de grade 1).
Conclusion
Cette large étude a montré que la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour détecter le ganglion sentinelle était faisable, sans augmentation de la toxicité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62922
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 23-27[article] Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance = Tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patients opérés d’emblée pour un cancer du sein : résultats d’une étude prospective monocentrique [texte imprimé] / L. Bazire ; S. Alran ; S. El Bamrani ; et al. . - 2019 . - p. 23-27.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 23-27
Mots-clés : Cancer du sein Ganglion sentinelle Radio-isotope Traceur ferromagnétique Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer la faisabilité et la tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patientes opérées d’emblée pour un cancer du sein.
Matériel et méthodes
Une base de données d’utilisation d’un traceur ferromagnétique a été collectée prospectivement et a identifié 520 cas d’octobre 2013 à décembre 2016 dans notre établissement. Tous les patients ont reçu une injection de traceur ferromagnétique 20minutes avant l’intervention chirurgicale et certains d’entre eux ont également reçu une injection d’isotope. Le site d’injection était périaréolaire. Parmi eux, 288 ont reçu une radiothérapie adjuvante. Dans notre étude, nous avons évalué la tolérance de la radiothérapie postopératoire.
Résultats
. L’âge médian des patients était de 64 ans. La période de suivi médian était de 16 mois (1–42). Une double détection du ganglion sentinelle a été réalisée chez les 30 premiers patients (10,4 %). Le taux d’identification du ganglion sentinelle était de 99,7 % (287/288). Il y avait 34 curages axillaires (dont 58,8 % ont été réalisés en situation peropératoire). La dose totale de radiothérapie était de 50Gy en EQD2 (équivalence 2Gy) (28,5–66). En ce qui concerne la survenue d’une radiodermite, 95,8 % des patients étaient atteints d’une radiodermite de grade 0–2 et 1 % d’une grade 3. Pendant le suivi, 19,4 % des patients ont été atteints d’une fibrose post-thérapeutique de grade 1-2 (dont 92,9 % de grade 1).
Conclusion
Cette large étude a montré que la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour détecter le ganglion sentinelle était faisable, sans augmentation de la toxicité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62922 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt